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Roman arabe (Egypte), le sang de Hussein , d'Ibrahim Issa.

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Ceci nest un roman qui était sur le point d'aller à mon exposition de la honte, sauve qui peut, je vais le lire aujourd'hui.

C'est un roman en arabe du journaliste égyptien Ibrahim Issa, malheureusement il n'est pas encore traduit en français. C'est dommage, je l'aime bien ce gars et j'ai déjà lu plusieurs de ses articles sur son journal, publiés en ligne (j'ai un autre roman de lui que je n'ai pas encore lu hihihi, maintenant que j'y pense, ça fait des années que je "compte le lire" pfiwwww).

Bon ce livre est une sorte de fiction sur le petit-fils du prophète, Al-Hussein, qui sera le martyr de Kerbala. J'ai lu l'intro et il était touché quand il a lu les différentes sources et comment non seulement Hussein a été sacrifié et massacré, mais nous tous, musulmans, sont sous le joug de cette mafia qui a kidnappé cette religion depuis plus d'un millénaire.

Alors, c'est un mélange de chronologie historique assez romancée, il y a juste certains passages qui sont 100% propres à l'auteur, le reste est un récit quasi-historique.

Il évoque ici le sacrifice incarné par Hussein pour l'Honnêteté jusqu'au bout et son attachement aux valeurs de droit, quitte à ce qu'il en meurt au lieu d'accepter de prononcer une simple parole (allégeance à Yazid) , sauver sa peau au prix de sa conscience et des dégâts causés par le règne abominable et corrompu de Yazid. La contraste avec son sacrifice pour la justice et le sacrifice de Mokhtar qui l'a vengé mais il n'a fait que venger sa mort, pas venger la justice vu qu'il a répliqué les méthodes brutales et les guerres sanguinaires civiles qui ont fait éclater les musulmans de l'époque.

Il y a un petit aperçu du personnage de Yazid que je trouve victime des aspirations de son père, il aurait eu une meilleure vie en tant que riche notable, finalement l'obstination de son père l'a rendu derrière un massacre horrible et tabou, celui de Ahl-Al-Bayt (famille du prophète).

Je réfléchis encore à tous ces évènements en espérant en tirer une leçon de vie car au début, je me suis dit Hussein aurait pu "jouer le jeu" mais je reconnais que j'aurais eu du mal également, triste situation.

J'espère trouver d'autres éclaircissement ailleurs, dans d'autres lectures, en attendant, je vais les laisser bien mijoter dans ma cabeza.
 
Je vais lire ce soir death of a salesman d'Arthur Miller.

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Il parait que c'est un grand classique de la littérature "moderne" (20 ème siècle) américaine, j'ai hâte de l'entamer. :D

Allez ma vieille trackergirl, deux livres et j'aurais atteint mon objectif de la semaine,huhuhuh! :wazaa:
 
Je suis tombé sur des bouquins que j'ai lu dans une autre vie, mais je ne me souviens plus de quoi ça parle?
Dois-je les relire? Et la question: à quoi ça sert de lire?

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Ah j'ai également lu les dents du topographe mais tout comme toi, je ne me rappelle plus de l'histoire! :wazaa:

Hmmmm... le roman de Roy Lewis a l'air super intéressant! :D

Pour ta question, il n'y a pas une seule réponse car la lecture peut être une distraction tout comme un outil important pour étudier un sujet, un rappel sans lequel la mémoire d'un peuple pourra être effacée,etc.
 
Je vais lire ce soir death of a salesman d'Arthur Miller.

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Il parait que c'est un grand classique de la littérature "moderne" (20 ème siècle) américaine, j'ai hâte de l'entamer. :D

Allez ma vieille trackergirl, deux livres et j'aurais atteint mon objectif de la semaine,huhuhuh! :wazaa:

Ah, j'avais des trucs à faire (genre me rattraper avec une série chinoise, je vous le dis, je classe bien mes priorités :D ) alors j'ai fini par lire cette pièce de théâtre.

Les sujets sont toujours d'actualité même si elle a été publiée/jouée en 1949, une famille de la petite classe-moyenne, des rêves trop grands avec des moyens inadéquats (aussi bien des compétences pro que humaines) déphasage totale qui jouera un rôle dans la descente aux enfers de ce commercial avant sa mort.

Ce qui est impressionnant c'est comment on voit tout ça d'une façon aussi calme, sans avoir des émotions fortes fortes, juste une vie qui se déroule et des vérités qui vont sortir, le lot de beaucoup de familles, peut-être la nôtre ou cella d'un(e) ami(e), un frère, une soeur ou un(e) voisin(e).

Une chose est sûre, je voudrais bien la voir en version live, dans un théâtre. Est-ce une lecture que je recommande ? Je dirais "pourquoi pas", même s'il y a des choses qui m'ont secoué personnellement, on ne rate pas sa vie si on ne lit pas cette pièce de théatre... sauf si on fait des études de théêtre alors là c'est un must à lire, pour faire passer autant d'émotions et de conversations réelles qui se mélangent avec des conversations du passé.
 
Un livre de quatre récits (une cinquantaine de pages chacune) d'un auteur égyptien (je ne l'ai pas fait exprès, je choisis en fonction du titre et de ce qui est écrit dans le verseau, je n'aime pas les histoires d'amour arabes de cassos lol, mais ça ne me gêne pas s'il y a de la romance, il faut juste qu'il y ait "autre chose".

C'est un auteur égyptien assez connu chez eux, je n'ai jamais entendu parler de lui, Mohamed al-Mansi Qindil, le titre c'est "vendre une âme humaine".

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Ah j'ai également lu les dents du topographe mais tout comme toi, je ne me rappelle plus de l'histoire! :wazaa:

Hmmmm... le roman de Roy Lewis a l'air super intéressant! :D

Pour ta question, il n'y a pas une seule réponse car la lecture peut être une distraction tout comme un outil important pour étudier un sujet, un rappel sans lequel la mémoire d'un peuple pourra être effacée,etc.
C'est vrai, et on lit aussi pour le plaisir. Certains livres te laissent une douceur dans les mémoires.

J'ai relu "Les dents du topographe". J'ai accroché jusqu'à la fin. Mon sentiment: toujours dérangé par cet air de supériorité du narrateur sur ses compatriotes, leur façon de vivre, la caricature de ses semblables. Cette incohérence sociologique perceptible par les gens qui connaissent le Maroc.
En vérité, j'ai un peu de mal avec les écrivains d'origine marocaine qui ont choisi l'exil ou l'émigration, mais qui pour qu'ils soient "acceptés et lus", sont obligés d'écrire sur le pays qu'ils ont fui. C'est aussi le cas de bcp d'écrivains du Maghreb. Pour moi, c'est plus de l'opportunisme en jouant sur la fantasmagorie "coloniale" des territoires perdus par mama França. Pour être 'assimilé' et reconnu, tu dois taper sur tes origines.
Par exple, Tahar Benjelloun qui découvre qu'il a une âme de démocrate et qui critique le régime Hassan 2 après sa mort, en écrivant un livre sur Tazmamart. Tout en continuant de se goinfrer dans les Mamounia & co. Tout en ayant eu une esclave domestique chez lui à Paris: une fois l'affaire découverte, excusez-moi c'est une erreur un oubli de ma part, mais vous savez je suis pour l'humanisme, pour le peuple, le féminisme, blablabla.
Bref, je m'arrête sinon.
 
C'est vrai, et on lit aussi pour le plaisir. Certains livres te laissent une douceur dans les mémoires.

J'ai relu "Les dents du topographe". J'ai accroché jusqu'à la fin. Mon sentiment: toujours dérangé par cet air de supériorité du narrateur sur ses compatriotes, leur façon de vivre, la caricature de ses semblables. Cette incohérence sociologique perceptible par les gens qui connaissent le Maroc.
En vérité, j'ai un peu de mal avec les écrivains d'origine marocaine qui ont choisi l'exil ou l'émigration, mais qui pour qu'ils soient "acceptés et lus", sont obligés d'écrire sur le pays qu'ils ont fui. C'est aussi le cas de bcp d'écrivains du Maghreb. Pour moi, c'est plus de l'opportunisme en jouant sur la fantasmagorie "coloniale" des territoires perdus par mama França. Pour être 'assimilé' et reconnu, tu dois taper sur tes origines.
Par exple, Tahar Benjelloun qui découvre qu'il a une âme de démocrate et qui critique le régime Hassan 2 après sa mort, en écrivant un livre sur Tazmamart. Tout en continuant de se goinfrer dans les Mamounia & co. Tout en ayant eu une esclave domestique chez lui à Paris: une fois l'affaire découverte, excusez-moi c'est une erreur un oubli de ma part, mais vous savez je suis pour l'humanisme, pour le peuple, le féminisme, blablabla.
Bref, je m'arrête sinon.

Woah, c'est la même remarque que j'avais pour leur style d'écriture je ne connais pas d'écrivain marocain résidant à l'étranger qui écrit sur son pays actuel à moins qu'il parle de l'immigration.

Bon peut-être parce qu'on écrit ce qu'on a vécu, tu n'as pas de gens qui écrivent des récits de science fiction ou fantaisie sauf un mais il avait écrit un seul roman que je n'ai pas lu et bien sûr, c'est dans ma bibliothèque ! 😂😂😂😂

Pour Fouad Laroui il a un style comique je n'avais pas eu l'impression qu'il se moque de nous. Tahar Ben Jelloun a un style plus poétique mais ça reste un fassi, je ne suis même pas étonnée de lire son histoire de bonne-esclave à Paris! :D
 
Woah, c'est la même remarque que j'avais pour leur style d'écriture je ne connais pas d'écrivain marocain résidant à l'étranger qui écrit sur son pays actuel à moins qu'il parle de l'immigration.

Bon peut-être parce qu'on écrit ce qu'on a vécu, tu n'as pas de gens qui écrivent des récits de science fiction ou fantaisie sauf un mais il avait écrit un seul roman que je n'ai pas lu et bien sûr, c'est dans ma bibliothèque ! 😂😂😂😂

Pour Fouad Laroui il a un style comique je n'avais pas eu l'impression qu'il se moque de nous. Tahar Ben Jelloun a un style plus poétique mais ça reste un fassi, je ne suis même pas étonnée de lire son histoire de bonne-esclave à Paris! :D
Pour la bonne-esclave qu'il a ramenée du Maroc, c'est une histoire vraie, je l'avais lue à l'époque dans le Monde ou Libé. Il y a a eu une enquête et TB n'a pas nié. Je crois qu'à l'époque, il a dit que c'est parce que son livre sur Tazmamart dérangeait le palais ... blabla. N'empêche il a étouffé l'affaire en achetant le silence de cette femme et sa famille. Et après, comme d'habitude, il est redevenu plus blanc que blanc.
Qd je parle de ces écrivains (TB, Slimani, etc.) qui ont vendu ou plutôt acheté leur reconnaissance en crachant sur leur pays d'origine, ce n'est pas l'écrivain que je vise, mais c'est leur opportunisme.
En revanche, leurs créations artistiques, les livres, les histoires, styles,... ce n'est pas ça qui me dérange. Au contraire, je respecte car je sais que c'est difficile d'écrire un livre, article, mémoire ou autre.
 
Un livre de quatre récits (une cinquantaine de pages chacune) d'un auteur égyptien (je ne l'ai pas fait exprès, je choisis en fonction du titre et de ce qui est écrit dans le verseau, je n'aime pas les histoires d'amour arabes de cassos lol, mais ça ne me gêne pas s'il y a de la romance, il faut juste qu'il y ait "autre chose".

C'est un auteur égyptien assez connu chez eux, je n'ai jamais entendu parler de lui, Mohamed al-Mansi Qindil, le titre c'est "vendre une âme humaine".

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Je ne connais pas trop la littérature égyptienne, à part Naguib Mahfouz (livres et films).
Ah si, j'avais aimé à l'époque Alae Aswani qui a écrit "L'immeuble Yaacoubian". J'ai aimé et le livre et le film avec Adil Imam. Il y avait aussi dedans une actrice tunisienne qui débutait Hind Sabrine. Ca montre entre autres comment le système peut créer par l'injustice ses propres terroristes.
J'ai aussi lu de lui un livre "Chicago" mais je ne me souviens plus de l'histoire.
 
La vérité, je l'ai a côté de moi depuis une semaine et toujours pas ouvert....
Donc faut pas compter sur moi pour faire une review dessus cette fois-ci.

Mais comme je suis plutôt sympa en plus d'être fenéante, je vous ai mis la quatrième de couverture.


Du coup, c'est pas vraiment ma lecture du moment... Mais comme ça fait "cultivée" de publier ici... Je fais illusion :D

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La vérité, je l'ai a côté de moi depuis une semaine et toujours pas ouvert....
Donc faut pas compter sur moi pour faire une review dessus cette fois-ci.

Mais comme je suis plutôt sympa en plus d'être fenéante, je vous ai mis la quatrième de couverture.


Du coup, c'est pas vraiment ma lecture du moment... Mais comme ça fait "cultivée" de publier ici... Je fais illusion :D

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C'est joli comme couverture: ça peut faire aussi décor!
Tu nous diras dans qqes semaines/mois/années si le récit ou/et style ressemblent à ceux de Yasmina Khadra?
A moins que "Lucy-Luke" Trackergirl l'ait commandé lu, et fait une synthèse avant ... plus vite que son ombre.
 
Un livre de quatre récits (une cinquantaine de pages chacune) d'un auteur égyptien (je ne l'ai pas fait exprès, je choisis en fonction du titre et de ce qui est écrit dans le verseau, je n'aime pas les histoires d'amour arabes de cassos lol, mais ça ne me gêne pas s'il y a de la romance, il faut juste qu'il y ait "autre chose".

C'est un auteur égyptien assez connu chez eux, je n'ai jamais entendu parler de lui, Mohamed al-Mansi Qindil, le titre c'est "vendre une âme humaine".

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Franchement, c'est un bon écrivain ! Je lirai autre chose de lui, sûre et certaine !

Les quatre récits sont de la réalité égyptienne avec 4 vies différentes, de la petite classe moyenne et la classe pauvre, sous le seuil de la pauvreté.

Pour les arabophones, je recommande à 100%
 
C'est joli comme couverture: ça peut faire aussi décor!
Tu nous diras dans qqes semaines/mois/années si le récit ou/et style ressemblent à ceux de Yasmina Khadra?
A moins que "Lucy-Luke" Trackergirl l'ait commandé lu, et fait une synthèse avant ... plus vite que son ombre.

Yasmina Khadra a un truc spécial que j'ai remarqué, dans certains de ses romans, me déclic de ses personnages principaux commence avec l'humiliation du père... je voudrais bien un jour comprendre pourquoi cette thématique revient souvent chez lui.

Ah j'ai encore craqué et j'ai acheté un roman en arabe, ma liste de la honte s'allonge ! :pleurs: je dois ABSOLUMENT purger les romans et une bonne partie des essais/non-fiction avant de le commander! Et je suis en retard d'une semaine sur mon challenge parce "série-chinoise"! Ah lalaaa, qu'est-ce que je ne ferais pas pour mon chéri Luo Yunxi! 🤩🥰😘😘😍🤭

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@simplement la , tant que tu ne le lis pas dans 5 ans, tu es encore safe! :wazaa:
 
C'est joli comme couverture: ça peut faire aussi décor!
En effet, je l'ai choisi principalement pour sa couverture d'ailleurs. Il faut toujours qu'elle soit assortie à mon chevet et mes rideaux.
Très important.


Tu nous diras dans qqes semaines/mois/années si le récit ou/et style ressemblent à ceux de Yasmina Khadra?
Le style je ne sais pas encore, mais en tout cas, il est vrai que les pseudonymes sont relativement similaires.
Je ne te raconte même pas comment je les avaient confondues à la médiatheque.....
J'ai suffisamment l'air d'une illettrée comme ça :D.

A moins que "Lucy-Luke" Trackergirl l'ait commandé lu, et fait une synthèse avant ... plus vite que son ombre.

Tu plaisantes.... Mais avant que je le finisse, elle aura eu le temps de le lire trois fois... Dont une fois en braille et l'autre à l'envers 😅😂.

@simplement la , tant que tu ne le lis pas dans 5 ans, tu es encore safe! :wazaa:

Dieu seul sait.
Après tout, jai des livres dans ma bibliothèque qui dorment depuis presque 10 ans. Toujours pas lu.

Je compte sur toi du coup 😁.
 
Dieu seul sait.
Après tout, jai des livres dans ma bibliothèque qui dorment depuis presque 10 ans. Toujours pas lu.

Je compte sur toi du coup 😁.

Tu es vraiment The copine ici! :D

I Love You Hug GIF
 
Je viens de finir la lecture ou la relecture des nouvelles de Stefan Zweig : La Peur, Le Joueur d'Echecs, 24 Heures de la Vie d'une Femme, etc... J'ai lu aussi récemment sa biographie de Magellan, du même auteur, incroyablement documentée pour l'époque.
Quel auteur... Dommage qu'il se soit suicidé en 1942 à cause du nazisme, quelques mois avant le tournant de la Guerre...

Sinon, je viens de commencer La Supplication, de Svetlana Alexievitch, autrice biélorusse et Prix Nobel de Littérature.
Il s'agit d'un essai consacré à la Catastrophe de Tchernobyl, avec des recueils de témoignages de liquidateurs (rescapés) ou de leurs famille. Emouvant et glaçant...
 
Très bon post !
J'aime beaucoup ❤️

J'ai finis le livre les 5 blessures qui empêchent d'être soi même de lise bourbeau je l'ai lu d'une traite il est excellent j'ai beaucoup appris sur moi même maa shaa Allah
Il parle des blessures qu'on a eu dans l'enfance : le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice et comment a l'âge adulte nous avons mis un masque pour se proteger

La je commence tout juste les 48 lois du pouvoir de Robert green j'ai craqué 🥰
Il a fait d'autres livres, je vais me procurer la collection
 
Très bon post !
J'aime beaucoup ❤️

J'ai finis le livre les 5 blessures qui empêchent d'être soi même de lise bourbeau je l'ai lu d'une traite il est excellent j'ai beaucoup appris sur moi même maa shaa Allah
Il parle des blessures qu'on a eu dans l'enfance : le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice et comment a l'âge adulte nous avons mis un masque pour se proteger

La je commence tout juste les 48 lois du pouvoir de Robert green j'ai craqué 🥰
Il a fait d'autres livres, je vais me procurer la collection

Yep, excellents livres, j'ai beaucoup aimé celui de Lise Bourdieu.

Pour Robert Greene, j'ai ce livre mais je n'ai pas encore tout lu, encore un titre dans mon exposition de la honte! :pleurs:
 
Ah maintenant, je lis enfin la biographie de Thérèse d'Avila après mon défi des 5 romans! :wazaa:

Regarde la pièce jointe 356389

Biographie super intéressante dans laquelle on peut voir l'évolution de Thérèse, d'une fille d'un grand charme qui aurait pu avoir un destin différent si ce n'est certaines circonstances familiales (père appauvri pour des considérations purement sociales, car l'époque donnait plus de valeurs aux titres de noblesse qu'au commerçants), sa galère pour créer des couvents dans un climat politique et religieux en ébullition avec tout ce que l'Espagne a vécu (conquête des Amériques, aka "les Indes", inquisition, chasse définitive des Maures,etc).

Je peux également le recommander à ceux qui s'intéressent à l'histoire de l'Espagne, il y a beaucoup d'informations sur l'époque.
 
Après mon sport (je ne bosse pas aujourd'hui lol), je vais lire ce roman, je l'ai pris au hasard car j'étais curieuse de lire un français contemporain et il a eu visiblement beaucoup de prix, il a du plaire à beaucoup de monde, on verra! :D

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Madddy

VIB
Très bon post !
J'aime beaucoup ❤️

J'ai finis le livre les 5 blessures qui empêchent d'être soi même de lise bourbeau je l'ai lu d'une traite il est excellent j'ai beaucoup appris sur moi même maa shaa Allah
Il parle des blessures qu'on a eu dans l'enfance : le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice et comment a l'âge adulte nous avons mis un masque pour se proteger

La je commence tout juste les 48 lois du pouvoir de Robert green j'ai craqué 🥰
Il a fait d'autres livres, je vais me procurer la collection
Je l'ai commandé il y a quelques mois très impatiente de le lire et bien-sûr comme d'hab j'ai remis a plus tard et je ne l'ai jamais lu 🙄😔
 

MrRandom

Me8louk since 2007 - Maître Tzendifeur
VIB
Le pays des autres - Leila Slimani

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" En 1944, Mathilde, une jeune Alsacienne, s’éprend d’Amine Belhaj, un Marocain combattant dans l’armée française.
Après la Libération, le couple s’installe au Maroc à Meknès, ville de garnison et de colons. Tandis qu’Amine tente de mettre en valeur un domaine constitué de terres rocailleuses et ingrates, Mathilde se sent vite étouffée par le climat rigoriste du Maroc. Seule et isolée à la ferme avec ses deux enfants, elle souffre de la méfiance qu’elle inspire en tant qu’étrangère et du manque d’argent. Le travail acharné du couple portera-t-il ses fruits?
Les dix années que couvre le roman sont aussi celles d’une montée inéluctable des tensions et des violences qui aboutiront en 1956 à l’indépendance de l’ancien protectorat."




Mon avis : J'ai lu un peu par-dessus la jambe ce livre, que je n'ai pas trouvé transcendant. En le lisant je pensais avoir le récit de Mathilde qui se rend compte qu'elle a fantasmé sa vie chez les bougnoules et qu'elle allait nous en faire un etat des lieux déplorable. Effectivement, il y'a de ça, et finalement c'est pas surprenant quand on connait le titre. En revanche, au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire, on entrevoit une nouvelle dimension. Amine, l'ancien soldat ayant combattu aux côtés de la France, revenu au pays et ayant épousé une française, commence à s'apercevoir des limites de cette union. Finalement, là où il voyait de la force dans leurs différences, aujourd'hui il y voit des faiblesses. Là où il chérissait les traits de caractères de Mathilde, il y voit aujourd'hui des défauts. Lui qui était si fier de brandir sa femme se retrouve à en avoir honte devant les siens. Les disputes liées à la différence de culture se font de plus en plus présentes, et dans le contexte de révolution pour l'indépendance du pays Amine a l'amer sensation d'être un traître à la nation par 2 fois. Finalement c’est peut-être lui qui lui a cette drôle de sensation d'être dans le pays des autres..

Il paraît qu’il y a une suite. Je ne la lirais pas. Mathilde m’a gonflé au max et ma patience, bien que je la cultive, a ses limites
 

MrRandom

Me8louk since 2007 - Maître Tzendifeur
VIB
Réparer les vivants - Maylis de Kerangal

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« Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps". "Réparer les vivants" est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour. »

Mon avis : C'est un livre surcoté. Un succès complètement incompréhensible. La longueur des phrases et le style rendent la lecture pénible. Beaucoup de digressions et de longs passages descriptifs qui n'apportent absolument rien, pire, qui tuent complètement l'émotion qu'on s'attend à ressentir en tant que lecteur sur un sujet aussi sensible. Au final c'est un récit clinique, une frise chronologique des événements qui surviennent à compter de l'accord pour le don d'organes, jusqu'à la transplantation finale. Bref De la daube en barre mes amis ! Un contenu fécal comme jamais lu auparavant mdr
 

Madddy

VIB
Réparer les vivants - Maylis de Kerangal

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« Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps". "Réparer les vivants" est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour. »

Mon avis : C'est un livre surcoté. Un succès complètement incompréhensible. La longueur des phrases et le style rendent la lecture pénible. Beaucoup de digressions et de longs passages descriptifs qui n'apportent absolument rien, pire, qui tuent complètement l'émotion qu'on s'attend à ressentir en tant que lecteur sur un sujet aussi sensible. Au final c'est un récit clinique, une frise chronologique des événements qui surviennent à compter de l'accord pour le don d'organes, jusqu'à la transplantation finale. Bref De la daube en barre mes amis ! Un contenu fécal comme jamais lu auparavant mdr
Tu l'as relu? 🙄
 

Madddy

VIB
Le pays des autres - Leila Slimani

Regarde la pièce jointe 358089

" En 1944, Mathilde, une jeune Alsacienne, s’éprend d’Amine Belhaj, un Marocain combattant dans l’armée française.
Après la Libération, le couple s’installe au Maroc à Meknès, ville de garnison et de colons. Tandis qu’Amine tente de mettre en valeur un domaine constitué de terres rocailleuses et ingrates, Mathilde se sent vite étouffée par le climat rigoriste du Maroc. Seule et isolée à la ferme avec ses deux enfants, elle souffre de la méfiance qu’elle inspire en tant qu’étrangère et du manque d’argent. Le travail acharné du couple portera-t-il ses fruits?
Les dix années que couvre le roman sont aussi celles d’une montée inéluctable des tensions et des violences qui aboutiront en 1956 à l’indépendance de l’ancien protectorat."




Mon avis : J'ai lu un peu par-dessus la jambe ce livre, que je n'ai pas trouvé transcendant. En le lisant je pensais avoir le récit de Mathilde qui se rend compte qu'elle a fantasmé sa vie chez les bougnoules et qu'elle allait nous en faire un etat des lieux déplorable. Effectivement, il y'a de ça, et finalement c'est pas surprenant quand on connait le titre. En revanche, au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire, on entrevoit une nouvelle dimension. Amine, l'ancien soldat ayant combattu aux côtés de la France, revenu au pays et ayant épousé une française, commence à s'apercevoir des limites de cette union. Finalement, là où il voyait de la force dans leurs différences, aujourd'hui il y voit des faiblesses. Là où il chérissait les traits de caractères de Mathilde, il y voit aujourd'hui des défauts. Lui qui était si fier de brandir sa femme se retrouve à en avoir honte devant les siens. Les disputes liées à la différence de culture se font de plus en plus présentes, et dans le contexte de révolution pour l'indépendance du pays Amine a l'amer sensation d'être un traître à la nation par 2 fois. Finalement c’est peut-être lui qui lui a cette drôle de sensation d'être dans le pays des autres..

Il paraît qu’il y a une suite. Je ne la lirais pas. Mathilde m’a gonflé au max et ma patience, bien que je la cultive, a ses limites
Ah bon ? 😁
 
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