Whatever Lola want de Nabil Ayouch

je ne sais pas pourqoiu les marrocains seront de bon acteurs alors l'education nationales est placee la toute derniere parmie les autres au monde je ne crois pas qu'il ya un bon acteurs marrocain mais des acteurs malheureus pas d'argents les pauvres les acteurs marrocain
 

TiwOtchi

Ok Edge.. Play the blues!
VIB
Je vais copier coller ce que j'en ai dit en discutant avec Sahlia :D

En sortant du film j'étais plutot contente, me disant que c'etait un bon film... j'ai passé la nuit à rever d'Ismahane. En repensant au film je crois que j'ai simplement été impressionnée par le personnage.

J'ai repensé au film et je trouve que finalement il est pas si genial que ca. J'ai comparé avec les films marocains qui manquent de fluidité et de qualité technique. Celui là est certainement fluide et techniquement bien fait.

Quand on ne le juge pas en le comparant, je trouve que c'est un peu indigne de Nabil Ayouch. Après Ali Zaoua qui était une vraie revelation, celui là est plein de préjugés, il montre une egypte stereotypée.

L'actrice est bonne ok, même si la grace des danseuses orientale lui manque un peu. L'acteur lui était très moyen, oui il est craquant mais je ne garde de lui qu'une expression, un visage fermé.

L'histoire elle même est un peu mitigée. Sans parler du fait que venant d'un arabe à moitié, on aurait pu s'attendre à un peu plus d'attention... Ou peut être qu'on le lui pardonne parce que justement c'est un arabe à moitié.

lol j'ai un peu perdu mes illusions au cours de la nuit!! Qui sait j'aurais peut être un autre avis d'ici demain :D
 

cacha

pr mourir il en faut peu!
je crois que la telivision est un moyen pou r laisser les adolescents rever hors ce qui'il peuvent obtenir

je ne sais pas pourqoiu les marrocains seront de bon acteurs alors l'education nationales est placee la toute derniere parmie les autres au monde je ne crois pas qu'il ya un bon acteurs marrocain mais des acteurs malheureus pas d'argents les pauvres les acteurs marrocain

j'ai rien compris :eek:
 

cacha

pr mourir il en faut peu!
Je vais copier coller ce que j'en ai dit en discutant avec Sahlia :D

En sortant du film j'étais plutot contente, me disant que c'etait un bon film... j'ai passé la nuit à rever d'Ismahane. En repensant au film je crois que j'ai simplement été impressionnée par le personnage.

J'ai repensé au film et je trouve que finalement il est pas si genial que ca. J'ai comparé avec les films marocains qui manquent de fluidité et de qualité technique. Celui là est certainement fluide et techniquement bien fait.

Quand on ne le juge pas en le comparant, je trouve que c'est un peu indigne de Nabil Ayouch. Après Ali Zaoua qui était une vraie revelation, celui là est plein de préjugés, il montre une egypte stereotypée.

L'actrice est bonne ok, même si la grace des danseuses orientale lui manque un peu. L'acteur lui était très moyen, oui il est craquant mais je ne garde de lui qu'une expression, un visage fermé.

L'histoire elle même est un peu mitigée. Sans parler du fait que venant d'un arabe à moitié, on aurait pu s'attendre à un peu plus d'attention... Ou peut être qu'on le lui pardonne parce que justement c'est un arabe à moitié.

lol j'ai un peu perdu mes illusions au cours de la nuit!! Qui sait j'aurais peut être un autre avis d'ici demain :D

si jte dis bamoutfik? tu pense a kel scene cr cr cr :D
 
ill é trO biien ce fiilm mes au débuut il é pO trO biien jai pO trO aiime mes bOn cun film sur la dance Oiantale et il super biien
jvOu cOnseiile daller le vOiir O persOnne ki lOn pO VU !!!
:)
 

Soumiyaaa

Laisses parler les gens..
Sortie. Ce que Lola veut

Les acteurs principaux de Whatever Lola wants : Carmen Lebbos,
Laura Ramsey et Assâad Bouab.

Le nouveau film de Nabyl Ayouch, en salle cette semaine, est un bonbon recommandé pour les amateurs de danse orientale et d’une certaine idée du cinéma de divertissement.

Elle a de la chance, Lola. Son avant-première, mardi à Casablanca, a été un très bel événement people. Un joli coup, avec une séance de projection impeccablement réglée et un after délirant. Du bon marketing comme on l’enseigne à l’école, bien ciblé, emballé, exécuté. Retour garanti. Tous sont venus. Même Mohamed Sajid, le maire de la ville, souriant et discret comme à son habitude. Natacha Atlas, d’abord en playback, ensuite en vrai, live avec son Transglobal Underground. Une flopée de publicitaires, d’experts ès finances ou communication. Et puis Fouad Ali El Himma, ami personnel du roi, débarqué à minuit après avoir assisté, quelques heures plus tôt, au plateau télé de Hiwar à Rabat.

L’after a volé la vedette à la projection, pourtant réussie. Parce que Natacha Atlas, qui chante le générique du film (une reprise de Sarah Vaughan), à portée de la main. Parce que la Libanaise Carmen Lebbos, l’une des actrices principales du film, dansant mieux encore qu’à l’écran. Parce que Si Fouad, sollicité de partout, distribuant les quotas de deux bises à toutes les joues offertes, tournoyant entre les tables et les assiettes.

Et le cinéma dans tout cela ? On y arrive. On n’affronte pas le nouveau Nabyl Ayouch comme un film de Daoud Aoulad Syad ou Mustapha Derkaoui. Il y a les paillettes d’abord, la com’, le cirque (mais joyeux, hein). Ensuite le film. S’il vous plaît.

Lola, une femme américaine

C’est l’histoire d’une jeune New Yorkaise de 25 ans, Lola, qui rêve de devenir une étoile de la danse orientale. Son problème, c’est qu’elle n’y connaît rien, elle n’est jamais allée plus loin que le Visconsin, et elle est postière dans la vie. Pas facile… Whatever Lola wants démarre sur les bases d’une bonne comédie musicale dans le Hollywood des années 40-50, avec ce doux parfum de mélo et de conte de fées pour adultes. Lola rencontre, donc, l’amour. Il s’appelle Zak : il disparaît du jour au lendemain, elle décide d’aller le rejoindre à l’autre bout de la planète, au Caire. Alors Lola engrange, apprend la danse, la vie, perd son amour, gagne un don, un statut, la gloire. Elle devient star mais au prix, évidemment, de son cœur. Elle retourne à son New York, ramenant dans ses bagages son histoire, son art. Happy end final. Lola, on l’a bien compris, est un ambassadeur, un bridge entre l’Orient et l’Occident, lesquels peuvent parfaitement se joindre l’un à l’autre. Pourquoi pas par la danse ?

En d’autres temps, d’autres circonstances, le quatrième film de Nabyl Ayouch aurait pu s’appeler A star is born. Une étoile est née, donc. Laura Ramsey, la Lola du titre, est un peu une Judy Garland version 2008, un peu plus blonde que son modèle, toujours aussi candide, romantique, heureuse et malheureuse en amour.

Voilà donc le film le plus cher de l’histoire du cinéma marocain. 10 millions d’euros, un peu moins de 120 millions de dirhams. Pas grand-chose pour les standards de production française, énorme pour un gentil cheval marocain. Lola est ambitieux par ses moyens : la caméra de Nabyl Ayouch s’est baladée à New York, au Caire et à Casablanca (pour reconstituer certains extérieurs du Caire). Un soin particulier a été apporté à l’image, à la bande-son, sans oublier la très importante communication montée autour du film. Lola est surtout ambitieux par son propos. Filmer au Caire et à New York, même si c’est seulement pour quelques jours, cela coûte cher. Mais cela a du sens. Les deux capitales symbolisent deux mondes en opposition : Orient, Occident. Musulmans contre chrétiens. Arabes contre Américains. Le film montre qu’il est possible de joindre les deux extrêmes, et par la danse s’il le faut. “En fait, la danse orientale est un souci personnel, intime. C’est quelque chose qui me passionne…et qui m’a permis de rencontrer ma femme, il y a 18 ans”, explique Nabyl Ayouch. Lola, au cas où on l’aurait oublié, est bien un film personnel.

Marocain ou pas : that is the question

Dans la filmographie de Nabyl Ayouch, Lola s’installe aisément dans le sillage des trois premiers opus du réalisateur : comme dans Mektoub, Ali Zaoua, ou Une minute de soleil en moins, Lola est une ode à la transgression. Le thème central de la danse était déjà évoqué, en filigrane, dans Une minute de soleil en moins. Sur la forme, c’est du Ayouch cousu main : clean, agréable à l’œil et très pro pour les qualités ; léger, long et manquant un chouia d’âme pour les défauts. Très objectivement.

C’est surtout par rapport au cinéma marocain que Lola détonne. Le film de Nabyl Ayouch, dont le titre résonne bien dans l’air du temps (après les Wake up Morroco, What a wonderful world, Morrocan dream ou Casablanca daylight), creuse un sillon abandonné depuis Souheïl Benbarka, et l’époque Amok (1982). Celle de la superproduction internationale où le label Maroc est absent du scénario, des décors, des dialogues, etc. Lola est a priori un produit sans nationalité véritable, réalisé par un Marocain, financé essentiellement par des Européens, tourné en anglais, racontant l’histoire d’une Américaine d’abord perdue, ensuite consacrée, en Egypte. Pour reprendre la comparaison avec Benbarka, Ayouch réussit avec le seul Lola là où toute la filmographie internationale de Monsieur Amok (La Bataille des trois rois, L’ombre du pharaon…) avait échoué : proposer, sur une préoccupation d’aujourd’hui, un sujet fédérateur garantissant l’indispensable mixture larmes - rires - évasion.

Romantique, divertissant, agréable de bout en bout, Whatever Lola wants n’est pas exactement le chef-d’œuvre de l’année. Question de vocation, sans doute. Parfois d’écriture et de codes de fabrication. Le film, qui oscille entre le mélo et la comédie musicale, emprunte les figures de style des deux genres, avec leurs poncifs, leurs longueurs et leurs limites. Il souffre aussi, dans les détails, de certaines carences que l’on appellera “techniques” : les doublages, une certaine discordance de ton entre les comédiens (notamment le couple amoureux Assaâd Bouab - Laura Ramsey, pas toujours au diapason), sans oublier que le clou du film, un numéro de danse en public, est en-deçà du minima dicté par la loi du genre, qui impose de multiplier les angles, serrer les pieds du danseur, ses mouvements de corps, etc.

Pour Carmen Lebbos et Hicham Rostom

Il reste que, à l’instar du public de l’avant-première, il est inutile de faire la fine bouche. Bien sûr que le produit sent le calibrage marketing (trop) calculé au millimètre près. La langue anglaise, une actrice américaine, pour s’ouvrir les voies du marché international. Le Caire, la danse orientale et la superbe Carmen Lebbos pour se garantir une place dans le circuit arabe. L’opposition Orient - Occident pour plaire à la bien-pensance sans frontières, etc.

Au total, ce n’est pas assez pour bouder son plaisir. La partie américaine du film est pleine de fraîcheur. Les réflexions acerbes, les coups portés à une certaine mentalité arabe (le malaise du personnage du serveur gay, les contradictions du séducteur égyptien, la mise en quarantaine de la diva de la danse orientale) sont bien sentis. Ce n’est pas rien. Et puis il y a la danse, toutes les scènes avec Carmen lebbos, la distribution des seconds rôles avec entre autres l’excellent Hicham Rostom (acteur fétiche de Nouri Bouzid et du meilleur cinéma tunisien), la chanson entraînante de Natacha Atlas… Mesdames, messieurs, éteignez vos portables, rangez vos DVD pirates, allongez le pas jusqu’au cinéma le plus proche. Parce que Lola le vaut bien.

www.telquel-online.com
numéro 321
 
ill é trO biien ce fiilm mes au débuut il é pO trO biien jai pO trO aiime mes bOn cun film sur la dance Oiantale et il super biien
jvOu cOnseiile daller le vOiir O persOnne ki lOn pO VU !!!
:)


euh j'ai eu du mal à tout comprendre....

et je crois aussi que tu as des soucis avec les touches de ton clavier, notamment le "O" et le doublage de voyelles.....mdr
 
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