S.o.s hommes battus

Salam Aleykoum,

J'ai conscience que cela constitue un exercice difficile voir dangereux. Ce n'est pas de bon ton à une heure où la victimisation féminine est de mise mais cependant je me lance néanmoins.

Je souhaiterais que l'on adresse une pensée à tous ces hommes battus, victimes d'harcèlement et de violences sexistes de la part de femmes ET d'autres hommes et dont la souffrance est parfaitement niée, si ce n'est qu'elle est ridiculisée.

En effet, un homme meurt tout les 15 jours en France sous les coups de sa conjointe. Chaque jour plus de 200 hommes sont victimes de violences conjugales (je vous laisse deviner que si le rapport de puissance entre les hommes et les femmes se trouvait être en défaveur des hommes, alors les chiffres seraient bien plus accablants) sans que personne ne trouve rien à y redire.
Au contraire ces hommes pourraient être traités de lopettes là où l'on fait tout un pataquès afin de faire intérioriser aux hommes le fait que ce sont tous des salops en puissance et que les femmes sont toutes des brebis innocentes (forcément car la prédation est nécessairement masculine et la blanche colombe immaculée nécessairement féminine).

L'on nie la possibilité que la femme puisse être violente, l'on fait de l'homme un dangereux loup à encadrer fortement et tous les moyens sont mis pour élaborer des structures, des projets afin de combattre la violence n'allant que dans un sens. Sachant que les chiffres de la violence faite aux hommes sont loin de traduire une réalité cachée puisque bien moins d'hommes osent se plaindre de ce qu'ils subissent de leurs conjointes (évidemment, c'est une honte pour un homme dans notre société que d'avouer les souffrances qu'il subit au quotidien).
Et après l'on entend nous tenir des homélies sur l'égalité et sur le nécessaire combat discriminant à mener lors même que l'on nie un fléau et que l'on proscrit à l'homme le droit de s'exprimer sur sa souffrance.
 
Eh bien, je ne rentre pas dans ces schémas féministes, je ne suis pas disposé à demeurer sous la sujétion d'une propagande nauséabonde tentant de me convaincre de mon statut essentiel de salop de par ce qui se trouve dans mon entrecuisse, je ne supporte pas cette essentialisation qui se déroule, je n'agrée point le fait que que certains et certaines tentent de me subjuguer avec leurs slogans trompeurs et j'ose dire que TOUTES les formes de violence sont à combattre.
Que celles-ci résultent d'un homme ou d'une femme.

De même j'ose dire que l'homme n'est pas plus violent que la femme. Que si les chiffres sont plus accablants pour les femmes cela est uniquement du fait que l'homme est musculairement plus fort et que si l'inverse était vrai alors les données seraient inversées.

Enfin, j'ose dire que si la violence me parait partagée entre hommes et femmes, celle-ci s'exprime différemment chez les femmes et se trouve être plus subtile, plus psychologique par rapport à l'homme n'ayant que son coup de poing mais se trouve néanmoins tout aussi présente.
 
Pauvres hommes battus ne les oublions pas...
Et oui ça existe!!! Dans ce cas faut prendre ses jambes à son coup
Malheureusement que ce soit pour les hommes ou pour les femmes, il est parfois bien difficile de briser certains liens. L'on peut ainsi souffrir de violences physiques, verbales/psychologiques sans pour autant avoir la force de tout quitter.
 
Malheureusement que ce soit pour les hommes ou pour les femmes, il est parfois bien difficile de briser certains liens. L'on peut ainsi souffrir de violences physiques, verbales/psychologiques sans pour autant avoir la force de tout quitter.
On sait bien que psychologiquement c'est difficile de tout quitter..
Force à ces personnes de faire le bon choix ..
 
Je t'invite à lire cet article.

Il y a de jolis graphiques très très très parlants.

https://www.alternatives-economiques.fr/famille-couple-zones-dangereuses-femmes/00012680
En fait, un graphique est très largement incapable de retransmettre exhaustivement la complexité de situations extrêmement hétérogènes. Ne prendre qu'un élément (le viol), par-ailleurs parfaitement tributaire de caractéristiques essentielles à l'homme et à la femme et en déduire des généralités, ne me paraît absolument pas constituer une attitude sérieuse.

En d'autres termes, s'attarder, au moyen d'un graphique faisant parler les émotions plus que la raison, sur l'unique cas du viol en sachant pertinemment que la force physique nécessaire à la constitution d'un tel crime innommable, ne peut que traduire de flagrantes différences entre les hommes et les femmes sur ce sujet, étant donné que celles-ci ne sont pas "équipées", ni sexuellement, ni musculairement pour le mettre en oeuvre, c'est tenter d'orienter volontairement le débat dans un but de propagande manifeste telle que celle que je dénonce plus haut.

Tout d'abord et je le répète, il faut savoir que statistiquement bien moins d'hommes ne dénoncent les violences qu'ils subissent comparativement aux femmes. Ceci explique donc, en partie, que l'on en retrouve bien plus qui sont le fait d'hommes.
Deuxièmement, la force physique supérieure des hommes engendre nécessairement des disparités quant au rapport entre violences physiques subies/engendrées entre les sexes.

Enfin, les violences dont se rendent majoritairement coupables les femmes à l'encontre des hommes et qui sont de l'ordre du verbal et du psychologique, ne font l'objet d'aucun graphique, d'aucune étude (du moins pas à ma faible connaissance) et d'aucun projet politique ou citoyen formulé dans le but d'y mettre fin.

L'on constate ainsi que ce que l'on se contente de déplorer (et qu'il faut bien entendu combattre), se résume à une seule forme de violence qui, du fait de "conditions matérielles" particulières, défavorisera nécessairement les hommes dans les comptes-rendus qui seront faits.

Mais, procéder ainsi constitue déjà une forme de violence qui, une fois n'est pas coutume, est principalement le fait de femmes et n'est nullement comptabilisée.
Cessons de rêver en nous accrochant à de vieux stéréotypes qui veulent que les hommes sont génétiquement plus enclin à la violence que les femmes lors même que nous sommes incapables de correctement définir la violence qui ne se résume, hélas pas, au seul coup de poing, en somme au domaine de l'apparent.
 
Dernière édition:
@DKKRR
Je comprend totalement ta démarche honorable.
Il faut dénoncer les violences à l'encontre des hommes mais ce qui me gêne dans tes propos c'est surtout la façon dont tu l'exposes... comme si tu voulais minimiser la gravité du harcèlement que subisse les femmes en essayant à tout prix de le comparer à celui subit par les hommes.

Excuse moi mais il est incomparable !

Et tes explications sont à la limite franchement : "En d'autres termes, s'attarder, au moyen d'un graphique faisant parler les émotions plus que la raison"

???? t'es sérieux là ?
c'est un graphique qui pour toi fait parler les émotions ? un viol c'est une émotion ?
Une femme s'est fait violer sous le coup des émotions ?
Aucune raison la dedans ?

explique ...
 
@DKKRR
Je comprend totalement ta démarche honorable.
Il faut dénoncer les violences à l'encontre des hommes mais ce qui me gêne dans tes propos c'est surtout la façon dont tu l'exposes... comme si tu voulais minimiser la gravité du harcèlement que subisse les femmes en essayant à tout prix de le comparer à celui subit par les hommes.

Excuse moi mais il est incomparable !

Et tes explications sont à la limite franchement : "En d'autres termes, s'attarder, au moyen d'un graphique faisant parler les émotions plus que la raison"

???? t'es sérieux là ?
c'est un graphique qui pour toi fait parler les émotions ? un viol c'est une émotion ?
Une femme s'est fait violer sous le coup des émotions ?
Aucune raison la dedans ?

explique ...
Je ne cherche, au contraire, pas à opposer les violences entre les sexes et si c'est la perception qui découle de mes propos, j'en suis sincèrement désolé.
Je regrette plutôt le fait que c'est ce qui se déroule de façon quasi-systématique de nos jours et c'est notamment ce que l'on peut retrouver dans votre discours, à savoir "les femmes subissent un harcèlement supérieur à celui que subissent les hommes". Conclusion, "elles sont donc plus victimes que les hommes".

S'il y a une opposition qui est créée, elle bien de votre fait et nullement du mien (du moins ce n'est pas mon ambition).
Ce que j'entends énoncer, c'est tout d'abord en tant qu'homme, puis en tant qu'humain par la suite, je ne supporte que trop difficilement que l'on veuille me faire intégrer le fait que mes cheveux courts et mon absence de poitrine me prédisposeraient à la violence contrairement aux humaines.
Tout d'abord, je ne suis pas pour l'essentialisation des individus quels qu'ils soient. Ensuite, j'entends expliquer ces bilans défavorables pour les hommes par d'autres critères que la contamination génétique ("les gènes d'un homme se trouveraient être plus violents").
En l'occurrence, la force physique et la honte pour l'homme battu de se dénoncer me paraissent être les seuls éléments permettant d'expliquer cette disparité en terme de violences subies/engendrées entre les sexes.

Enfin, je trouve cela complètement aberrant qu'on ne réduise la violence qu'au domaine de l'apparent, à savoir les coups. Comme si la violence verbale et les traumatismes psychologiques qui s'en trouvent engendrés ne comportaient aucune sorte d'importance lors même qu'ils peuvent être bien plus destructeurs que les coups.
La violence physique découlant même parfois de celle verbale (si ce n'est assez souvent).

En somme, j'affirme sans aucune retenue qu'un homme n'est pas essentiellement plus violent qu'une femme. J'affirme que bien des hommes souffrent également de violences physiques de la part de femmes (puisque c'est la seule qui est prise en compte) sans que personne ne s'en soucie (peu importe qu'il y en ait 1 pour 1 milliard de femmes).
J'affirme encore que ce matraquage idéologique, consistant à faire intérioriser le fait que la violence serait masculine, suffit et qu'une position raisonnable prendrait en considération toutes les formes de violence afin de ne pas privatiser la souffrance à une seule composante de la population comme c'est malheureusement actuellement le cas.

A mon sens, une femme ne souffre pas plus qu'un homme et je dis STOP aux positions victimaires d'où qu'elles proviennent.
 
Et je précise que je ne tente pas de minorer les souffrances des femmes. J'entends juste rétablir l'équilibre et je suis en désaccord total avec le fait que la violence que subissent les femmes serait prétendument incomparable à celle que subissent les hommes (cela est vrai dans le domaine de la violence physique, mais celle-ci n'est pas réductible au seul domaine du physique).
 
Et tu veux qu'on te délivre une médaille pour ce message ?


On le sait qu'il y a des victimes masculines, c'est pas un secret d'état.

C'est plutot toi qui est en position victimaire avec ce genre de propos.
 
Aleykoum salam

C'est étrange et dommage de commencer le message de cette façon.
Personnellement, je tente de ne pas réfréner ma pensée. Il est vrai que cela peut choquer (et j'en suis désolé) mais c'est bien le constat que j'effectue, à savoir la victimisation qui est actuellement de mise.
 
N'ayant, à aucun moment, été désagréable avec vous (du moins je le regrette si cela a pu apparaître comme tel), je ne comprends pas le pourquoi de cette réflexion qui constitue, en quelque sorte, une forme de violence (comme quoi celle-ci n'est, une nouvelle fois, pas réductible au seul domaine du physique).

https://www.bladi.info/threads/bladinautes-impolis-attitude-normale.461508/


:confused:

encore une fois vous prenez (je vous vouvoie puisque vous me vouvoyez) une position victimaire...

je dénonce juste votre façon désagréable et "sale" de réduire les agressions faites aux femmes en les faisant passer pour une "victimisation féminine"
 
Personnellement, je tente de ne pas réfréner ma pensée. Il est vrai que cela peut choquer (et j'en suis désolé) mais c'est bien le constat que j'effectue, à savoir la victimisation qui est actuellement de mise.

A mon avis c'est plus une question de médiatisation et récupération politique et associative feministe que une question de victimisation.

Pour en revenir au sujet la violence sur les hommes
Peut etre que si les hommes parlent moins c'est que ça doit être plutôt compliqué judiciairement d'être reconnu homme battu ?
 
A mon avis c'est plus une question de médiatisation et récupération politique et associative feministe que une question de victimisation.

Pour en revenir au sujet la violence sur les hommes
Peut etre que si les hommes parlent moins c'est que ça doit être plutôt compliqué judiciairement d'être reconnu homme battu ?


Je pense surtout que c'est difficile dans le sens que c'est mal vu. Non ?
La peur d'être traité de faible etc...
Et sauter le pas pour dénoncer la violence physique ET psychologique c'est très très difficile à faire... que ce soit pour un homme ou pour une femme.
 
Dernière édition:

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
[…]

En effet, un homme meurt tout les 15 jours en France sous les coups de sa conjointe. Chaque jour plus de 200 hommes sont victimes de violences conjugales (je vous laisse deviner que si le rapport de puissance entre les hommes et les femmes se trouvait être en défaveur des hommes, alors les chiffres seraient bien plus accablants) sans que personne ne trouve rien à y redire.
[…]
Question violence physique ou sociale et mort violente dont la populace et les « femmes » se moquent, on peut aussi ajouter que la pauvreté (la vraie pauvreté) touche plus les hommes que les « femmes » (pendant que les féministes nous divertissent avec des inégalités dans les hauts revenus, qui n’existent pas), que les hommes sont de loin les premières victimes de violence au sens général, idem pour les victimes d’homicides, qu’ils sont aussi largement majoritaires à mourir dans la rue, qu’ils sont de bien loin les plus nombreux à mourir d’accidents de travail dangereux (pour ne pas parler du reste).
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
[…]

L'on nie la possibilité que la femme puisse être violente, l'on fait de l'homme un dangereux loup à encadrer fortement et tous les moyens sont mis pour élaborer des structures, des projets afin de combattre la violence n'allant que dans un sens. Sachant que les chiffres de la violence faite aux hommes sont loin de traduire une réalité cachée puisque bien moins d'hommes osent se plaindre de ce qu'ils subissent de leurs conjointes (évidemment, c'est une honte pour un homme dans notre société que d'avouer les souffrances qu'il subit au quotidien).
Et après l'on entend nous tenir des homélies sur l'égalité et sur le nécessaire combat discriminant à mener lors même que l'on nie un fléau et que l'on proscrit à l'homme le droit de s'exprimer sur sa souffrance.
Une homélie (ou un dogme plutôt), fondée sur l’idée implicite que s’il y a moins de « femmes » en politique, c’est à cause d’un complot des hommes contre les « femmes », en écartant délibérément et à priori, l’idée qu’il puisse y avoir d’autres causes : suivisme, dépendance, passivité, soumission volontaire (et opportuniste). D’ailleurs les hommes votent plus volontiers pour les « femmes » que les « femmes » elles‑mêmes, ce qui suffit à démontrer que cette idée d’un complot des hommes contre elles, c’est se moquer du monde (ce qui démontre aussi que la populace aime être prise pour une imbécile).
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Pauvres hommes battus ne les oublions pas...
Et oui ça existe!!! Dans ce cas faut prendre ses jambes à son coup
Pour les violences conjugales, ça peut être une solution, mais pas toujours. Si les enfants restent avec le folle, aïe‑aïe‑aïe les pauvres gosses … Même sans enfants, il y a le problème qu’il n’existe aucun foyer pour les hommes battus (pas que en france), et que à moins qu’il n’ait un compte en banque bien garni (et que ce n’était pas un compte joins sur lequel elle a mis la main), ben il est bon pour dormir sous les ponts.

Puis pour tout le reste, les violences non‑conjugales, il faut fuir où ?

Pour ce qui est conjugale, il faut anticiper : déjà pas de mariage avec une féministe, et encore moins d’enfants avec une féministe (!), et se méfier aussi de celles qui font semblant d’être égalitaristes (font semblant par défaut).
 
Pour les violences conjugales, ça peut être une solution, mais pas toujours. Si les enfants restent avec le folle, aïe‑aïe‑aïe les pauvres gosses … Même sans enfants, il y a le problème qu’il n’existe aucun foyer pour les hommes battus (pas que en france), et que à moins qu’il n’ait un compte en banque bien garni (et que ce n’était pas un compte joins sur lequel elle a mis la main), ben il est bon pour dormir sous les ponts.

Puis pour tout le reste, les violences non‑conjugales, il faut fuir où ?

Pour ce qui est conjugale, il faut anticiper : déjà pas de mariage avec une féministe, et encore moins d’enfants avec une féministe (!), et se méfier aussi de celles qui font semblant d’être égalitaristes (font semblant par défaut).
féministe ne veut pas dire cogner ou être affreuse avec un homme
je suis pas d'accord avec toi ...tu exagére^^
fuir où ? s'installer ailleurs
pour ce qui est des gosses si violences sur monsieur et si instabilité psychique de mme est démontré je pense pas que la Loi laisserait des gosses avec une telle dame
je veux pas croire que quand tu es en danger tu ne puisses pas faire quelque chose pour t'en sortir ..faut il en avoir le courage la force et savoir demander de l'aide
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Question violence physique ou sociale et mort violente dont la populace et les « femmes » se moquent, on peut aussi ajouter que la pauvreté (la vraie pauvreté) touche plus les hommes que les « femmes » (pendant que les féministes nous divertissent avec des inégalités dans les hauts revenus, qui n’existent pas), que les hommes sont de loin les premières victimes de violence au sens général, idem pour les victimes d’homicides, qu’ils sont aussi largement majoritaires à mourir dans la rue, qu’ils sont de bien loin les plus nombreux à mourir d’accidents de travail dangereux (pour ne pas parler du reste).

Ils n'ont qu'à se prendre en main!
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
L'on nie la possibilité que la femme puisse être violente, l

personne le nie .. mais dans 9 cas sur 10 c est l homme le bourreau et la femme la victime ... alors on peut faire comme si la réalité existait pas et s inventer une oppression pour eviter de voir celle qu on fait subir .. mais bon a un moment meme les enfants finissent par accepter la réalité ...aller courage . passer l étape des couches et une fois le popo bien maitrisé ..Ca devrait aller mieux ..
 
personne le nie .. mais dans 9 cas sur 10 c est l homme le bourreau et la femme la victime ... alors on peut faire comme si la réalité existait pas et s inventer une oppression pour eviter de voir celle qu on fait subir .. mais bon a un moment meme les enfants finissent par accepter la réalité ...aller courage . passer l étape des couches et une fois le popo bien maitrisé ..Ca devrait aller mieux ..
Encore une fois vous occultez le fait que la violence n'est nullement réductible au domaine physique, ainsi que je l'énonçais plus haut. Partant de là, si vos prémisses sont biaisées votre conclusion sera nécessairement erronée.

D'autant plus qu'à l'instar de ce que disait Hibou, la violence sociale que subissent, très majoritairement, les hommes et qui peut se traduire par une plus grande pauvreté les affectant ou par une mort plus fréquente dans des boulots dangereux, ne fait pas partie de l'équation et démontre ainsi, que tout ce pataquès ne consiste, en réalité, qu'en un vaste projet cherchant avant tout à faire culpabiliser les hommes. A les présenter comme des agresseurs en puissance, à leur faire intérioriser ce fait et à contrario, à faire intégrer aux femmes le fait qu'elles sont essentiellement des victimes.

J'ai bien peur que tout cela n'influe négativement sur le discernement des juges qui seront amenés, dans le futur, à trancher dans des litiges opposant des conjoints de sexes différents.
 

dawn06

jour après jour
VIB
Je suis
Salam Aleykoum,

J'ai conscience que cela constitue un exercice difficile voir dangereux. Ce n'est pas de bon ton à une heure où la victimisation féminine est de mise mais cependant je me lance néanmoins.

Je souhaiterais que l'on adresse une pensée à tous ces hommes battus, victimes d'harcèlement et de violences sexistes de la part de femmes ET d'autres hommes et dont la souffrance est parfaitement niée, si ce n'est qu'elle est ridiculisée.

En effet, un homme meurt tout les 15 jours en France sous les coups de sa conjointe. Chaque jour plus de 200 hommes sont victimes de violences conjugales (je vous laisse deviner que si le rapport de puissance entre les hommes et les femmes se trouvait être en défaveur des hommes, alors les chiffres seraient bien plus accablants) sans que personne ne trouve rien à y redire.
Au contraire ces hommes pourraient être traités de lopettes là où l'on fait tout un pataquès afin de faire intérioriser aux hommes le fait que ce sont tous des salops en puissance et que les femmes sont toutes des brebis innocentes (forcément car la prédation est nécessairement masculine et la blanche colombe immaculée nécessairement féminine).

L'on nie la possibilité que la femme puisse être violente, l'on fait de l'homme un dangereux loup à encadrer fortement et tous les moyens sont mis pour élaborer des structures, des projets afin de combattre la violence n'allant que dans un sens. Sachant que les chiffres de la violence faite aux hommes sont loin de traduire une réalité cachée puisque bien moins d'hommes osent se plaindre de ce qu'ils subissent de leurs conjointes (évidemment, c'est une honte pour un homme dans notre société que d'avouer les souffrances qu'il subit au quotidien).
Et après l'on entend nous tenir des homélies sur l'égalité et sur le nécessaire combat discriminant à mener lors même que l'on nie un fléau et que l'on proscrit à l'homme le droit de s'exprimer sur sa souffrance.

Je comprend ou tu veux en venir mais tu retranscrit très mal tes pensées. A l'aune de tes écrits ont a l'impression que tu met en opposition les hommes et les femmes. Ce n'est pas la bonne façon de faire. On ne classifie pas les souffrances.

Mais je comprend ou tu veux en venir. J'ai du représenté un homme victime de harcèlement moral et sexuel et c'est quand même bien compliqué à faire accepter à un employeur et après au prud'hommes. Les autres femme et hommes trouvaient ça risible alors que la douleur de la personne était réelle et loin d'être risible.
La société a du mal à appréhender le fait qu'un homme puisse se sentir offenser par des propos a connotation sexuelles ou des propositions sexuelles.

Les violences sont les mêmes mais ce sont les perceptions qui diverge. On a aucun mal à placer la femme en tant que victime mais une barrière mentale nous empêche d'en faire de même pour l'homme. Mais cela n'a rien à voir avec une quelconque victimisation qui est tout de même un terme très péjoratif qui induit une exagération. En matière de harcèlement ou d'agression sexuelle l'exagération n'existe point...

Il faut arrêter d'opposer les sexes dans tout les domaines.
 
Certaines parties du corps masculin sont très vulnérables, je conseille aux hommes le port d'un gilet pare-kouilles.
Bonjour
Je remercie la personne qui a démarré ce débat sur la violence féminine qui reste un tabou dans nos sociétés
Car on a peur de la rendre visible au détriment de la violence masculine.
A mon sens, il faut dénoncer les deux ,
Les femmes -malgré "-leurs douces nature"
Sont capables de violences!!
Ma propre mère était pendant des années mon bourreau! Donc arrêtez de penser aux femmes exclusivement comme victimes!!
 
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