Mardi 19 septembre 2023, plusieurs lycées et un collège de Rouen et sa métropole ont été évacués après avoir reçus des messages les menaçant d'attentats. Précisions.
« Le proviseur est passé dans les classes et nous a dit d’évacuer sur décision du préfet, vers 13 heures ». Ce professeur du lycée Marcel-Sembat à Sotteville-lès-Rouen n’a pas eu plus de détails que cette explication, mardi 19 septembre 2023 : « Le lycée a reçu une menace d’attentat ».
Les établissements concernés sont :
judiciaire de Rouen a ouvert une enquête, qu’il a confiée à la direction territoriale de la police judiciaire », conclut la préfecture.
« Le proviseur est passé dans les classes et nous a dit d’évacuer sur décision du préfet, vers 13 heures ». Ce professeur du lycée Marcel-Sembat à Sotteville-lès-Rouen n’a pas eu plus de détails que cette explication, mardi 19 septembre 2023 : « Le lycée a reçu une menace d’attentat ».
Des menaces d’attentats reçues par mail
Et l’établissement de Sotteville-lès-Rouen n’est pas le seul. La préfecture de la Seine-Maritime par voie de communiqué, a indiqué vers 13h30 : « Des messages de menaces de commission d’attentats ont été adressés dans la matinée de ce mardi, par mail ».Les établissements concernés sont :
- le lycée des métiers Grieu à Rouen,
- le lycée Gustave-Flaubert à Rouen,
- le collège Fontenelle à Rouen,
- le lycée Fernand-Léger à Grand-Couronne et le CFA Simone-Veil à Rouen.
« Aucune menace confirmée »
À ce stade selon la préfecture « Aucune menace n’a été confirmée. Il a toutefois été décidé en lien étroit entre le rectorat de Normandie et la direction des services départementaux de l’Éducation nationale de la Seine-Maritime d’évacuer les établissements scolaires concernés, afin de permettre à la police nationale d’engager un protocole de levée de doute ».Une visite approfondie des locaux des établissements scolaires est donc organisée. « En parallèle de ce protocole de levée de doute, le procureur de la République près le tribunalToutes les dispositions sont prises afin que les élèves puissent réintégrer leur établissement dans les meilleurs délais,
la préfecture de la Seine-Maritime.
judiciaire de Rouen a ouvert une enquête, qu’il a confiée à la direction territoriale de la police judiciaire », conclut la préfecture.