Témoignage d’une djihadette : « on m’a promis le paradis, alors je me suis livrée à 152 hommes »

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion benami
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Primo Parle bien deja, moi je ne t'ais pas mal parlé .

secondo t'as qu'a regarder certains films

Je ne te parle pas mal c'est une simple question.
Quel film? Si celle dont je pense je ne regarde pas et je doute qu'une actrice le fasse avec 152 hommes.
La culture ne s'arrête pas à ce genre de film.
 
De ce que je connais pas? hée l'usinage c'était connu en France...

J't'ai pas dis ma carrière pro' est dans le BTP mais promis moi j'achète des roulottes de chantier mais c'est pas moi qui conduit le tracto pelle...:D

A Drianke, parle pas de ce que tu ne connais pas ...

Pas forcément ...
 
Après un usinage une prostitué n'arrivait plus à se lever et elle recommencait pas le tapinage le lendemain...c'est clair, il fallait qu'elle se soigne avant...

Graaave 152 hommes waw elle serait paralysée du bas de la ceinture.
 
De ce que je connais pas? hée l'usinage c'était connu en France...

J't'ai pas dis ma carrière pro' est dans le BTP mais promis moi j'achète des roulottes de chantier mais c'est pas moi qui conduit le tracto pelle...:D
J'avais vu ça dans un vieux film. Je me demande si ce n'est pas tchao pantin . On faisait ça aux femmes que les macs voulaient "punir":malade:
 
usinage ou abattage oui punition pour la prostituée récalcitrante ou alors dressage d'une petite jeune...on l'amenait sur un chantier à l'époque années 70/80 maxi ça construisait de partout et de la main d'oeuvre étrangère qui n'était pas accepté vraiment à l'époque dans les commerces, bars etc...bref j'avais suivi un peu car il y avait eu une espèce de révolte ou mouvement de protestation de ces femmes marseille, lyon, paris etc...

ces filles étaient vraiment abîmées après une sacré grande journée à se taper 80/100 types...elles sentaient plus rien, le bas du corps étaient anesthésié bref...

J'avais vu ça dans un vieux film. Je me demande si ce n'est pas tchao pantin . On faisait ça aux femmes que les macs voulaient "punir":malade:
 
Dans son édition du vendredi 27 septembre 2013 l’hebdomadaire Al Mijhar est revenu sur le témoignage d’une jeune tunisienne revenue de Syrie après un long voyage entre les bras des djihadistes de Jabhat Al Nosra…

« Vous irez au Paradis, ma sœur » est la promesse qu’on lui a faite avant de la convaincre de partir en Syrie pour le djihad. Elle a 21 ans. Voilée depu
is l’âge de 17 ans. Elle suivait des cours d’Histoire à la Faculté de la Manouba avant d’abandonner ses études et de partir en Syrie en compagnie de son époux « orfi ».

C’est en juin 2012 qu’elle a quitté le territoire tunisien pour la Turquie où elle a passé une semaine avant de se rendre en Syrie. Arrivée au Mont al-Arbaine, son époux lui imposa le port du niqab et lui expliqua ce que c’était le djihad al nikah.Aussitôt divorcée, la jeune femme se maria avec l’un des leaders de Jabhat al Norsra, Abou Ayoub. Duquel elle divorça pour se marier avec un autre djihadiste… Et puis un autre et encore un autre… Au total, elle eut 152 « époux ».

Chaque semaine, chaque djihadette avait le droit à 5 nouveaux « époux ». L’heureuse union de la djihadette du nikah et du djihadiste ne durait que quelques heures, le temps que les désirs du djihadiste soient assouvis…Selon le récit de la jeune djihadette, nulle n’avait le droit au répit à moins qu’elle ne soit en période de menstruations.

La jeune djihadette a, par ailleurs, indiqué que, mis à part le rituel sexuel ardu auquel elles se livraient, les djihadettes s’occupaient, également, des tâches ménagères.Elle a ajouté que les djihadistes et les djihadettes souffraient de plusieurs maladies. Sida et maladies dermatologiques font rage au camp des djihadistes en raison du manque de médicaments et d’assainissement.

Ce n’est qu’en août 2013 que la jeune djihadette est revenu en Tunisie, enceinte de six mois et sans son époux. Ce dernier a été exécuté avec d’autres Tunisiens par les membres de Jabhat Al Nosra et ce pour rébellion contre l’autorité de l’émir…
Source : Tuniscope


J'aurais pu y croire s'ils n'avaient pas parlé de "jihad al nikah", dont il a été démontré que c'était un FAKE ...
 
@benami,

salam

la promesse du paradis est entre les mains d'ALLAH pas des humains!

je sais pas pourquoi elle a accepter de faire ça..mais c'est pas la bonne voie..

qu'ALLAH nous guide tous,amiine!!
 
Alors si c'est vraie, c'est une idiote! On lui a promis le paradis? MDR la bonne blague! Qui? Dieu? Starfellah...faut vraiment avoir un pti pois dans la tête!!! Ces gens parlent comme si ils détenaient les clés du paradis! Sérieusement quand on les entend, les pauvres ils se présentent (djihadistes) comme si c'est sûr qu'ils ont le paradis à porté...Tuer,violer,mariage d'un jour,esclavage, Moué c'est sûr qu'avec ça tu entres au paradis:cool: la bonne blague de 2015
 
Dans son édition du vendredi 27 septembre 2013 l’hebdomadaire Al Mijhar est revenu sur le témoignage d’une jeune tunisienne revenue de Syrie après un long voyage entre les bras des djihadistes de Jabhat Al Nosra…

« Vous irez au Paradis, ma sœur » est la promesse qu’on lui a faite avant de la convaincre de partir en Syrie pour le djihad. Elle a 21 ans. Voilée depu
is l’âge de 17 ans. Elle suivait des cours d’Histoire à la Faculté de la Manouba avant d’abandonner ses études et de partir en Syrie en compagnie de son époux « orfi ».

C’est en juin 2012 qu’elle a quitté le territoire tunisien pour la Turquie où elle a passé une semaine avant de se rendre en Syrie. Arrivée au Mont al-Arbaine, son époux lui imposa le port du niqab et lui expliqua ce que c’était le djihad al nikah.Aussitôt divorcée, la jeune femme se maria avec l’un des leaders de Jabhat al Norsra, Abou Ayoub. Duquel elle divorça pour se marier avec un autre djihadiste… Et puis un autre et encore un autre… Au total, elle eut 152 « époux ».

Chaque semaine, chaque djihadette avait le droit à 5 nouveaux « époux ». L’heureuse union de la djihadette du nikah et du djihadiste ne durait que quelques heures, le temps que les désirs du djihadiste soient assouvis…Selon le récit de la jeune djihadette, nulle n’avait le droit au répit à moins qu’elle ne soit en période de menstruations.

La jeune djihadette a, par ailleurs, indiqué que, mis à part le rituel sexuel ardu auquel elles se livraient, les djihadettes s’occupaient, également, des tâches ménagères.Elle a ajouté que les djihadistes et les djihadettes souffraient de plusieurs maladies. Sida et maladies dermatologiques font rage au camp des djihadistes en raison du manque de médicaments et d’assainissement.

Ce n’est qu’en août 2013 que la jeune djihadette est revenu en Tunisie, enceinte de six mois et sans son époux. Ce dernier a été exécuté avec d’autres Tunisiens par les membres de Jabhat Al Nosra et ce pour rébellion contre l’autorité de l’émir…
Source : Tuniscope
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