Les plus anciens objects de parures au Monde sont trouvè chez imazighen de Rif , Au Rif
L'homme Amazigh-Rifain étais le premier au monde a frabriquer ds objet de beautès pour sa femme Amazigh-Rifaine belle !
Saife,
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Nouvelles découvertes: des plus anciens objets de parure au monde dans la grotte des Pigeons à Taforalt (Rif)
Nouvelles découvertes des plus anciens objets de parure au monde dans la grotte des Pigeons à Taforalt (Rif) Le Ministère de la Culture communique que dans le cadre des recherches archéologiques dirigées par l’Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine (INSAP, Maroc) et Institute of Archaeology à Oxford University (Grande Bretagne), un groupe d’archéologues a découvert environ vingt nouveaux coquillages marins perforés de type Nassarius gibbosulus utilisés par l’Homme préhistorique comme objets de parure dans la grotte des Pigeons à Taforalt.
L’équipe scientifique a effectué cette nouvelle découverte à l’occasion de nouvelles recherches dans la grotte du 24 mars au 24 avril 2008, dans des niveaux archéologiques dont l’âge est approximativement entre 84 mille ans et 85 mille ans avant le présent. Ceci rend ces objets plus anciens que ceux qui étaient découverts dans le même site en 2003 et publiés par l’Académie Nationale des Sciences aux Etats-Unis d’Amérique en 2007. Les nouveaux objets de parure mis au jour dans la grotte de Taforalt, sont considérés maintenant comme plus anciens encore que ce qui été découvert en Algérie, en Afrique du Sud et en Palestine, et confortent la place du Maroc dans sa position comme un centre de fabrication et d’utilisation des premiers objets de parure au monde.Grâce aux recherches effectuées d’une manière intensive dans la grotte des Pigeons depuis 2003, le cadre chronologique des différents niveaux archéologiques est devenu plus précis, ce qui facilite la datation des vestiges.
Ce cadre est le résultat de diverses analyses techniques et de plusieurs datations qui dépassent la centaine, réalisées dans des laboratoires au Maroc notamment au Laboratoire des Recherches d’Analyses Techniques et Scientifiques de la Gendarmerie Royale (LARATES) à Témara, en Angleterre et en Australie.Une telle découverte a de grandes implications sur la résolution de la problématique concernant le lieu et la date de l’adoption d’un comportement « moderne » par Homo sapiens reflétant ses capacités cognitives et son organisation sociale. Il y a quelques années, des éléments de parure ont été découverts en Afrique du Sud dans la grotte de Blombos et qui datent de 75 mille ans et considérés à l’époque comme le résultat d’un phénomène naturel. D’autres éléments mis au jour en Palestine aux années 30 du siècle dernier sont difficiles à dater compte tenu de l’absence des précisions sur le contexte. Quant au seul coquillage perforé découvert en Algérie, il date de 35 mille ans.Les objets de parure de Taforalt publiés en 2007 par l’Académie Nationale des Sciences aux Etats-Unis d’Amérique et ceux récemment découverts en 2008 permettent de résoudre définitivement le problème de l’ancienneté de la fabrication et de l’utilisation de ce type d’objets. Ainsi, les coquillages perforés de Taforalt et dont certains ont été ocrés, sont issus de fouilles archéologiques respectant les standards internationaux sous le contrôle de plusieurs spécialités relatives à l’archéologie, la géologie, la paléontologie, la physique et la chimie.
Ceci a donné aux objets de parure découverts au Maroc une crédibilité et une fiabilité évidentes.L’équipe scientifique a également effectué au cours de cette campagne de fouilles d’autres découvertes d’une grande importance dans le même site correspondant à des sépultures d’enfants, au nombre de cinq jusqu’à présent et datant de plus de 12 mille ans avant le présent. Ils étaient intentionnellement couverts d’ocre rouge, enterrés avec des ossements d’animaux et mis sous des blocs en pierre. D’autres sépultures d’adultes ont été également ocrés ont mis au jour inhumés en association avec des cornes de mouflon, des outils en pierre et en os.L’équipe dirigée par Abdeljalil Bouzouggar, enseignant-chercheur à l’INSAP (Maroc) et Nick Barton, professeur à Oxford University a connu aussi la participation de plusieurs spécialistes du Natural History Museum à Londres, Römisch-Germanisches
Zentralmuseum à Mainz et l’appui du Centre National de la Recherche Scientifique et Technique (CNRST, Maroc).
Source: Ministre de la culture
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L'homme Amazigh-Rifain étais le premier au monde a frabriquer ds objet de beautès pour sa femme Amazigh-Rifaine belle !
Saife,
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Nouvelles découvertes: des plus anciens objets de parure au monde dans la grotte des Pigeons à Taforalt (Rif)
Nouvelles découvertes des plus anciens objets de parure au monde dans la grotte des Pigeons à Taforalt (Rif) Le Ministère de la Culture communique que dans le cadre des recherches archéologiques dirigées par l’Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine (INSAP, Maroc) et Institute of Archaeology à Oxford University (Grande Bretagne), un groupe d’archéologues a découvert environ vingt nouveaux coquillages marins perforés de type Nassarius gibbosulus utilisés par l’Homme préhistorique comme objets de parure dans la grotte des Pigeons à Taforalt.
L’équipe scientifique a effectué cette nouvelle découverte à l’occasion de nouvelles recherches dans la grotte du 24 mars au 24 avril 2008, dans des niveaux archéologiques dont l’âge est approximativement entre 84 mille ans et 85 mille ans avant le présent. Ceci rend ces objets plus anciens que ceux qui étaient découverts dans le même site en 2003 et publiés par l’Académie Nationale des Sciences aux Etats-Unis d’Amérique en 2007. Les nouveaux objets de parure mis au jour dans la grotte de Taforalt, sont considérés maintenant comme plus anciens encore que ce qui été découvert en Algérie, en Afrique du Sud et en Palestine, et confortent la place du Maroc dans sa position comme un centre de fabrication et d’utilisation des premiers objets de parure au monde.Grâce aux recherches effectuées d’une manière intensive dans la grotte des Pigeons depuis 2003, le cadre chronologique des différents niveaux archéologiques est devenu plus précis, ce qui facilite la datation des vestiges.
Ce cadre est le résultat de diverses analyses techniques et de plusieurs datations qui dépassent la centaine, réalisées dans des laboratoires au Maroc notamment au Laboratoire des Recherches d’Analyses Techniques et Scientifiques de la Gendarmerie Royale (LARATES) à Témara, en Angleterre et en Australie.Une telle découverte a de grandes implications sur la résolution de la problématique concernant le lieu et la date de l’adoption d’un comportement « moderne » par Homo sapiens reflétant ses capacités cognitives et son organisation sociale. Il y a quelques années, des éléments de parure ont été découverts en Afrique du Sud dans la grotte de Blombos et qui datent de 75 mille ans et considérés à l’époque comme le résultat d’un phénomène naturel. D’autres éléments mis au jour en Palestine aux années 30 du siècle dernier sont difficiles à dater compte tenu de l’absence des précisions sur le contexte. Quant au seul coquillage perforé découvert en Algérie, il date de 35 mille ans.Les objets de parure de Taforalt publiés en 2007 par l’Académie Nationale des Sciences aux Etats-Unis d’Amérique et ceux récemment découverts en 2008 permettent de résoudre définitivement le problème de l’ancienneté de la fabrication et de l’utilisation de ce type d’objets. Ainsi, les coquillages perforés de Taforalt et dont certains ont été ocrés, sont issus de fouilles archéologiques respectant les standards internationaux sous le contrôle de plusieurs spécialités relatives à l’archéologie, la géologie, la paléontologie, la physique et la chimie.
Ceci a donné aux objets de parure découverts au Maroc une crédibilité et une fiabilité évidentes.L’équipe scientifique a également effectué au cours de cette campagne de fouilles d’autres découvertes d’une grande importance dans le même site correspondant à des sépultures d’enfants, au nombre de cinq jusqu’à présent et datant de plus de 12 mille ans avant le présent. Ils étaient intentionnellement couverts d’ocre rouge, enterrés avec des ossements d’animaux et mis sous des blocs en pierre. D’autres sépultures d’adultes ont été également ocrés ont mis au jour inhumés en association avec des cornes de mouflon, des outils en pierre et en os.L’équipe dirigée par Abdeljalil Bouzouggar, enseignant-chercheur à l’INSAP (Maroc) et Nick Barton, professeur à Oxford University a connu aussi la participation de plusieurs spécialistes du Natural History Museum à Londres, Römisch-Germanisches
Zentralmuseum à Mainz et l’appui du Centre National de la Recherche Scientifique et Technique (CNRST, Maroc).
Source: Ministre de la culture
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