Un raisonnement égoïste, auto-centré et individualiste qui méconnait les difficultés de parcours comme la charge du patron. Un patron qui est sur le même bateau que les cadres et employés avec la différence qu'il ne se préoccupe pas uniquement des intérêts de sa seule personne, mais de nombreuses personnes autres que le personnel : un défaut de paiement et c'est l'entreprise du fournisseur qui en subit les conséquences ou les sociétés de services : cabinet d'assurance, transitaires etc ..
En pleine faillite le personnel et les ouvriers sont les premiers à être payés, puis viennent au second rang les banques, l'état etc ... Le patron se retrouvant poursuivi même dans ses biens, ses propriétés personnelles, au cas ou une caution solidaire, une garantie ou hypothèque aurait été consentie, sans compter le démantèlement de son entreprise la saisie des équipements nantis et leur vente aux enchères.
De plus vu les formes juridiques adoptées s.a.r.l ou s.a, le vrai patron est une personne morale engagée vis à vis des banques, employant le "patron" réel, qui a ce titre est un salarié au même titre que tout le personnel.
Personne n'est obligé à signer un contrat de travail, une fois le statut de salarié établit on ne peut pas légitimement se plaindre. Chacun est libre et responsable de ses choix et il ne faut pas cracher sur la soupe.
Devenir patron est à la portée de nombre de personnes qui prennent des risques, cherchent des associés, trouvent des solutions de financement. Rester patron est une autre paire de manche ...
En pleine faillite le personnel et les ouvriers sont les premiers à être payés, puis viennent au second rang les banques, l'état etc ... Le patron se retrouvant poursuivi même dans ses biens, ses propriétés personnelles, au cas ou une caution solidaire, une garantie ou hypothèque aurait été consentie, sans compter le démantèlement de son entreprise la saisie des équipements nantis et leur vente aux enchères.
De plus vu les formes juridiques adoptées s.a.r.l ou s.a, le vrai patron est une personne morale engagée vis à vis des banques, employant le "patron" réel, qui a ce titre est un salarié au même titre que tout le personnel.
Personne n'est obligé à signer un contrat de travail, une fois le statut de salarié établit on ne peut pas légitimement se plaindre. Chacun est libre et responsable de ses choix et il ne faut pas cracher sur la soupe.
Devenir patron est à la portée de nombre de personnes qui prennent des risques, cherchent des associés, trouvent des solutions de financement. Rester patron est une autre paire de manche ...