Vos chansons tristes préférées
- Initiateur de la discussion amsawad
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AncienMembre
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Depuis que je suis loin de toi, je suis comme loin de moi et je pense à toi tout bas...
Tu es à 3h de moi, je suis à des années de toi, c'est ça être là-bas...
La différence, c'est ce silence parfois au fond de moi...
Tu vis toujours au bord de l'eau...Quelques fois dans les journaux, je te vois sur des photos et moi loin de toi..Je vis dans une boite à musique électrique et fantastique, je vis en chimérie...
La différence, c'est ce silence parfois au fond de moi...
Tu n'es pas toujours la plus belle et je te reste infidèle mais qui peut dire l'avenir de nos souvenirs?
Oui j'ai le mal de toi parfois même si je ne le dis pas, l'amour c'est fait de ça...
Lettre au Maroc(de @misszara88 )
.....
Ne pleure pas! Je vais culpabiliser, c'est une belle chanson...un bel hommage.....
Je ne sais pas si toutes les chansons sont tristes mais le contexte les rend tristes.
Le premier gamin chante une chanson qui avait été jouée lors des funérailles de sa mère, décédée d'un cancer.
Ensuite, c'est une petite Syrienne chantant une chanson nommée « Donne-nous une enfance, donne la paix » qui ne peut pas retenir ses larmes.
En troisième position, il s'agit d'une jeune Colombienne aveugle.
Ensuite, une jeune Allemande d'origine ukrainienne chante - très bien - « *** te partiro ». Il se trouve que la mère décédée de la juge lui jouait souvent cette musique ce qui lui ravive de douloureux souvenirs et la fait fondre en larmes.
Enfin, la dernière jeune chanteuse n'imaginait pas que les juges appuieraient si rapidement sur le bouton et elle se trouve gagnée par l'émotion.
Le premier gamin chante une chanson qui avait été jouée lors des funérailles de sa mère, décédée d'un cancer.
Ensuite, c'est une petite Syrienne chantant une chanson nommée « Donne-nous une enfance, donne la paix » qui ne peut pas retenir ses larmes.
En troisième position, il s'agit d'une jeune Colombienne aveugle.
Ensuite, une jeune Allemande d'origine ukrainienne chante - très bien - « *** te partiro ». Il se trouve que la mère décédée de la juge lui jouait souvent cette musique ce qui lui ravive de douloureux souvenirs et la fait fondre en larmes.
Enfin, la dernière jeune chanteuse n'imaginait pas que les juges appuieraient si rapidement sur le bouton et elle se trouve gagnée par l'émotion.
Pour finir, le plus beau :
"Écoute le ney, la flûte de roseau, raconter une histoire ; il se lamente de la séparation :
Depuis qu’on m’a coupé de la jonchaie, ma plainte fait gémir l’homme et la femme.
Je veux un cœur déchiré par la séparation pour y verser la douleur du désir.
Quiconque demeure loin de sa source aspire à l’instant où il lui sera à nouveau uni.
Moi, je me suis plaint en toute compagnie, je me suis associé à ceux qui se réjouissent comme à ceux qui pleurent…
Chacun m'a compris selon ses propres sentiments, mais nul n'a cherché à connaître mes secrets.
Mon secret pourtant n'est pas loin de ma plainte, mais l'oreille et l'œil ne savent le percevoir.
Le corps n’est pas voilé à l’âme, ni l’âme au corps ; cependant nul ne peut voir l’âme.
C’est du feu, non du vent, le son de la flûte : que s’anéantisse celui à qui manque cette flamme !
Le feu de l’Amour est dans le roseau, l’ardeur de l’Amour fait bouillonner le vin.
La flûte est la confidente de celui qui est séparé de l’Ami ; ses accents déchirent nos voiles."
Djélâl-ed-dîn Roûmî,
Chanté par Nashenas
"Écoute le ney, la flûte de roseau, raconter une histoire ; il se lamente de la séparation :
Depuis qu’on m’a coupé de la jonchaie, ma plainte fait gémir l’homme et la femme.
Je veux un cœur déchiré par la séparation pour y verser la douleur du désir.
Quiconque demeure loin de sa source aspire à l’instant où il lui sera à nouveau uni.
Moi, je me suis plaint en toute compagnie, je me suis associé à ceux qui se réjouissent comme à ceux qui pleurent…
Chacun m'a compris selon ses propres sentiments, mais nul n'a cherché à connaître mes secrets.
Mon secret pourtant n'est pas loin de ma plainte, mais l'oreille et l'œil ne savent le percevoir.
Le corps n’est pas voilé à l’âme, ni l’âme au corps ; cependant nul ne peut voir l’âme.
C’est du feu, non du vent, le son de la flûte : que s’anéantisse celui à qui manque cette flamme !
Le feu de l’Amour est dans le roseau, l’ardeur de l’Amour fait bouillonner le vin.
La flûte est la confidente de celui qui est séparé de l’Ami ; ses accents déchirent nos voiles."
Djélâl-ed-dîn Roûmî,
Chanté par Nashenas