Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont récemment dépassé le G7 en termes de PIB, suscitant l’intérêt de plusieurs pays souhaitant adhérer au groupement. La question se pose désormais de savoir si le Maroc devrait également envisager de rejoindre les BRICS. Rachid Achachi se penche sur le sujet !
Avec 41% de la population mondiale et 31% du PIB mondial, les BRICS sont devenus très attractifs pour les pays émergents ou en développement. Depuis deux ans, une vingtaine de pays ont exprimé leur désir d’intégrer les BRICS, dont l’Argentine, l’Iran et l’Algérie qui ont officiellement déposé des demandes d’adhésion.
Le Maroc pourrait également envisager de rejoindre les BRICS, ce qui lui permettrait d’accéder à un marché de plus de 3,2 milliards d’habitants et d’élargir les accords et partenariats économiques. Le Maroc pourrait également bénéficier de financements pour ses infrastructures grâce à la nouvelle banque de développement. Enfin, en rejoignant les BRICS, le Maroc pourrait accroître son poids et son influence diplomatique. Toutefois, il est important de noter que si le Maroc ne saisit pas cette opportunité, il laissera le champ libre à l’Algérie qui pourrait influencer les BRICS dans une perspective hostile au Maroc.
Avec 41% de la population mondiale et 31% du PIB mondial, les BRICS sont devenus très attractifs pour les pays émergents ou en développement. Depuis deux ans, une vingtaine de pays ont exprimé leur désir d’intégrer les BRICS, dont l’Argentine, l’Iran et l’Algérie qui ont officiellement déposé des demandes d’adhésion.
Le Maroc pourrait également envisager de rejoindre les BRICS, ce qui lui permettrait d’accéder à un marché de plus de 3,2 milliards d’habitants et d’élargir les accords et partenariats économiques. Le Maroc pourrait également bénéficier de financements pour ses infrastructures grâce à la nouvelle banque de développement. Enfin, en rejoignant les BRICS, le Maroc pourrait accroître son poids et son influence diplomatique. Toutefois, il est important de noter que si le Maroc ne saisit pas cette opportunité, il laissera le champ libre à l’Algérie qui pourrait influencer les BRICS dans une perspective hostile au Maroc.