Whatever Lola want de Nabil Ayouch

«Whatever Nabil Ayouch wants»

Le film Whatever Lola wants qui sortira en avril 2008 fera certainement beaucoup de bruit et obtiendra probablement un grand prix.

Produit par Jack Eberts, dirigé par le cinéaste franco-marocain Nabil Ayouch qui l’a co-écrit et mis en scène avec Nathalie Saugeon, le film dont les acteurs principaux sont le Marocain Assaad Bouab (Zack) et les Américaines Carmen Lebbos (Ismahan) et Laura Ramsey (Lola) est tourné à New York, le Caire et au Maroc.

Détails inédits.


Le tournage qui a débuté à New York à la mi septembre 2006, a commencé au Caire du 15 octobre suivant et se terminera le 8 décembre prochain. La première audition a été enregistrée en juillet dernier.
Mais le film distribué par Pathé comprendra aussi quelques séquences du Maroc où une jeune technicienne américaine a été dépêchée par la société Donna Deseta Casting, sise à Broadway.
Cette technicienne a effectuée au moins 42 auditions, d’une vingtaine de secondes chacune, entre le 28 septembre et le 3 octobre passés.
Quatorze acteurs ont été auditionnés à raison de trois enregistrements pour chacun. Ces acteurs qui sont en majorité d’origine libanaise, jordanienne, palestinienne ou égyptienne, sont dans l’ordre des auditions : MM Aftab Sachak, Andrew Sachs, Andy Lucas, Dimitri Andreas, Donald Sumpter, Jeff Diamond, Joseph Long, Mozaffar Shafeie, Nabil Massad, Nadim Swalha, Raad Rawi, Renu Setna, Sam Dastor, Stefan Kalipha.

Les auditions parlent du personnage Ismahan (Carmen Lebbos), une belle femme égyptienne de 40 ans aux cheveux et yeux noirs. En suivant son amant en Egypte, l’Américaine Lola (Laura Rumsey : photo) fera connaissance d’Ismahan, une ancienne danseuse du ventre qui va changer sa vie dans pays exotique.

Selon notre source anonyme, des scènes, encore sous embargo, montrent Ismahan en train de danser dans un square à Louxor, assise sur le siège arrière d’une voiture conduite par son chauffeur alors qu’une pierre traverse la vitre ou encore se voilant le visage avec ses mains à la vu d’un paparazzi.
Le film qui rappelle un peu la dramatique histoire de la grande chanteuse Ismahan d’origine druze (la sœur du géant Farid Al Atrach), tuée en 1944 dans un accident de voiture alors qu’elle était âgée de 26 ans, veut rappeler que l’Egypte fut à un moment un havre de liberté.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
j'ai hâte d'aller le voir ;)

j'ai vu le making of hier sur canal! trop trop chouette: et ça me donne encore plus envie de faire de la danse orientale! inchaallah c'est prévue pr septembre 2008 :D

trop trop trop bien ce film!
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
sur fond de danse orientale

Date de sortie : 16 Avril 2008

Réalisé par Nabil Ayouch
Avec Laura Ramsey, Assaad Bouab, Carmen Lebbos
Film Franco-canadien.
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h 55min.
Année de production : 2007

Lola, 25 ans, vit à New York où elle travaille pour la Poste en rêvant d'une carrière de danseuse. Youssef, son meilleur ami, est un jeune Egyptien gay installé à New York pour y vivre comme il l'entend. C'est par lui que Lola découvre l'histoire d'Ismahan, star de la danse orientale, véritable légende au Caire.

Dans le restaurant où Youssef travaille, Lola rencontre un autre Egyptien, Zack. L'idylle tourne rapidement court quand Zack prend conscience des différences culturelles qui les séparent et rentre en Egypte. Sans réfléchir, Lola, aussi impulsive que naïve, décide immédiatement de le suivre, sous les yeux effarés de Youssef.

Arrivée au Caire, déçue par l'accueil de la famille de Zack autant que par l'attitude du jeune homme, Lola se met en tête de retrouver la fascinante danseuse Ismahan.

"Whatever Lola wants... Lola gets"
Le titre "Whatever Lola Wants" fait référence à la célèbre chanson de Sarah Vaughan écrite dans les années 50. Elle est d'ailleurs reprise pour les besoins du film par Natacha Atlas sur une nouvelle orchestration du groupe Trans-Global Underground.

Rapprocher deux mondes
Le réalisateur, Nabil Ayouch : "L'Orient et L'Occident sont deux Mondes, certes, que beaucoup sépare, ou que l'on veut séparer. Ces deux Mondes ont leurs différences, leur culture, leur histoire. A travers les siècles, ces histoires se sont croisées, des échanges et des transmissions de savoir et d'art ont eu lieu.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=119442.html
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
je me permets de mettre cette critique ici histoire de upper la discussion

Whatever Lola wants

Un film magnifique.

Le film commence, et l’on envie l’actrice principale, factrice à ses heures et danseuse dans son coeur… Comme elle, on aimerait.
On aimerait tomber amoureuse d’un Egyptien. On aimerait tomber sur un homme qui nous aime comme l’on est, gaffeuse et gracieuse.

On aimerait rencontrer un homme qui nous ferait rire, qui serait généreux, qui serait là et avec lequel le temps comme le reste ne compteraient plus.
Et puis comme souvent, les univers de chacun se confrontent, et plutôt que la fin, il s’agit d’un début.

Plutôt que de rêver d’un bel Egyptien, on se prend à rêver passion. Et on rêverait d’avoir nous aussi une passion mêlée d’amour pour pouvoir traverser une partie du monde, sur simple choix. Parce que pas seulement en Amérique, nous avons toujours le choix.

L'histoire se tisse doucement et puis nous arrions au coeur de l'Egypte, avec ces taxis et ces rues et la cacophonie ambiante. Et peut etre (sûrement même) que ça vaut plus qu'un amour, qu'un homme, ou qu'une relation édentée. Comme elle, ce que l'on aimerait, c'est vivre ce que l'on a à vivre, sans "se retourner"...

Je découvre Nabil Ayouch et il nous offre là un film où pour une fois, le rêve américain, c’est de quitter la dite Amérique pour l’Orient.
Une jeune femme, [ressemblant à Sienna Miller et à la fille de Mariés, Deux enfants], qui se retrouve un lendemain en Egypte, avec de jolies boucles blondes, fraîchement américaine, et surtout en décalage total avec la culture du pays dans lequel elle se trouve.

Le genre de pays où un destin peut basculer du jour au lendemain, non sans efforts.
Une jeune femme qui traverse un monde pour un homme et qui en quelques secondes voit sa relation s’éclater.
C’est comme ça que ça devait se finir.
Et puis ce fameux pays qui n’en est pas seulement un. Ce pays, berceau des civilisations et du glamour oriental, ses pyramides, son Nil et ses danseuses…

Là, l’Histoire de ce film commence, on rit face à quelques de ses mésaventures et à ses débuts boiteux, on rit comme l’on rirait de n’importe qui débarquant un beau jour à l’autre bout du Monde.
L’histoire commence quand deux femmes se rencontrent. Nous avons alors une histoire plus recherchée, moins « banale » et une relation singulièrement commencée entre deux femmes où l’on en apprend un peu plus sur l’une, à mesure que l’autre apprend et s’exerce.

On revit quelques heures de légèreté et d’art au cœur d’une Egypte toujours aussi contradictoire et sans appel.
Un univers de décolletés, de ventres qui vibrent, de hanches en mouvements, de brume, de mélancolie, et d’espoir.

La BO, par Natacha Atlas est magnifique, tout en rondeur, et en sensualité. Elle donnerait envie à la plus raide des femmes de se lever et de se déhancher.
Autant le début du film, qui a lieu aux Etats-Unis n’a rien de bien fameux, autant le cœur du film, en pleine Egypte est resplendissant.

Pour finir, une phrase, qui rassure ou réconforte : Un Occidental quand il aime se marie, et un Oriental, quand il aime, en épouse une autre.

Ça a peut être du bon finalement d’être orientale… et occidentale ;)
 
J’irai probablement le voir cette semaine….ce n’est pas tous les jours, qu’on voit des films de réalisateurs marocains, et surtout celui du réalisateur du poignant « Ali Zawa » , bien que depuis ce film il s’est endormi un petit peu sur ses lauriers…
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
J’irai probablement le voir cette semaine….ce n’est pas tous les jours, qu’on voit des films de réalisateurs marocains, et surtout celui du réalisateur du poignant « Ali Zawa » , bien que depuis ce film il s’est endormi un petit peu sur ses lauriers…

comme ça on pourra danser tous les deux la danse du ventre! :D
mdrrr
j'ai besoin de toi pr une traduction lay khalik :rouge:
 
Souviens toi de tes préjugés sur la graine et le mulet…..:-D mais, à priori je suis d’accord avec toi, ce n’est pas trop ma tasse de thé ce genre de film mais j’irai le voir, pour son réalisateur….il faut encourager les produits marocains…:-D

moi, j'irai le voir pour une seule raison :































Natacha Atlas :D

:cool:

Nesstnik, nesstnik :D
 
: : je t'atta, je t'atta.....: D

Oui, phonétiquement c’est parfait, mais la voix, aie, aie, aie….elle sera recalée aux tests d’une star academy marocaine ou libanaise…:Delle a une voix un peu nasillarde pour un oreille orientale …
@+

ooooooooh

c bon, on lui demande pas de bien chanter lol


ce que je kiffe, c l'accent marocain des choristes derrière :D !!!
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
Nabil Ayouch sort son dernier film "Whatever Lola wants"

Après Ali Zaoua, prince de la rue, en 2000, le réalisateur franco-marocain, s’est offert une nouvelle incursion dans l’univers (féérique) des contes. Cette fois, son héroïne s’appelle Lola, une jeune américaine qui va découvrir la culture égyptienne grâce à l’amour et à la danse. Whatever Lola wants sort en France ce mercredi et Nabil Ayouch se plie, avec la douceur qui le caractérise, au rituel de l’entretien.

Lola, 25 ans, est une factrice new-yorkaise qui se partage entre son travail et sa passion pour la danse. Son meilleur ami Youssef, un Egyptien, lui fait découvrir une légende de la danse orientale dans son pays, Ismahan. Quand elle rencontre Zack, un Egyptien également, elle ne sait pas que l’amour va la mener à la rencontre de celle qui est devenue désormais son idole.

Whatever Lola wants est comme le décrit son réalisateur, le franco-marocain Nabil Ayouch, un « conte moderne » qui parle de dialogue entre les peuples. Quand elle débarque au Caire, la jeune Américaine prend le risque de se heurter à une culture égyptienne pétrie de tabous, à une ancienne gloire qui en fait les frais. Cette envie frénétique d’en apprendre plus sur la danse orientale est le passeport qui lui ouvrira toutes les frontières, y compris celle des coeurs.

Nabil Ayouch, à l’instar de ses héroïnes Lola et Ismahan, réunies à la croisée des chemins entre Orient et Occident, joue la carte de la (ré)conciliation entre deux régions qui lui sont chères. Ce dernier film de Nabil Ayouch sort en France ce 16 avril et sera dans les salles marocaines le 23 avril prochain.

Le personnage de Lola a quelque chose de très innocent dans sa démarche, comme Ali et ses amis dans Ali Zaoua, prince de la rue, votre précédente fiction. Serait-ce s’avancer que de dire que la thématique de l’innocence vous interpelle ?

Pas l’innocence, le rêve. La capacité à croire qu’on peut déplacer des montagnes. Les amis d’Ali Zaoua veulent lui offrir le plus bel enterrement possible alors qu’ils sont des enfants des rues. Lola, elle, part vers son destin et vers une rencontre, a priori improbable, entre l’Orient et l’Occident. Avec Ismahan, elle arrive à créer un pont.

Les femmes sont les vraies héroïnes de ce film. Ne serait-ce parce qu’elles font preuve d’une volonté inébranlable...

Les femmes ont des qualités que les hommes n’ont pas. Des qualités qui peuvent permettre de se réconcilier. Les femmes trouvent tout à fait leur place dans une oeuvre qui appelle à transcender nos différences. On nous fait croire que parce que nous sommes différents, nous ne sommes pas capables de nous parler. Pour moi, c’est l’inverse, parce qu’on est différent, on a des choses à se dire. Il faut que nous soyons en mesure d’exprimer nos différences, de les assumer et de les transcender.

Lola et Ismahan ont-elles été pensées comme des prototypes de cet Occident et cet Orient entre lesquels vous lancez cette passerelle ?

Chacune d’elle incarne, plus que ne représente, certains éléments de leurs sociétés respectives. Pour Lola, une certaine naïveté de l’Occident, des Etats-Unis, pour Ismahan, la sagesse. Elles sont néanmoins loin de représenter de grands ensembles géopolitiques parce qu’elles ont leur identité propre.

En filigrane, votre film est une critique du statut des femmes dans la société égyptienne, de l’homophobie. Youssef, le meilleur ami égyptien de Lola, est homosexuel. On pense d’ailleurs à L’Immeuble Yacoubian…

Plus que de la société égyptienne, c’est une critique du monde arabe en général. La meilleure chose qu’on puisse faire aujourd’hui en tant que cinéaste oriental, arabe, c’est d’être capable de critiquer, nous-mêmes, notre société. Il y a des choses qui fonctionnent, d’autres moins, j’ai envie de dire les deux. Si nous ne le faisons pas, d’autres le feront avec leurs caricatures, leurs idées reçues. Quand vous regardez les films que font en général les Américains sur le monde arabe, il s’agit soit de guerre, soit de terrorisme. On a l’impression que l’Orient est complètement déshumanisé. C’est à nous artistes de cette région du monde, c’est pareil pour l’Afrique, pour l’Asie, l’Amérique latine, de faire des films sur notre société.

C’est votre façon à vous, en tant qu’artiste arabe, de rééquilibrer la balance même si on peut vous reprocher la forme ? Whatever Lola wants est un film qui prend le parti, même s’il les évoque, de lisser l’importance des chocs culturels. Finalement, on se dit qu’il n’y a que dans un film que ça peut arriver...

C’est un film qui a plusieurs niveaux de lecture. Certains y verront du divertissement pur à cause du format : danse, musique…D’autres y verront, à la lumière de leur vécu, des choses plus personnelles, plus intimes. Les choses ne se font pas si simplement que cela. C’est aussi le rôle du cinéma de prendre des raccourcis, contrairement à la vraie vie. Whatever Lola wants est un conte moderne. Pour rentrer dans ce film et pour l’apprécier, il faut accepter de se plier à ses codes.

La danse orientale est au cœur de cette fiction. Pourquoi ce clin d’oeil ?

La danse est un véritable lien visuel et organique. Il y a très peu de choses qui nous permettent de nous rassembler autour d’une émotion, à l’exception des arts et du sport. Whatever Lola wants est un hommage à la danse orientale, une danse qui a trois mille ans. C’est une danse de la procréation, c’est pour cela qu’on parle de danse du ventre.

Laura Ramsey est tout sauf une danseuse professionnelle. Contrairement à Lola, qui n’apprend que la danse orientale, elle a tout appris. Elle réalise une véritable performance. Et pourtant, ce n’était pas votre préférée pendant le casting...

C’est une sacrée performance. Au début, non. Mais en prenant de la distance, je me suis rendu compte à quel point elle était belle, sensuelle mais surtout espiègle. La danse, ce n’est pas que le corps, c’est aussi l’expression du visage. C’est une interprétation.
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
La chanson Whatever Lola wants, revue et corrigée par Natacha Atlas, est une véritable trouvaille, la sienne d’ailleurs. Qu’est-ce qui vous a poussé à vous rapprocher d’elle pour travailler sur la bande originale ?

Je souhaitais que les standards occidentaux soient revus d’un point de vue oriental. Whatever Lola wants est une vielle chanson de jazz de Sarah Vaughan, qui date des années 50, à qui on a fait subir cette métamorphose. Natacha Atlas a réussi, également, avec la musique à bâtir des ponts entre l’Orient et l’Occident, ce que j’ai voulu faire avec ce film. Elle est l’une des artistes qui a le mieux réussi dans cette démarche. Par ailleurs, Natacha a une voix unique et envoûtante.

Que représente votre dernier long métrage dans votre filmographie ?

Une forme de réconciliation entre deux parties de moi-même.

C’est difficile de vivre sa double identité ?

Quand on est jeune, oui. On a besoin d’ancrage durant cette période de sa vie, de repères et de références. Quand on grandit, on finit par se rendre compte que la diversité est plus riche, encore plus quand elle vient de l’intérieur.

En 2005, vous avez été à l’origine d’une structure dénommée Film industry made in Morocco au travers de laquelle plus d’une trentaine de longs métrages ont été produits. Vous défendez beaucoup le "made in Maroc". Vous avez d’ailleurs représenté votre seconde patrie aux Oscars en 2001, avec Ali Zaoua, prince de la rue. Comment se porte aujourd’hui le cinéma marocain, l’une des industries les plus dynamiques dans le Maghreb ?

On a la chance d’avoir un Etat qui soutient énormément le cinéma. Le pouvoir politique s’intéresse à cette industrie et l’aide à se développer en lui accordant des aides. Cela permet à beaucoup de films marocains d’exister et de s’exporter. Ce qui n’est malheureusement plus le cas en Tunisie ou en Algérie. Il faut de gros moyens pour faire du cinéma, contrairement à la littérature ou à d’autres disciplines artistiques.


Source : Afrik.com - Falila Gbadamassi
http://www.bladi.net/17906-whatever-lola-wants.html
 
La dernière fois où j’avais vu un film aussi mauvais, c’était « les Daltons » d’Eric et ramzy, où je me suis barré de la salle après 15 minutes….le plus mauvais film, que j’ai vu depuis des années….heureusement, que je ne paye pas mes tickets de cinéma, car j’aurai crié au remboursement……rien, mais rien, ne justifie d’aller voir ce film…..

tu paie pas l'entrée ..comment tu fais?;)
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
La dernière fois où j’avais vu un film aussi mauvais, c’était « les Daltons » d’Eric et ramzy, où je me suis barré de la salle après 15 minutes….le plus mauvais film, que j’ai vu depuis des années….heureusement, que je ne paye pas mes tickets de cinéma, car j’aurai crié au remboursement……...rien, mais rien, ne justifie d’aller voir ce film…..

mdrrrrrrrrr oh le rageur :D

dis nous tes impressions:rolleyes:
 
La dernière fois où j’avais vu un film aussi mauvais, c’était « les Daltons » d’Eric et ramzy, où je me suis barré de la salle après 15 minutes….le plus mauvais film, que j’ai vu depuis des années….heureusement, que je ne paye pas mes tickets de cinéma, car j’aurai crié au remboursement……...rien, mais rien, ne justifie d’aller voir ce film…..

merchi c bon à savoir :D


eric et ramzy ????? :eek:

même gratos avec un resto gratos arpès, j'y serais pas aller !!
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
sur fond de danse orientale

Date de sortie : 16 Avril 2008

Réalisé par Nabil Ayouch
Avec Laura Ramsey, Assaad Bouab, Carmen Lebbos
Film Franco-canadien.

Lola, 25 ans, vit à New York où elle travaille pour la Poste en rêvant d'une carrière de danseuse. Youssef, son meilleur ami, est un jeune Egyptien gay installé à New York pour y vivre comme il l'entend. C'est par lui que Lola découvre l'histoire d'Ismahan, star de la danse orientale, véritable légende au Caire....
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=119442.html

Je l'ai enfin vu! Il est pas mal du tout
Bcp d'acteurs marocain dont un certain Bergach...:rolleyes: (Allah y rahmou); le film aurait -il été tourné au Maroc??
Ceci étant c'est une jolie histoire à la Cendrillon sauce orientale...une nana qui part de rien et qui devient une grande star une fois sur place...Mais bon ca fait du bien de rêver un peu...c'est sympa, léger, gai, ca fi plizir...
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
Mais quelles impressions ?? ce film est d’une médiocrité sans nom.

Est ce vraiment le réalisateur d’Ali Zawa et de Maktoub, qui a commis cette daube ? tout est mauvais dans ce film, tout : l’histoire, le jeu des acteurs, la musique, les décors, tout est mauvais. Quant au clichés, n’en parlons même pas, si c’était un américain qui avait fait ce film, on aurait crée au scandale et à la bêtise des américains.

L’actrice principale, Lola, confond danse orientale et chorégraphie des Pom-Pom girls. Elle est à la danse orientale ce que cheikha Rimitti est au Tango, c’est dire walou, rien, ghir al khayr binathoum…quant à Assad Bouab, le nouveau sex-symbol marocain, il est aussi expressif dans ce film que le fauteuil qui est en face de moi maintenant, et en plus, sa voix en anglais est postsynchronisé, c'est-à-dire que parfois j’avais l’impression de regarder un feuilleton mexicain doublé en tibétain : les mouvements des lévres dans un coin et la voix qui vient se poser dessus…. . Je suis sorti consterné de ce film. j'arrête là et je reserve mon fiel et ma rage pour ailleurs...


waouh :eek:
C'est vrai je suis d'accord avec toi sur certaines incohérences, et puis un scenario un peu léger...mais bon même si je confirme que c'est pas du grand cinéma, ca reste sympa quand même à regarder...ca m'a donné envie de faire pleins de 8 aussi en long, en large et en travers lol C'est décidé demain je m'y mets :D
 
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