Bonjour
Voilà, il y a des religieux, comme les évangéliques/fondamentalistes et catholiques (Jean-Paul II, Ratzinger/Benoît XVI) qui arrêtaient pas de dire que nos sociétés modernes actuelles sont largement tombées dans le relativisme, le subjectivisme, le refus de croire aux valeurs objectives et universelles. Dans l'ordre « libéral », chacun aurait le droit de se façonner sa propre petite morale et de décider pour lui-même ce qui est bon pour lui, tout en laissant les autres faire de même. « Vivre et laisser vivre » en somme.
Bon, bah je sais pas trop si c'était vrai il y a 25 ou 30 ans, à l'époque des grandes encycliques de JPII, mais je sais que c'est pas du tout l'ambiance qui règne actuellement dans la société, indépendamment de la religion ou de l'incroyance des gens.
Regardez les wokes! Les guerriers de la justice sociale! Les féministes! Les militants antiracistes/postcoloniaux! Les militants LGBTQ+!
Voyez-vous vraiment du relativisme dans le discours de ces personnes-là? Ne voyez-vous pas au contraire chez eux et elles des certitudes morales inébranlables et une propension à condamner et à intimider rageusement tous ceux qui se conforment pas à leurs standards et qui ont d'autres opinions sur ce genre de sujets (lire : des opinions situées plus à droite)?
Ne voyez-vous pas que ces militants, largement présents dans les médias traditionnels, sur les campus, et dans certains partis politiques et institutions, s'érigent en une nouvelle Inquisition de la Vérité morale qui ne pardonne pas à ceux qui ont eu des failles? Ne voyez-vous pas qu'on est plus trop dans la « liberté d'expression » ou « vivre et laisser vivre », mais au contraire face à une menace contre la liberté?
Quant à ceux du camp opposé, l'extrême droite, qu'ils soient religieux ou non, ils ont pas non plus de problème de relativisme, tellement ils sont convaincus de leur supériorité « intrinsèque » et « objective » et de leur bon droit sur les autres groupes (autres ethnies, « races » non blanches, féministes, homosexuels, Juifs, etc.).
Donc ces idéologues catholiques ou évangéliques (fondamentalistes) qui « paniquent » à cause du relativisme se méprennent sur la situation actuelle.
Voilà, il y a des religieux, comme les évangéliques/fondamentalistes et catholiques (Jean-Paul II, Ratzinger/Benoît XVI) qui arrêtaient pas de dire que nos sociétés modernes actuelles sont largement tombées dans le relativisme, le subjectivisme, le refus de croire aux valeurs objectives et universelles. Dans l'ordre « libéral », chacun aurait le droit de se façonner sa propre petite morale et de décider pour lui-même ce qui est bon pour lui, tout en laissant les autres faire de même. « Vivre et laisser vivre » en somme.
Bon, bah je sais pas trop si c'était vrai il y a 25 ou 30 ans, à l'époque des grandes encycliques de JPII, mais je sais que c'est pas du tout l'ambiance qui règne actuellement dans la société, indépendamment de la religion ou de l'incroyance des gens.
Regardez les wokes! Les guerriers de la justice sociale! Les féministes! Les militants antiracistes/postcoloniaux! Les militants LGBTQ+!
Voyez-vous vraiment du relativisme dans le discours de ces personnes-là? Ne voyez-vous pas au contraire chez eux et elles des certitudes morales inébranlables et une propension à condamner et à intimider rageusement tous ceux qui se conforment pas à leurs standards et qui ont d'autres opinions sur ce genre de sujets (lire : des opinions situées plus à droite)?
Ne voyez-vous pas que ces militants, largement présents dans les médias traditionnels, sur les campus, et dans certains partis politiques et institutions, s'érigent en une nouvelle Inquisition de la Vérité morale qui ne pardonne pas à ceux qui ont eu des failles? Ne voyez-vous pas qu'on est plus trop dans la « liberté d'expression » ou « vivre et laisser vivre », mais au contraire face à une menace contre la liberté?
Quant à ceux du camp opposé, l'extrême droite, qu'ils soient religieux ou non, ils ont pas non plus de problème de relativisme, tellement ils sont convaincus de leur supériorité « intrinsèque » et « objective » et de leur bon droit sur les autres groupes (autres ethnies, « races » non blanches, féministes, homosexuels, Juifs, etc.).
Donc ces idéologues catholiques ou évangéliques (fondamentalistes) qui « paniquent » à cause du relativisme se méprennent sur la situation actuelle.