Séisme au Maroc. Le forcing de la France pour envoyer des aides au Maroc: le recadrage de Samira Sitaïl sur BFM TV

L'aide est incroyable.
J'ai repris mes randonnées le week-end dernier.
Traversée Lalla Aziza vers Taroudant avec 2 nuits sous tente au plateau Tichka.
Énormément de camions, 4x4, forces auxiliaire, croissant rouge, associations qui continuent d'emmener de l'aide dans les villages les plus reculés.
L'aide de l'etranger arrive jusqu'aux douars les plus touchés. Impressionnant
 
J'ai pensé aussi à toi et j'allais te tague pour que tu vois la vidéo du 360 l'extrait est plus long plus d'un quart d'heure ^^


Je trouve qu'il a été honnête - en gros il a dit si ça tenait qu'à moi au sein de LFI - ce serait plus un sujet - mais il y a d'autres voix dans le parti - il appelle au réalisme - cite les positions us, espagnole et israel - franchement il n'a pas manié la langue de bois - pour moi, ça vient rajouter une pression sur la Macronie -
 

mielle

Tamaghrabit ô bekhire 3liya
VIB
Je trouve qu'il a été honnête - en gros il a dit si ça tenait qu'à moi au sein de LFI - ce serait plus un sujet - mais il y a d'autres voix dans le parti - il appelle au réalisme - cite les positions us, espagnole et israel - franchement il n'a pas manié la langue de bois - pour moi, ça vient rajouter une pression sur la Macronie -
Il s'est laissé allé plus qu'il n'en faut, on le doit sûrement à la luminosité, les odeurs, l'ambiance, tout ses rappels d'une marocanite enfoui en lui qu'il a laissé ressurgir et qui lui a valu un trop d'amour qu'il a eu dut mal à contenir...

La pression première il l'a mit à son propre parti ou certes il entend bien les idées des un et des autres, mais que les représentant du lfi n'ont et ne doivent avoir comme seul représentation et relation qu'avec les diplomates et représentant du Maroc et nul autre et comprenne qui veut que c'est suffisamment claire de sa part.

Son rappel de sa marocanite c'est manifesté aussi par son souvenir de feu Mohamed 5 pour le rappel du souverain au Maroc afin qu'il y règne son premier combat... Et qu'il a pour souhait de voir le prince moulay Hassan.... Comprendre la monarchie Marocaine je l'accepte l'ai toujours accepte de ma plus tendre enfance à l'aube de ma vie.....

Il a dit ce qui était attendu de lui, on ne peut le nier, il a même lâcher un trop d'amour qu'on a senti sincère... Il pourra vivre une belle retraite au Maroc ^^
 
Il s'est laissé allé plus qu'il n'en faut, on le doit sûrement à la luminosité, les odeurs, l'ambiance, tout ses rappels d'une marocanite enfoui en lui qu'il a laissé ressurgir et qui lui a valu un trop d'amour qu'il a eu dut mal à contenir...

La pression première il l'a mit à son propre parti ou certes il entend bien les idées des un et des autres, mais que les représentant du lfi n'ont et ne doivent avoir comme seul représentation et relation qu'avec les diplomates et représentant du Maroc et nul autre et comprenne qui veut que c'est suffisamment claire de sa part.

Son rappel de sa marocanite c'est manifesté aussi par son souvenir de feu Mohamed 5 pour le rappel du souverain au Maroc afin qu'il y règne son premier combat... Et qu'il a pour souhait de voir le prince moulay Hassan.... Comprendre la monarchie Marocaine je l'accepte l'ai toujours accepte de ma plus tendre enfance à l'aube de ma vie.....

Il a dit ce qui était attendu de lui, on ne peut le nier, il a même lâcher un trop d'amour qu'on a senti sincère... Il pourra vivre une belle retraite au Maroc ^^

Tu as tout à fait raison, j'en ai pas parlé mais c'est là l'essentiel.
Il a envoyé un message sans équivoque à son parti.
Qui sait, LFI pourrait nous réserver une surprise ...
 
Je trouve qu'il a été honnête - en gros il a dit si ça tenait qu'à moi au sein de LFI - ce serait plus un sujet - mais il y a d'autres voix dans le parti - il appelle au réalisme - cite les positions us, espagnole et israel - franchement il n'a pas manié la langue de bois - pour moi, ça vient rajouter une pression sur la Macronie -
Bonjour,
Il baratine beaucoup pour tourner autour du pot sans s'engager clairement.
Il est capable de dire oui la police tue.
Il est incapable de dire oui le Sahara est Marocain.
C'est pourtant simple
 

mielle

Tamaghrabit ô bekhire 3liya
VIB
Bonjour,
Il baratine beaucoup pour tourner autour du pot sans s'engager clairement.
Il est capable de dire oui la police tue.
Il est incapable de dire oui le Sahara est Marocain.
C'est pourtant simple
Il a quand même fait pour un président d'extrême gauche un grand virage à 360 degré.... Il en a dit bien plus que lui même ne pensait dire.
Il l'a dit à sa façon.... Mais je suis d'accord avec toi sur le fait que ce sont deux mots très simple à prononce et qu'il aurait dut aller jusqu'au bout de sa pensée et les dires.
 
Bonjour,
Il baratine beaucoup pour tourner autour du pot sans s'engager clairement.
Il est capable de dire oui la police tue.
Il est incapable de dire oui le Sahara est Marocain.
C'est pourtant simple

Disons qu'on ne l'a pas mis au pied du mur.
La question aurait du être plus franche - du style "Vous président, allez-vous vous aligner sur la position US/ES/IS) ?"
C'est un chef de parti, il doit ménager ses troupes - s'il veut gagner une élection il lui faut à la fois éviter des scissions dans le parti et ne pas perdre des électeurs - il invite avec des mots choisis tout ce beau monde à faire preuve de réalisme (le mot est très fort) et dit clairement que le Polizbel n'est pas un interlocteur. De mon point de vue, on vient de loin avec ce parti.
On va souffler sur ces flammichettes jusqu'à ce que ça devienne un brasier :D
 
C'est pas rien
Cela revient à affaiblir encore plus le Polisario, à isoler l'Algérie sur la scène internationale (sur cette question)
La France fait les choix dictés par ses intérêts - on ne saurait lui reprocher si et seulement si, elle n'avait pas une responsabilité historique - et quand bien même, nous serions disposés à mettre un mouchoir sur sa responsabilité historique sur le tracé de nos frontières - si elle décide de se ranger du côté de l'Algérie, qu'elle en assume les conséquences à tous points de vue.

L'hypothèse que tu ne saurais probablement envisager en tant que FR, c'est que si la France ne souhaite pas faire le pas que le Maroc attend, c'est probablement pas tant parce qu'elle craint l'Algérie (qui lui sert de bonne excuse) que par la nécessité de contenir un Maroc qui marche sur ses plates bandes en Afrique. Les intérêts de la FR et de l'Algérie convergent.

End of the story.
Cela ne changera rien à la relation qu'ont les Marocains avec la France, nation, peuple, du moins pour ceux qui ont une attache culturelle avec la France....si l'anglais venait à se substituer au français, la proximité culturelle s'étiolerait avec le temps, nous parlons là à une échelle de générations.

Réveil aux aurores demain, bye.


Marcher sur quel plate bande en Afrique ?
 
Marcher sur quel plate bande en Afrique ?

Je cite un extrait de cet article de très bonne facture.
Je t'invite à le lire dans sa complétude si tu veux saisir le dessous des cartes.

Dans une conférence donnée le 7 mars 2016, à l’Université internationale de Rabat, Pierre Gattaz, alors président du MEDEF affirmait, s’adressant à un parterre d’étudiants, d’entrepreneurs et de diplomates : « l’Afrique, c’est pour nous ». C’était à la fois vrai et faux. C’était vrai parce que les entreprises françaises étaient et demeurent largement présentes en Afrique et parce que le Maroc développait alors, depuis plus d’une décennie, ses propres investissements sur le continent. C’était faux, parce le Maroc poursuivait et poursuit en Afrique ses propres buts, indépendamment de la France.

De fait, l’économie marocaine s’est particulièrement développée et renforcée au point que le Maroc exporte plus de biens et de services vers la France qu’il n’en importe. Entre 2012 et 2019, la France a ainsi connu une augmentation de plus de 70% de ses importations en provenance du Maroc alors que ses propres exportations vers son partenaire ne progressaient que de 18,3 %. Une situation qui a entrainé un déficit de la balance commerciale française de près de 816 millions d’euros durant la même période. Si de tels chiffres doivent être comparés aux tendances longues qui associent la France et le Maroc, ils permettent, néanmoins, de constater le changement de posture entre les deux pays. Cette situation a permis au Maroc de se positionner comme une puissance continentale à même de poursuivre une politique étrangère et économique indépendante.
 
Parce que longtemps écartée des instances panafricaines, du fait de son retrait de l’Organisation de Union africaine en 1984, le Maroc a dû recomposer sa politique étrangère sur la base de la multiplication d’accords économiques bilatéraux. Cette stratégie a été impulsée, dès le début des années 2000, par le roi Mohammed VI menant des visites officielles dans de nombreux pays du continent. A l’occasion de chaque visite, une série d’accords était signée entre le Maroc et les pays hôtes. Ces accords portaient sur différents objets (commerce, investissements...), mais s’inscrivaient dans une politique africaine d’ensemble et non dans la simple conduite d’intérêts privés. La diplomatie économique du Maroc en Afrique a donc largement servi ses ambitions continentales, en l’aidant à devenir la cinquième puissance africaine, le deuxième investisseur africain après l’Afrique du Sud et le premier investisseur en Afrique de l’Ouest.

Pays africain francophone et disposant d’une culture administrative et entrepreneuriale fortement influencée par le modèle français, le Maroc a su utiliser cet héritage en direction du sud. La réappropriation de cet espace, historiquement dominé par la France, a été manifeste au cours des années 2000-2010. Le Maroc a pu bénéficier d’un certain ralentissement de la politique étrangère et, surtout, des activités économiques françaises sur le continent, pour s’appuyer sur son réseau entrepreneurial afin d’initier sa propre stratégie économique (annulation de la dette des pays africains les moins avancés, suppression des barrières douanières pour leurs exportations vers le Maroc, augmentation du volume des investissement directs marocains dans ces pays[1]…). Cela a été particulièrement visible dans le secteur bancaire, où le Maroc a pris une place importante. A titre d’exemple, le Crédit agricole a cédé, en 2010, à Attijariwafa bank six de ses filiales en Afrique subsaharienne (Congo, Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon, Sénégal, Afrique du sud), tandis qu’en 2017 les banques BMCE-BOA, Attijariwafa bank et Banque populaire couvraient 25 pays du continent, répartis en Afrique de l’Ouest, Afrique centrale et Afrique de l’Est[2]. Le Maroc apparait ainsi comme un concurrent sérieux dans ce domaine, tandis que d’autres secteurs comme le BTP (avec la SOMAGEC), les télécommunications (avec Maroc Télécom qui représente à lui seul 25% des IDE marocains en Afrique[3]) ou encore le secteur agricole (avec l’OCP) ou minier (avec la MANAGEM[4]) ne cessent de se développer.
 
La construction d’une stratégie indépendante en Afrique, tout en utilisant une partie des cadres de référence français, se retrouve au niveau militaire. La coopération militaire entre la France et le Maroc repose principalement sur l’accord bilatéral de coopération technique de 1994 complété en 2005. La diversité des champs d’application de cette coopération s’incarne dans des actions comme la coopération maritime (aéronautique navale, exercices communs à l’instar de l’exercice CHEBEC), l’enseignement du français en milieu militaire, la formation du personnel de santé, l’enseignement militaire supérieur ou encore la participation de certains responsables militaires marocains aux séminaires de l’IHEDN). Pour autant, si cette coopération bilatérale reste solide, elle ne se traduit plus par des objectifs communs en Afrique. Le Maroc ne souhaite pas s’inscrire dans la même approche de la sécurité africaine que la France. A titre d’exemple, il ne fait pas partie du réseau des Ecoles nationales à vocation régionale (ENVR) proposé par la Direction de la coopération de sécurité et de défense (DCSD) française, qui offre un modèle d’intégration de la coopération militaire sur le continent. Il choisit, au contraire, de développer ses propres outils de coopération militaire avec des pays africains comme le Mali, le Sénégal, la Guinée ou encore le Gabon. Les écoles militaires marocaines accueillent ainsi, chaque année, des promotions d’officiers africains. Enfin, sur le plan de l’action opérationnelle, les Forces armées royales ont développé une tradition d’opérations humanitaires, notamment sous drapeau onusien, en particulier dans le domaine de la médecine militaire et des hôpitaux de campagne. Une diplomatie militaire qui contraste avec l’approche française, concentrée sur la lutte contre le terrorisme armé au Sahel depuis presque une décennie.
 
Ces désalignements ne ressortissent pas d’une hostilité à l’encontre de la France, mais du façonnage de l’indépendance du Maroc en tant qu’acteur continental et de la structuration de ses ressources pour y parvenir. Cette stratégie induit la renégociation informelle aussi bien que formelle de la relation bilatérale et son évolution vers une relation entre puissances régionales ayant des intérêts communs. Bien sûr, la France se projette en Afrique (et donc au Maroc) comme autre choses qu’une simple puissance régionale européenne ayant des relations avec des puissance régionales africaines. Elle ne veut fondamentalement pas de cette parité. C’est l’ambivalence de plus en plus problématique de sa posture africaine : prétendre vouloir sortir d’un rôle tutélaire tout en comptant toujours sur sa projection africaine pour conserver un statut de puissance mondiale.

La difficulté des choix​

Les trois raisons conjoncturelles de la crise persistante entre les deux pays, que nous avons évoquées dans la première partie de cette analyse, apparaissent incontestablement renforcées par l’évolution structurelle du Maroc, dans sa relation avec la France, depuis une vingtaine d’année, à l’unisson du continent. Pour utiliser une expression sportive, la France conserve le sentiment trompeur qu’elle « joue à domicile », lorsqu’elle joue en Afrique, qu’elle bénéficie de sympathies, d’accointances et de complicités. Ce n’est plus exactement le cas. Le public a changé et il continue de changer. Certes, il reste un capital positif, qui peut encore faire illusion, mais la seule utilité de ce capital ne peut être que de servir de point de départ à une reformulation des relations bilatérales, non pas avec le continent (ce qui relèverait une fois de plus de la projection tutélaire), mais avec les différents partenaires nationaux qu’il compte. Ceci implique de s’investir dans le jeu, de ne pas jouer « à l’économie ».
 
Un entretien de la ministre française des Affaires étrangères avec son homologue marocain, en juin dernier, la nomination d’un nouvel ambassadeur de France au Maroc, l’abandon de la réduction de moitié des visas accordés aux Marocains, une visite de deux jours de la même ministre en décembre passé, cela ne suffit pas. Sans la prise en considération des attentes marocaine sur le dossier du Sahara, il n'y aura pas de relance des relations franco-marocaines à partir de bases saines. C'est un choix diplomatique à faire. La position marocaine est très claire depuis des mois. La France peut choisir de tenter la relance par la mise en œuvre de projets économiques ou de projets culturels. Ceux-ci ne constitueront cependant pas un retour à « l'amitié exceptionnelle ». Ils seront, au mieux, l’adjuvent fonctionnel d’une relation définitivement dégradée. Certes, le gouvernement français est en droit de considérer que les intérêts nationaux peuvent s’accommoder de cette situation, mais c’est un choix qui devra être fait en connaissance de cause et non sur la base d’une lecture superficielle et auto-complaisante de la situation.
 
Parce que longtemps écartée des instances panafricaines, du fait de son retrait de l’Organisation de Union africaine en 1984, le Maroc a dû recomposer sa politique étrangère sur la base de la multiplication d’accords économiques bilatéraux. Cette stratégie a été impulsée, dès le début des années 2000, par le roi Mohammed VI menant des visites officielles dans de nombreux pays du continent. A l’occasion de chaque visite, une série d’accords était signée entre le Maroc et les pays hôtes. Ces accords portaient sur différents objets (commerce, investissements...), mais s’inscrivaient dans une politique africaine d’ensemble et non dans la simple conduite d’intérêts privés. La diplomatie économique du Maroc en Afrique a donc largement servi ses ambitions continentales, en l’aidant à devenir la cinquième puissance africaine, le deuxième investisseur africain après l’Afrique du Sud et le premier investisseur en Afrique de l’Ouest.

Pays africain francophone et disposant d’une culture administrative et entrepreneuriale fortement influencée par le modèle français, le Maroc a su utiliser cet héritage en direction du sud. La réappropriation de cet espace, historiquement dominé par la France, a été manifeste au cours des années 2000-2010. Le Maroc a pu bénéficier d’un certain ralentissement de la politique étrangère et, surtout, des activités économiques françaises sur le continent, pour s’appuyer sur son réseau entrepreneurial afin d’initier sa propre stratégie économique (annulation de la dette des pays africains les moins avancés, suppression des barrières douanières pour leurs exportations vers le Maroc, augmentation du volume des investissement directs marocains dans ces pays[1]…). Cela a été particulièrement visible dans le secteur bancaire, où le Maroc a pris une place importante. A titre d’exemple, le Crédit agricole a cédé, en 2010, à Attijariwafa bank six de ses filiales en Afrique subsaharienne (Congo, Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon, Sénégal, Afrique du sud), tandis qu’en 2017 les banques BMCE-BOA, Attijariwafa bank et Banque populaire couvraient 25 pays du continent, répartis en Afrique de l’Ouest, Afrique centrale et Afrique de l’Est[2]. Le Maroc apparait ainsi comme un concurrent sérieux dans ce domaine, tandis que d’autres secteurs comme le BTP (avec la SOMAGEC), les télécommunications (avec Maroc Télécom qui représente à lui seul 25% des IDE marocains en Afrique[3]) ou encore le secteur agricole (avec l’OCP) ou minier (avec la MANAGEM[4]) ne cessent de se développer.

Je m'y attendais
Les banques
Alors ça tombe bien je travaille dans le secteur
En fait les banques françaises ont fait le choix de partir d'Afrique comme d'autres continents pour des raisons stratégiques (de coûts et de concentration sur les filiales les plus solides) le Maroc ne fait que prendre la place libre
Et avec tout le respect que je dois à mes ex collègues d'attijariwafa les profils sont très bon au Maroc dans ce domaine et la technicité est au rendez-vous mais côté productivité il y a encore beaucoup d'efforts à faire
 
Le pire c'est que je défends mm pas Macron spécialement j'essaie juste d'être pragmatique

Pegasus mm si c'est clair que toutele monde espionne une fois que c'est prétendu dans la presse tu peux pas rester sans rien faire, sinon tu n'es plus crédible


Je ne sais pas ce que pense les algériens, mm s'ils sont dans l'équation je pense que cette politique a plus été initié pour les franco Algérien en particulier avec l'idée de faire comprendre que l'état essaie un pas vers leur pays d'origine

Ben on va voir ce qu'il (Macron) va faire avec ça 👇

 

Oui
Et il s'avère que la France l'utilise contre un allié nous verrons bien la réaction dudit allié

Pour rappel les accusations d'utilisation de Pegasus par le Maroc contre Macron et des ministres n'a pas été émise que par des médias français mais aussi américain (le Washington post par exemple) donc la thèse de la machination élyséenne bof quoi
 
Oui
Et il s'avère que la France l'utilise contre un allié nous verrons bien la réaction dudit allié

Pour rappel les accusations d'utilisation de Pegasus par le Maroc contre Macron et des ministres n'a pas été émise que par des médias français mais aussi américain (le Washington post par exemple) donc la thèse de la machination élyséenne bof quoi

Franchement,
J'aurais aimé en rire.

«Predator files», l'enquête qui lève le voile sur la vente de logiciels espions à des dictatures​


Une enquête internationale, baptisée «Predator files», menée par le site Mediapart et ses partenaires, dévoile les méthodes «sans scrupules» des sociétés françaises Nexa et Intellexa pour vendre des logiciels espions à des dictatures.​


Selon le site Mediapart et une dizaine de médias internationaux, la France serait «cyniquement prête à tout dès lors que des intérêts économiques et stratégiques sont en jeu». Nos confrères publient en effet une longue enquête baptisée «Predator files», jeudi 5 octobre. Celle-ci est le fruit d’un travail collaboratif d’un an et s’appuie sur des centaines de documents confidentiels.

Cette enquête révèle que le groupe français Nexa a vendu le logiciel espion Predator, capable de pirater les téléphones portables, à au moins trois dictatures, à savoir, l’Égypte, le Vietnam et Madagascar. Nexa aurait également fourni d’autres matériels d’espionnage, dont un système de surveillance de masse d’Internet, à de nombreuses autres dictatures, «sous le regard complaisant des services secrets français».

Un accès direct à Emmanuel Macron​

Selon nos confrères, la société Nexa, «fleuron tricolore du matériel de surveillance», aurait bénéficié d’un accès direct à Emmanuel Macron, et aurait fait appel à son ancien conseiller Alexandre Benalla comme intermédiaire en Arabie saoudite.

Les documents détaillent les méthodes «sans scrupules» employées d’abord par Nexa, dont le patron a été mis en examen en juin 2021 pour «complicité de torture», puis par l’alliance formée entre Nexa et Intellexa, un groupe piloté par des anciens des services secrets israéliens, mais installé essentiellement en Europe. Des écoutes téléphoniques montrent notamment que les dirigeants de Nexa étaient conscients des abus que peuvent commettre les dictateurs avec ce type de produit, vu «ce qui s’est passé en Arabie saoudite », pays qui a fait «un peu n’importe quoi» en assassinant le journaliste «[Jamal] Khashoggi». Si la presse apprend la vente de Predator à l’Égypte, «on est morts», a indiqué le patron de Nexa.

«Acharnement médiatique et judiciaire»​

Cette enquête pointe également du doigt la France et de nombreuses démocraties européennes qui laissent ces «industriels de l’espionnage prospérer au mépris des droits humains les plus élémentaires». Contactés par Mediapart, ni l’Élysée, ni les ministères clients de Nexa, ni le ministre de l’Économie, ni les dirigeants d’Intellexa n’ont répondu à ces révélations.

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Faut vraiment être un en... de première pour instrumentaliser Pegasus contre le Maroc quand soi-même on a les mains aussi sales............
 
L'Humanité a bien reçu le message de Mélenchon mais ça passe pas.

Marianne s'agite à son tour

 

mielle

Tamaghrabit ô bekhire 3liya
VIB
Marianne s'agite à son tour

Ça n'a rien d'étonnant, il n'arrivera pas à changer leur position car ces divers courant gauchiste s'ils peuvent être en désaccord sur certains point, celui ci les unis.... Ça ne te rappelle pas qui se fédère aussi sur ce point quitte à manger des cailloux ^^.... Quand tu vois une Panod se prendre en photo à Tindouf avec des membres du polisario ça va au delà de simples points... Il lui faudra une vraie volonté, l'aura t'il ?

C'est les Franco Marocains qui aujourd'hui doivent se mobiliser et dénoncer cette gauche, car comment un Franco Marocain peut il s'afficher LFI et s'asseoir aux côté de Panod ? Arrêtons de soutenir cette gauche qui milite pour le découpage en deux de notre territoire ! Il est temps de faire comprendre et entendre d'où et par quels parti politique vient le frein Francais.
 
Franchement,
J'aurais aimé en rire.

«Predator files», l'enquête qui lève le voile sur la vente de logiciels espions à des dictatures​


Une enquête internationale, baptisée «Predator files», menée par le site Mediapart et ses partenaires, dévoile les méthodes «sans scrupules» des sociétés françaises Nexa et Intellexa pour vendre des logiciels espions à des dictatures.​


Selon le site Mediapart et une dizaine de médias internationaux, la France serait «cyniquement prête à tout dès lors que des intérêts économiques et stratégiques sont en jeu». Nos confrères publient en effet une longue enquête baptisée «Predator files», jeudi 5 octobre. Celle-ci est le fruit d’un travail collaboratif d’un an et s’appuie sur des centaines de documents confidentiels.

Cette enquête révèle que le groupe français Nexa a vendu le logiciel espion Predator, capable de pirater les téléphones portables, à au moins trois dictatures, à savoir, l’Égypte, le Vietnam et Madagascar. Nexa aurait également fourni d’autres matériels d’espionnage, dont un système de surveillance de masse d’Internet, à de nombreuses autres dictatures, «sous le regard complaisant des services secrets français».

Un accès direct à Emmanuel Macron​

Selon nos confrères, la société Nexa, «fleuron tricolore du matériel de surveillance», aurait bénéficié d’un accès direct à Emmanuel Macron, et aurait fait appel à son ancien conseiller Alexandre Benalla comme intermédiaire en Arabie saoudite.

Les documents détaillent les méthodes «sans scrupules» employées d’abord par Nexa, dont le patron a été mis en examen en juin 2021 pour «complicité de torture», puis par l’alliance formée entre Nexa et Intellexa, un groupe piloté par des anciens des services secrets israéliens, mais installé essentiellement en Europe. Des écoutes téléphoniques montrent notamment que les dirigeants de Nexa étaient conscients des abus que peuvent commettre les dictateurs avec ce type de produit, vu «ce qui s’est passé en Arabie saoudite », pays qui a fait «un peu n’importe quoi» en assassinant le journaliste «[Jamal] Khashoggi». Si la presse apprend la vente de Predator à l’Égypte, «on est morts», a indiqué le patron de Nexa.

«Acharnement médiatique et judiciaire»​

Cette enquête pointe également du doigt la France et de nombreuses démocraties européennes qui laissent ces «industriels de l’espionnage prospérer au mépris des droits humains les plus élémentaires». Contactés par Mediapart, ni l’Élysée, ni les ministères clients de Nexa, ni le ministre de l’Économie, ni les dirigeants d’Intellexa n’ont répondu à ces révélations.

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Faut vraiment être un en... de première pour instrumentaliser Pegasus contre le Maroc quand soi-même on a les mains aussi sales............

Je suis désolé mais je vois pas le rapport 'direct'
D'un côté on parle d'entreprise privé et de l'autre d'un état
Il n'existe aucune entreprise marocaine de ce type ?
 
Je suis désolé mais je vois pas le rapport 'direct'
D'un côté on parle d'entreprise privé et de l'autre d'un état
Il n'existe aucune entreprise marocaine de ce type ?

L'Affaire Pegasus a servi de catalyseur des tensions entre Rabat et Paris , dites-vous- motif ---> le Maroc aurait espionné l'Elysée via le téléphone de Macron - au passage, le Roi du Maroc lui -même figurait dans la liste des personnalités présentées comme victimes du Maroc - Fautes de preuves, l'affaire est classée.

Dans cette nouvelle affaire, sont impliquées des entreprises Françaises qui vendent des produits de cybersurveillance à des dictateurs sous le regard complaisant des services secrets Français (c'est pas une entreprise privée hein) - entreprises qui ont eu un accès direct à Macron (comprendre il a servi d'entremise - peut difficilement prétendre ignorer le "fond de commerce" des protagonistes) - tout ceci à mettre au conditionnel à ce stade.

Si tu ne fais pas le parallèle entre ces deux affaires, c'est probablement parce que tu n'en as pas envie.
 
Ça n'a rien d'étonnant, il n'arrivera pas à changer leur position car ces divers courant gauchiste s'ils peuvent être en désaccord sur certains point, celui ci les unis.... Ça ne te rappelle pas qui se fédère aussi sur ce point quitte à manger des cailloux ^^.... Quand tu vois une Panod se prendre en photo à Tindouf avec des membres du polisario ça va au delà de simples points... Il lui faudra une vraie volonté, l'aura t'il ?

C'est les Franco Marocains qui aujourd'hui doivent se mobiliser et dénoncer cette gauche, car comment un Franco Marocain peut il s'afficher LFI et s'asseoir aux côté de Panod ? Arrêtons de soutenir cette gauche qui milite pour le découpage en deux de notre territoire ! Il est temps de faire comprendre et entendre d'où et par quels parti politique vient le frein Francais.


J'attends les réactions des politiques maintenant

Il faut continuer à challenger LFI sur le sujet sur les RS, IRL quand ont est face à eux et sensibiliser nos compatriotes sur la question.
Je ne suis pas de nature optimistes mais qui sait...en Espagne, c'est un gouvernement de gauche qui a switché de paradigme sur la question....
 

mielle

Tamaghrabit ô bekhire 3liya
VIB
J'attends les réactions des politiques maintenant

Il faut continuer à challenger LFI sur le sujet sur les RS, IRL quand ont est face à eux et sensibiliser nos compatriotes sur la question.
Je ne suis pas de nature optimistes mais qui sait...en Espagne, c'est un gouvernement de gauche qui a switché de paradigme sur la question....
Je n'ai pas ton optimisme sur le sujet,

Moi c'est cette aberration de certains Franco Marocains qui militent adhèrent et se font élire sous leur bannière qui me laisse perplexe.... C'est par ça qu'il faut commencer, je l'ai vu aux dernières élections beaucoup ignoraient la prise de position de la gauche en faveur du polisario ou n'avaient pas conscience de l'implication réelle sur le terrain des groupes de gauche par des actions concrète en faveur du polizbel.

Si tu veux faire pression sur ces parties, c'est en touchant leur électorat et Mélenchon l'a bien compris, tout comme Ciotti ... Voir des Marocains adhéré de plus en plus à la droite traditionnel peut gêner la gauche qui voit une partie de son vivier lui échappé.
 
L'Affaire Pegasus a servi de catalyseur des tensions entre Rabat et Paris , dites-vous- motif ---> le Maroc aurait espionné l'Elysée via le téléphone de Macron - au passage, le Roi du Maroc lui -même figurait dans la liste des personnalités présentées comme victimes du Maroc - Fautes de preuves, l'affaire est classée.

Dans cette nouvelle affaire, sont impliquées des entreprises Françaises qui vendent des produits de cybersurveillance à des dictateurs sous le regard complaisant des services secrets Français (c'est pas une entreprise privée hein) - entreprises qui ont eu un accès direct à Macron (comprendre il a servi d'entremise - peut difficilement prétendre ignorer le "fond de commerce" des protagonistes) - tout ceci à mettre au conditionnel à ce stade.

Si tu ne fais pas le parallèle entre ces deux affaires, c'est probablement parce que tu n'en as pas envie.

Les entreprises privés françaises ont vendus leur logiciel au Maroc ?
Il n'y a aucune entreprise marocaine sur ce créneau ?
 
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