Un lobbying pro-pédophilie qui fait fi de la législation
- Initiateur de la discussion Esperluette
- Date de début
mioulo
VIB
Mickey et son penis faire des trous dans du cheese?
Cheese c'était pas le nom de code de ''petite fille'' dans pizzagate
Dire que des millions de parents achètent des vêtements et toute sorte d'objet à l'efigie des personnages de Disney
Mickey et son penis faire des trous dans du cheese?
Cheese c'était pas le nom de code de ''petite fille'' dans pizzagate
Dire que des millions de parents achètent des vêtements et toute sorte d'objet à l'efigie des personnages de Disney
Les parents n'ont pas l'esprit tordu, les enfants réclament on pense seulement leurs faire plaisir, jusqu'au jour où on découvre le pot aux roses.
Et oui ..Mickey et son penis faire des trous dans du cheese?
Cheese c'était pas le nom de code de ''petite fille'' dans pizzagate
Dire que des millions de parents achètent des vêtements et toute sorte d'objet à l'efigie des personnages de Disney
Le rapport entre pédophilie et homo ? Vous êtes vraiment malades et haineux
C'est juste un gros fake https://www.snopes.com/fact-check/swiss-miss/Mickey et son penis faire des trous dans du cheese?
Cheese c'était pas le nom de code de ''petite fille'' dans pizzagate
Dire que des millions de parents achètent des vêtements et toute sorte d'objet à l'efigie des personnages de Disney
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A
AncienMembre
Non connecté
la pédophilie est un crime
l'homosexualité (adultes consentants) ne regarde personne
je crois qu'on ne peut pas faire l'équivalence, ni déduire le premier du second
il y a bien plus de pédophiles hétéro que homo à mon avis.
quant au délire avec Baphomet, c'est consternant de ramener cela à chaque sujet...
Qui a parlé de baphomet ? En quoi ce que tu dis concerne mes propos ??
Autant de questions qui resteront sans réponse..
Je te met en avant un élément qui fait suspecter un biais dans son discours, et c’est à moi tu demande de me taire ? Par contre, approuvé les messages de Morjani qui discrédite à tout va sur la base de suspicion même pas fondé d’être sioniste, ça, ça ne te pose pas de problème ?Si t'as rien de plus intelligent à dire, abstiens-toi, merci
Hypocrite ou orientée ?
L’œuvre d’un artiste Argentin https://dangerousminds.net/comments/barbie_and_ken_dolls_transformed_into_baphomet_judas
Aucun de ces titres ne légitime la pédophilie ou dit qu’elle n’est pas un problème (ou alors j’ai manqué quelque chose), ces titres parlent de la nature du phénomène. Les titres qui parlent de consentement, tu les comprend dans le sens inverse de celui attendu. Les pédophiles ne choisissent pas de l’être, c’est une réalité qu’ils subissent, un fardeau qu’ils portent. Un titre dit que les pédophiles ne sont pas tous des criminels, ce qui est un fait aussi, parce qu’il en existe qui ont assez de volonté pour ne pas faire les imbéciles. Ors, on condamne pour des délits, pas pour des supposés délits potentiels qui n’auraient pas été commis, et normalement encore moins pour de fausses accusations pour nuire (un probable exemple récent avec Bill Gates, et lui aura été accusé de tout ce qu’on peut imaginer).
La preuve la plus simple que ça ne risque pas d’être légalisé un jour, est justement que l’accusation de pédophilie est l’accusation favorite des populistes (avec le viol), pour nuire à quelqu’un, parce que c’est celle qui provoque le rejet le plus unanime. Contradiction ?
Je ne commente que ces titre, parce que j’en ai vu passer dans la presse anglophone aussi, alors je sais qu’ils existent. Mais le reste, les images des autres messages, je ne commente pas, parce que jamais vu dans les médias anglophones (ça fait un bout de temps que je n’y suis pas retourné quand‑même), alors je ne sais pas si ce sont des dérapages isolés qui ont été repris et amplifiés ou même des montages ou des attributions à tord (TEDTalk qui ferait la promotion de la pédophilie, c’est très difficile à croire !).
De toutes manières, aucune chance que la pédophilie soit un jour légale aux États‑Unis, il y a plus une menace de légalisation de la polygamie, et encore, sans certitude pour le moment.
Dernière édition:
Les conséquences ne sont pas les mêmes, la comparaison est abusive. Qu’on aime ou pas, les homos sont entre adultes, ça les regarde, ils sont assez grands pour savoir ce qu’ils font (il n’y a pas de problème temps qu’ils appliquent la réciprocité en laissant les autres tranquilles). Des enfants, non, et ce n’est pas de leur âge, même entre eux. Il faut quand‑même souligner ça. Du caractère inné, on ne peut pas conclure que les deux sont comparables pour le reste.
Je me demande lequel de nous deux est hypocrite ou orientée, que vient faire @morjani dans cette discussion ? Qui au demeurant tu ne tagues pas !
Dernière édition:
mioulo
VIB
Source bidon
Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?
Le sigle désignant les personnes qui ne sont pas hétérosexuelles n'en finit plus de s'étendre. Mais à quoi correspondent toutes ses lettres ? «Libération» fait le point.
Une femme qui aime les femmes, un homme qui aime les hommes, OK, on maîtrise : une lesbienne, un gay. Mais un homme né femme, et qui aime les femmes ? Et une personne qui ne se définit ni comme homme, ni comme femme ? Et une personne qui n’a aucune sexualité ? Comment les définir ?
Ces catégories bien précises, qui peuvent par ailleurs avoir des revendications différentes, sont souvent regroupées dans le même sac du sigle LGBT (lesbienne gay bi trans), qui a remplacé dès le début des années 90 le terme «gay» jugé trop restrictif. Les «revendications gay» ou la «culture gay» n’embrassaient pas tout le spectre des personnes non hétérosexuelles, laissant notamment croire que, chez les homos, il n’y avait que des hommes. «On se bat pour dire LGBT ; parler de communauté gay est un raccourci, une facilité de penser», explique Mathieu Brancourt, de l’association des journalistes LGBT (AJL). Le sigle LGBT «permet de désigner une orientation sexuelle [LGB] mais aussi une identité de genre [T]». Pour qu’il soit efficace, continue-t-il, LGBT «doit être explicité à chaque fois» par les journalistes.
Si LGBT paraît donc aujourd’hui largement adopté (c’est le terme par exemple employé par le gouvernement), on voit aussi apparaître des variantes, comme LGBTQ (recommandé aux Etats-Unis par l’association LGBT de critique des médias Glaad), LGBT+ ou l’extension LGBTQIA+. Ces termes un peu barbares ont tout de même le mérite de représenter l’ensemble des identités possibles rassemblées (au moins) par un point commun : elles ne correspondent pas à la sexualité majoritaire dans laquelle un homme (né homme) a un rapport avec une femme (née femme).
Mais à quoi correspondent toutes les lettres de ces sigles ? Examinons-les une à une :
L comme lesbienne. Une femme qui a des relations sexuelles avec une femme.
G comme gay. Un homme qui a des relations sexuelles avec un homme.
B comme bi. Une personne qui a des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.
T comme trans. Une personne née homme ou née femme et qui ne se sent pas appartenir à ce genre. «Le terme transsexuel-le est parfois utilisé pour désigner plus spécifiquement les personnes trans opéré-e-s. Les personnes non-opéré-e-s peuvent être appelé-e-s trangenres. Pour éviter d’instaurer une hiérarchie, on préférera le terme personnes trans, qui permet d’inclure la multiplicité des parcours et des identités», détaille l’AJL, dans son «kit à l’usage des rédactions».
Q comme queer. Sa définition est un peu plus floue, mais le terme est finalement très simple à comprendre : une personne se dit queer quand elle ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle, ou ne se sent pas appartenir à un genre défini.
I comme intersexe. Les personnes intersexes ne sont nées ni homme ni femme. Il existe plusieurs situations qui peuvent mener à l’intersexuation. Gaëtan Schmitt par exemple, que Libération avait rencontré en 2017, est né avec un micropénis et un vagin rudimentaire. En France, environ 200 enfants seraient concernés sur les 800 000 naissances annuelles.
A comme asexuel. «Les personnes asexuelles ne ressentent pas le besoin de s’engager dans des relations sexuelles», explique l’association pour la visibilité asexuelle. Elles peuvent avoir des relations amoureuses mais revendiquent le droit à ne pas ressentir d’attirance physique.
+ comme : et tous les autres. Aux Etats-Unis, le sigle le plus long est LGBTTQQIAAP : lesbian, gay, bisexual, transgender, transexual, queer, questioning (des personnes qui se questionnent sur leur sexualité), intersex, asexual, allies (les alliés hétérosexuels de la cause), pansexuels (qui revendiquent une attirance pour n'importe quel genre). On voit parfois aussi en anglais apparaître un O, pour «other» (les autres).
Et à «Libé» ?
Aujourd’hui, le terme LGBT est le plus couramment utilisé et, à ce titre, correspond le mieux pour décrire la situation de ces personnes et de leurs revendications. Nous y ajoutons un + pour englober toutes les autres réalités.
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www.liberation.fr
Le sigle désignant les personnes qui ne sont pas hétérosexuelles n'en finit plus de s'étendre. Mais à quoi correspondent toutes ses lettres ? «Libération» fait le point.
Une femme qui aime les femmes, un homme qui aime les hommes, OK, on maîtrise : une lesbienne, un gay. Mais un homme né femme, et qui aime les femmes ? Et une personne qui ne se définit ni comme homme, ni comme femme ? Et une personne qui n’a aucune sexualité ? Comment les définir ?
Ces catégories bien précises, qui peuvent par ailleurs avoir des revendications différentes, sont souvent regroupées dans le même sac du sigle LGBT (lesbienne gay bi trans), qui a remplacé dès le début des années 90 le terme «gay» jugé trop restrictif. Les «revendications gay» ou la «culture gay» n’embrassaient pas tout le spectre des personnes non hétérosexuelles, laissant notamment croire que, chez les homos, il n’y avait que des hommes. «On se bat pour dire LGBT ; parler de communauté gay est un raccourci, une facilité de penser», explique Mathieu Brancourt, de l’association des journalistes LGBT (AJL). Le sigle LGBT «permet de désigner une orientation sexuelle [LGB] mais aussi une identité de genre [T]». Pour qu’il soit efficace, continue-t-il, LGBT «doit être explicité à chaque fois» par les journalistes.
Si LGBT paraît donc aujourd’hui largement adopté (c’est le terme par exemple employé par le gouvernement), on voit aussi apparaître des variantes, comme LGBTQ (recommandé aux Etats-Unis par l’association LGBT de critique des médias Glaad), LGBT+ ou l’extension LGBTQIA+. Ces termes un peu barbares ont tout de même le mérite de représenter l’ensemble des identités possibles rassemblées (au moins) par un point commun : elles ne correspondent pas à la sexualité majoritaire dans laquelle un homme (né homme) a un rapport avec une femme (née femme).
Mais à quoi correspondent toutes les lettres de ces sigles ? Examinons-les une à une :
L comme lesbienne. Une femme qui a des relations sexuelles avec une femme.
G comme gay. Un homme qui a des relations sexuelles avec un homme.
B comme bi. Une personne qui a des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.
T comme trans. Une personne née homme ou née femme et qui ne se sent pas appartenir à ce genre. «Le terme transsexuel-le est parfois utilisé pour désigner plus spécifiquement les personnes trans opéré-e-s. Les personnes non-opéré-e-s peuvent être appelé-e-s trangenres. Pour éviter d’instaurer une hiérarchie, on préférera le terme personnes trans, qui permet d’inclure la multiplicité des parcours et des identités», détaille l’AJL, dans son «kit à l’usage des rédactions».
Q comme queer. Sa définition est un peu plus floue, mais le terme est finalement très simple à comprendre : une personne se dit queer quand elle ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle, ou ne se sent pas appartenir à un genre défini.
I comme intersexe. Les personnes intersexes ne sont nées ni homme ni femme. Il existe plusieurs situations qui peuvent mener à l’intersexuation. Gaëtan Schmitt par exemple, que Libération avait rencontré en 2017, est né avec un micropénis et un vagin rudimentaire. En France, environ 200 enfants seraient concernés sur les 800 000 naissances annuelles.
A comme asexuel. «Les personnes asexuelles ne ressentent pas le besoin de s’engager dans des relations sexuelles», explique l’association pour la visibilité asexuelle. Elles peuvent avoir des relations amoureuses mais revendiquent le droit à ne pas ressentir d’attirance physique.
+ comme : et tous les autres. Aux Etats-Unis, le sigle le plus long est LGBTTQQIAAP : lesbian, gay, bisexual, transgender, transexual, queer, questioning (des personnes qui se questionnent sur leur sexualité), intersex, asexual, allies (les alliés hétérosexuels de la cause), pansexuels (qui revendiquent une attirance pour n'importe quel genre). On voit parfois aussi en anglais apparaître un O, pour «other» (les autres).
Et à «Libé» ?
Aujourd’hui, le terme LGBT est le plus couramment utilisé et, à ce titre, correspond le mieux pour décrire la situation de ces personnes et de leurs revendications. Nous y ajoutons un + pour englober toutes les autres réalités.
Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?
Le sigle désignant les personnes qui ne sont pas hétérosexuelles n'en finit plus de s'étendre. Mais à quoi correspondent toutes ses lettres ? «Libération» fait le point.
En résumé il y a les hétérosexuel(le)s d'un côté et tous les autres de l'autre
Je ne vois vraiment pas le rapport entre l’homosexualité et la pédophilie..
L’homosexualité est un rapport consenti entre deux adultes, normalement..
La pédophilie est un rapport de pouvoir de l’adulte sur un enfant.. Je ne changerais pas d'avis, pour moi ils peuvent bien crevés, je leurs marcherais même dessus sans les calculer..
L’homosexualité est un rapport consenti entre deux adultes, normalement..
La pédophilie est un rapport de pouvoir de l’adulte sur un enfant.. Je ne changerais pas d'avis, pour moi ils peuvent bien crevés, je leurs marcherais même dessus sans les calculer..
Comment un groupe pédophile a tenté d’infiltrer la Gay Pride d’Amsterdam
À Amsterdam, un homme, qui se revendique du «Front de Libération des Enfants», a distribué en marge de la Gay Pride des tracts demandant l’intégration des pédophiles à la communauté LGBT. La police a confisqué les prospectus, mais n’a pas arrêté l’individu.
www.lefigaro.fr
À Amsterdam, un homme, qui se revendique du «Front de Libération des Enfants», a distribué en marge de la Gay Pride des tracts demandant l’intégration des pédophiles à la communauté LGBT. La police a confisqué les prospectus, mais n’a pas arrêté l’individu.
Comment un groupe pédophile a tenté d’infiltrer la Gay Pride d’Amsterdam
À Amsterdam, un homme, qui se revendique du «Front de Libération des Enfants», a distribué en marge de la Gay Pride des tracts demandant l’intégration des pédophiles à la communauté LGBT. La police a confisqué les prospectus, mais n’a pas arrêté l’individu.
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Monde
Sur tweeter aussi dans le
Plus grand des calmes
Par contre la sécurité de tweeter est entrain de supprimer tous les Q Ânon’ car considérés comme dangereux pour la communauté
Okeyyyyyyy
Les pedo vous pouvez continuer vos conversations vous n’êtes pas un danger pour la communauté
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mioulo
VIB
Le + englobe donc les pédophiles sinon pourquoi mettre un +?
Bonne question ça veut dire etc mais qui sont ces nouveaux êtres avec des envies ( sexuelles) différentes des lgbtqia+ Et qui voudraient être reconnus dans ce mouvement ?
le + n’est certainement pas leur rhésus sanguin mais alors à quoi sert ce +? Il y a encore des genres à venir ?
mioulo
VIB
c'est plus que pernicieux, c'est pour celà que les pédophiles se reconnaissent dans les LBGT+++++ car pour eux ils sont inclus puisque le lobby reconnait toutes les "sexualités"
zoophiles, pédophiles, plantophiles ou que sais je encore.
mioulo
VIB
elle va rester dans les annales cette vidéo, confondre identité de genre et expression de genre, pour lui peux avoir des organes masculins mais être une femme.....ou le contraire, en gros il lui faut qu'il voit un psy.
mioulo
VIB
rigole pas j'ai lu ça un jour, des gens qui ont des rapports sexuel avec des plantes et des arbres, sans leur consentement je rappelle, peut être qu'on mettra des gens en prison pour avoir violé leur ficus un jour
Et puis il n'est pas blanc puisqu'il est à moitié libanais
J'aimerais pas être dans sa tête.
rigole pas j'ai lu ça un jour, des gens qui ont des rapports sexuel avec des plantes et des arbres, sans leur consentement je rappelle, peut être qu'on mettra des gens en prison pour avoir violé leur ficus un jour
Pauvres plantes
