Par contre en Europe toute les association , groupe , secte qui ont changés de religion et sont les plus virulent à combattre L.islam sont bizarrement des berbers .
Tu parles de la France là et des quelques égarés algérien-kabyles et affidés marocains (parmis des millions) qui crient très fort à défaut d'être nombreux et dont le discours sonne agréablement à l'oreille des médias français notoirement hostile à l'Islam ?
l'Europe ne se résume pas à la France.
En Allemagne, en Grande Bretagne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Scandinavie, en Suisse... les nombreux, les plus virulent, les plus visible sont des arabophones ou des non-maghrebins.
Et parmis toutes ces associations bien française , elles sont quasi exclusivement composées de marocains (ou algériens) qui sont nés et ont grandis au Maroc (ou en Algérie) avant d'émigrer, ce sont donc les déviants de leur communauté d'origine qui ont du s'exiler pour vivre leur égarement, tout en gardant malgré tout un attachement communautaire qu'ils ont réduis à un fantasme ethnique ce qui les différencies des anti-musulmans arabes. Dans leur patrie, région d'origine, ils représentent la fraction statistique abérrante qui a besoin de partir (dans le Maroc ou à l'étranger) pour exister, ce n'est pas le cas dans les régions plus arabophones.
Et puis, là on parle du Maroc, les zones les plus sensible et influencé par la culture et le mode de vie occidental, français pour être précis, ce n'est pas le Moyen Atlas ou la vallée de la Moulouya mais bien les villes arabophones des plaines de l'ouest; les conversions au protestantisme évangélique, c'est dans ces villes que cela se concentre et dans certain millieux sociaux de ceux ci.
Un parti ou une association ouvertement athée ou anti-islam n' a absolument aucune mais aucune chance de prospérer voir même de survivre chez les montagnards butés du Nord ou du sud, par contre bien à l'abris parmis les occidentalisés des grandes villes, pas de problème.