Si les femmes arrêtaient d'allumer les hommes, les hommes seraient plus sérieux.

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AncienMembre

Non connecté
La femme se respecte-t-elle en dévoilant ses atouts aux hommes qui lui sont étrangers?

Mes atouts ne sont pas physiques.

Si quelqu'un ne voit (enfin.. devine) que la forme de mon derrière et de mes seins, c'est son problème à lui, j'ai un corps et je ne compte pas l'effacer mais mes atouts, je les montre par défaut car ce sont eux qui font de moi ce que je suis.
 

Mecchelou

Bladinaute averti
Mes atouts ne sont pas physiques.

Si quelqu'un ne voit (enfin.. devine) que la forme de mon derrière et de mes seins, c'est son problème à lui, j'ai un corps et je ne compte pas l'effacer mais mes atouts, je les montre par défaut car ce sont eux qui font de moi ce que je suis.
Tu dois te voiler comme Allah te la ordonner
 

Mecchelou

Bladinaute averti
Sauf que Allah ne m'a rien ordonné à ce niveau.

Ne confonds pas tes dieux humains avec Allah, merci. :cool:
Allah dit : (Ô prophète! Dis à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles (Jilbaab) : elles seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux) [Al-Ahzaab : 33 : 59]


Dans ce verset, Allah dit au prophète (paix sur lui) de dire à ses épouses, à ses filles et aux femmes des croyants :


* De ramener sur elles leurs grands voiles (Jalaabiib, pluriel de Jilbaab).


* Pour qu’elles soient reconnues comme étant des femmes libres et non des esclaves ou des femmes non-musulmanes.


* Et pour qu’elles ne soient pas offensées par les hypocrites pervers, lorsqu’elles sortent à l’extérieur.


Ibn Kathir1 dit Allah ordonne Son messager (paix sur lui) d’ordonner aux femmes croyantes – en commençant par ses épouses et ses filles, à cause de leur noblesse – de ramener sur elles leurs Jilbaab, pour les distinguer des femmes nonmusulmanes et des esclaves […]


As-Souddi1 dit que des gens parmi les pervers de Médine (des hypocrites) sortaient durant la nuit, profitant de l’obscurité, attendant que des femmes sortent pour aller faire leurs besoins, pour les agresser.


Lorsque la femme portait le Jilbaab ils disaient : C’est une femme musulmane libre et ne l’approchaient pas.


Et s’ils voyaient une femme sans Jilbaab ils disaient: C’est une esclave puis ils allaient vers elle (pour l’agresser).


Et Moujaahid2 dit : Elles portaient le Jilbaab pour faire savoir qu’elles étaient libres et pour que les pervers ne s’approchent pas d’elles.).


Même quatorze siècles plus tard, la même chose est vraie.


Les hommes qui ont peu de foi et de crainte d’Allah vont toujours vers les femmes qui n’ont pas de pudeur et qui portent des vêtements serrés et court, qui expose leurs atours, maquillée et parfumée, dans les rues et les endroits publics, car ils savent que ce sont des femmes qui cherchent à attirer les hommes (consciemment ou non).


Ils ne vont pas vers la femme voilée et chaste, car ils savent que c’est une femme qui se respecte.


Ils ne se comportent pas envers elle de la même manière.


On remarque aussi qu’il y a de moins en moins de différence, entre les vêtements des prostituées et entre les vêtements à la mode aujourd’hui, c’est pourquoi le Hijab crée un contraste total avec l’esprit de perversité du monde «moderne».


Un autre point important est que le Hijab, qui, au temps du prophète (paix sur lui), était un symbole de liberté, est interprété par les ennemis de la pudeur et de la femme aujourd’hui, comme étant un symbole d’esclavage de la femme!
 

Mecchelou

Bladinaute averti
En ce qui concerne le Jilbaab, Ibn Kathiir a rapporté (qu’il s’agissait en fait du «Ridaa’a» : une grande pièce de tissu, portée par dessus le Khimar1.


Ceci est l’opinion du compagnon Ibn Mas’oud2 et de plusieurs Taabi’iin (élèves de compagnons), parmi eux : Hasan al- Basri3, Qataadah, Ibraahiim an-Nakha’i1, ‘Atââ’ al-Khourasaani2, et il est (le Jilbaab) semblable au Izar aujourd’hui.)


L’Imaam Ibn Jariir At-Tâbari3 rapporte qu’Ibn ‘Abbas a dit : (Elles couvrent leurs visages à partir du dessus de leur tête avec le Jilbaab, et elles laissent paraître un seul oeil.)


Et il rapporte aussi que ‘Oubaidah As-Salmaani fut questionné par Ibn Siriin5 au sujet de ce verset et il dit : (Il (‘Oubaidah) couvrit sa tête et son visage avec son vêtement et laissa paraître un de ses yeux)


Al-Qourtoubi1 dit : (L’opinion correcte est que le Jilbaab est un vêtement qui couvre tout le corps.)


Puis il dit :(Les gens diffèrent en ce qui concerne la façon dont le Jilbaab doit être porté.


Ibn ‘Abbas et ‘Oubaidah as-Salmaani ont dit que le Jilbaab doit envelopper complètement le corps de la femme, de façon à ce que rien ne paraisse sauf un oeil pour qu’elle puisse voir.)


Certains hypocrites tentent de limiter cet ordre à l’époque du prophète (paix sur lui), mais cela est faux, car le sens du verset est général et le Qor’an et la Sounnah fut révéler pour qu’ils soient appliqués jusqu’au Jugement Dernier2.


Oum ‘Atiyyah a dit : «Le prophète (paix sur lui) nous a ordonné d’amener les jeunes filles, les femmes de maison et les femmes menstuées pour la prière de l’Aïd al-Fitr et de l’Aïd al-Adha.


En ce qui concerne la femme menstruée, elle ne fait pas la prière, mais elle assiste au bien et aux invocations des musulmans.


Je lui dis :«Ô prophète d’Allah! Certaines parmi nous n’ont pas de Jilbaab» Il répliqua : «Que leurs soeurs leurs prêtent des Jilbaabs à porter».


Ce qui prouve que le Jilbaab est obligatoire, sinon le prophète (paix sur lui) n’aurait pas ordonné aux femmes de prêter des Jilbaabs à celles qui n’en avaient pas.


On peut donc comprendre, d’après la description du Jilbaab faite par les compagnons du prophète (paix sur lui) et les Taabi’iins, que ce que plusieurs femmes considèrent aujourd’hui comme étant un Hijab, ne respecte pas du tout les conditions de la Shari’ah, cela sera expliqué en détail plus loin.
 
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