Quand on viole et que les mères applaudissent

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
qu il y ait des archaisme et une mentalité d ane ca j en doute pas

mais une culture c est comme un arbre .. faut couper des branche mais pas abattre l arbre ..
couper le fil comme l a fait l Europe au tournant du vingtième c est foncer tete baisser dans Les ténèbres ou seul les egos survivent ..
 
mal éduqués, éducation sexuelle incluse
il y a un vrai problème dans nos sociétés, le problème de la hchouma
on ne parle pas des choses
des fausses pudeurs qui créent des frustrations et des comportements inadaptés
Pour ma part ces plus complex que ca .
Je suis pas d accord avec toi .
Le comportement ne différent pas au bled et en France vue le reportage sur Paris ces la version occidentale du bled .
Ces la banalisation du sex qui a créé ce phénomène qui n es pas lié à la frustration mais un accès facile au sec
 
Les conséquences du système éducatif marocain en commencant par les parents, en suite l’école et l’espace public ( la rue, milieu de travail,….) !!!

Une réflexion profonde est conseillée au Maroc et aux marocains/nes pour abandonner les pratiques du moyen age!
 
Odieux meurtre de deux jeunes touristes au Maroc. Quatre présumés assassins représentent le produit de l'islamisme abject qui se vautre au pays.
============================================
QUAND ON VIOLE ET QUE LES MÈRES APPLAUDISSENT Par Majid Blal
.
On ne s’est intéressé que par et pour l’idée de l’islamisation à outrance. On y est allé par les raccourcis, les à-priori, les approximations et surtout par le renforcement des interdits, imaginaires ou promulgués. Des défendus inspirés par des lectures approximatives des textes.
.
On n’a donné priorité que pour la surenchère à promouvoir. Encan du tahrim des comportements à bannir. Jamais on n’a abordé la réflexion sur les apports, au niveau des valeurs humaines, que devraient englober toutes les religions qui aspirent à réglementer la vie de leurs adeptes.
.
Le semblant d’islam est devenu la norme dans la pratique sélective d’une religion instrumentalisée à outrance. Le semblant s’incruste dans des pratiques sélectives où chacun s’invente la conduite idéal du croyant, en tamisant ce qui lui semble être le plus important et ce qui est à combattre.
.
Ce mal insidieux qui s’est propagé dans tous les tissus de chaque localité. Ce mal qui a étendu ses ailes lugubres pour draper tous les coins physiques, ainsi qu’en cannibalisant les racoins les plus sains de la représentation sociale et des mentalités devenues abjectes.
.
Lentement mais surement, l’islamisme sournois avait défait les résistances d’un peuple en l’attaquant au corps jusqu’à affaiblir ses défenses naturelles. Affaiblir au point de lui faire accepter, comme normatif, ce qui a toujours été anormale. L’abjecte est devenu quelque chose de banal. On a même crié que cela fait partie de la construction identitaire et de la vision étriquée des rapports sociaux, chez le marocain.
.
On a surélevé la redéfinition de soi, à travers le prisme confessionnel et du facteur religieux, au point d’être subjugué par des manières valorisées, ourdies de violences et d’incohérences.
.
On a glorifié des pratiques enfouies dans l’instinct grégaire et on s’était activé à en faire la promotion, comme d’une nouvelle manière de se soumettre à son dieu. C’est ainsi qu’on a réactivé le barbare enfermé dans les donjons de l’histoire des temps honnis. On a réadmis le barbare afin qu’il s’adonne au viol, au rapt, au meurtre, à la razzia, à l’esclavage des femmes, sans se soucier des remords de sa conscience. La conscience n’étant plus la source privilégiée de la liberté et de l’émancipation, mais le glaive qui vante la contrainte, les harams, les interdits et qui se donne le droit de punir et dispenser les châtiments.
.
On a commencé par associer la femme aux êtres sataniques avant de diaboliser son corps, son sexe, ses rondeurs, sa beauté et on s’est acharné à la couvrir du pied à la tête, à la cacher du regard, à condamner la mixité dans les écoles comme dans les lieux publics, au point que la moindre cheville déshabillée devienne l’acte méphistophélique qui justifie le viol, l’agression sexuelle, le rapt, la profanation de l’intime et la violence contre les femmes.
.
Une génération de frustrés sexuels, en rut et écumant les rues. Prend en otage les lieux publics et les fesses qui y transitent.
.
On a bien inventé un dieu et des mamans qui applaudissent au moindre viol des filles dans la rue. On a confectionné un dieu qui encourage les tueries de masse dans les lieux publics. On a tricoté un divin qu’on glorifie en attaquant les filles qui portent une jupe, les actrices qui jouent un rôle, les adolescents qui s’échangent des baisers sincères, des hommes qui se tiennent par la main, des malades incapables de jeuner, des amoureux qui se roulent des regards au lieu des pelles mouillées.
.
Ce n’est pas grave, ils ont la raison de leur bord et dieu comme leurs mères peuvent pardonner et mieux encore cautionner.
.
On a crée une génération d’incultes qu’on a renfermé dans les grottes d’antan pour mieux les calcifier. On a évacué tout esprit critique des têtes, car cela mène vers l’ouverture des cranes et le raisonnement rationnel satanique.
.
On a instauré la pensé inquisitrice dans la récurrence comportementale et on a crié Allah ou Akbar. C’est ainsi que la violence et les agressions sur les intégrités physiques comme psychiques sont devenues banales, Rien que des gestes normaux dans le déroulement des quotidiens.
.
3adi, la banalité routinière.
.
Majid Blal, le 28 mars, 2018


Tres bonne analyse de la situation actuelle au Maroc. L'anarchie est en train de remplacer la monarchie.
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
N'importe nawak, pas mal dans ma famille sont passés par les madrasas, ils y apprennent le Saint Coran par coeur, ils en ressortent pas avec un esprit Daeshisé, ils sont les mêmes qu'ils étaient avant dans leur esprit tolérant !
Témoignage de mon ami l'écrivain et docteur Mouhib.
Aghbala de mon enfance: la falaqa.

C'était à la fin des années 50 du siècle passé. Je suivais des cours coraniques dans une petite mosquée, non loin de notre maison, au quartier d'Aghbalou, au pied de tabarjit.
Nous étions une vingtaine d'élèves, un après midi, Oumarhou, a fait timzida buissonnière. Il sécha le cours coranique ce jour là. Féru de la musique en vogue à l'époque ( lghita), Oumarhou qui devait avoir une dizaine d'année avait pris la direction d'une hdya (offrande / mariage). Il se faufilait entre les femmes pour voir de près le ghyat dont il est grand fan, Aâbiqa. Ce dernier, originaire de foum Lâansar était le ghyat vedette de toute la région. Hélas! de douloureux évènements attendaient notre ami le lendemain matin à timzida. Le fqih auquel on a avait vendu la mèche l'accueillit froidement en ces termes:
- Oumarhou, viens près de moi, il parait que tu t'es rendu hier à la hdya.
- yeah nâam ass, répondit il candidement
- Cela t'a plu?
- yeah nâam ass, il y avait Aâbiqa et beaucoup de femmes. Il répondait en fonçant tête baissée dans le piège tendu par le fqih.
- Toi, Said! fulmina le fqih en direction du plus fort parmi nous. Prends moi ce mécréant dans ton dos.
Vite! prends le comme une guerba ( outre) . Dégage bien les jambes que je lui donne une bonne falaqa ( bastonnade)!
Les gémissements de panique d'Oumarhou n'amadouèrent point le fqih hargnieux. Il prit un long bâton de peuplier et se mit à frapper de toutes ses forces sur les plantes des pieds du malheureux. qui hurlait à fendre le coeur . Le fqih frappait en s'essouflant, le visage congestionné de colère . Il ne s'arrêta qu'une fois exténué. N'en pouvant plus, Oumarhou suppliait entre deux hurlements et jurait qu'il ne suivrait plus de hdya et qu'il oublierait Aâbiqa à jamais.
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
N'importe nawak, pas mal dans ma famille sont passés par les madrasas, ils y apprennent le Saint Coran par coeur, ils en ressortent pas avec un esprit Daeshisé, ils sont les mêmes qu'ils étaient avant dans leur esprit tolérant !
Mohamed Talibi C'est plus loin que cela car briser la volonté de l'enfant, le dresser, le dompter par la punition, lui extirper le sens critique et la prise de l'initiative, l'inciter à ingurgiter des textes sans les comprendre, c'est le préparer à être docile, servile et sans volonté de se poser des questions pertinentes.

On façonne, ainsi, un être qui préfère suivre les autres que de réfléchir un peu, parce qu'il aura toujours peur d'être en dehors du cercle...
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Ce texte dit que les marocains sont des frustrés sexuels et leurs mères complices?...
Et les marocains aiment ce texte que meme Zemmour n'aurait pas osé ecrire...
Les marocains vivants au Maroc savent qu'il dit vrai. Ton exemple est hors sujet. Zemmour ne parle pas du Maroc.
 

Mohammad

hein + hein = euh
VIB
Le Maroc me fait plus peur pour les mauvaises réactions de certains de ses habitants que pour ces actualités dégoutantes qui sont finalement et très malheureusement des évènements qui se déroulent dans les 4 coins du monde. Le pire est que je vis avec le sentiment qu'on est à l'aube de quelque chose d'encore plus détestable.
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
Le Maroc me fait plus peur pour les mauvaises réactions de certains de ses habitants que pour ces actualités dégoutantes qui sont finalement et très malheureusement des évènements qui se déroulent dans les 4 coins du monde. Le pire est que je vis avec le sentiment qu'on est à l'aube de quelque chose d'encore plus détestable.


Bonjour

C à d ?
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
Les marocains vivants au Maroc savent qu'il dit vrai. Ton exemple est hors sujet. Zemmour ne parle pas du Maroc.
C'est vrai que vous etes seuls a connaitre votre etat de frustration et le niveau de complicité de vos mères... Ne vivant pas au Maroc je ne peux savoir...
 
Haut