La hijama ou la saignée par ventouses (cupping en anglais) consiste à extraire du sang d’endroits déterminés du corps par des égratignures.
C’est l’un des plus anciens arts de soigner qu’a connu l’humanité. Son histoire remonte à des milliers d’années.
La saignée par ventouse a été utilisée et étudiée par les chinois comme thérapie des maladies internes depuis 4000 ans environ.
Les grecques et les arabes avant l’islam connaissaient ce mode de traitement. j
Nombreux sont les auteurs d’ouvrages médicaux islamiques anciens qui ont étudié la saignée et ces vertus thérapeutiques. Nous citons entre autres, Al Zahraoui, Mouafaq Addine Al Baghdadi, Ibn Al Qayim, Ibn Sinae (Avicenne), Assuyûtï …
Les universités de médecine Andalouses enseignaient également cette technique qu’est la saignée par ventouses. la hijama a été transmise aux européens grâce aux universités de l’Andalousie. Elle a eu droit de cité en Europe jusqu’à la fin du 19ème siècle. À partir du 20ème siècle, le recours à cette technique thérapeutique a disparu avec le développement de la médecine contemporaine. Avec la découverte des médicaments certes, à base chimique, on la croyait tombée en désuétude. Mais lorsqu’on s’est trouvé confronté à des pathologies nouvelles sans solutions et à d’autres maladies causées par les produits chimiques, la pollution et mêmes par les effets nocifs des médicaments chimiques. Les médecins se sont alors référés, entre autres, à la médecine parallèle dont la hijama.
De ce fait, de nouvelles écoles ont vu le jour et adopté la hijama. Voyant des résultats plus que concluant aux États-Unis et dans certains pays Européens (comme l’Allemagne et l’Angleterre), la pratique de la hijama s’est propagée. Par exemple, 38 états ont ouvert des cliniques pratiquant la saignée par ventouses comme technique thérapeutique.
La saignée par ventouses est étudiée dans les manuels de médecine aux États-Unis sous le nom de « cupping therapy » et considérée comme une matière importante dans les facultés de médecine. En Allemagne, on l’appelle FASK.
Avant d’examiner l’aspect extraordinaire voire miraculeux de la hijama , il convient de donner lui donner une définition plus précise. Cette dernière consiste en des égratignures à l’aide d’un bistouri, permettant le saignement à certains endroits du corps. Ces blessures légères qui provoquent le saignement se font toujours, initialement, au niveau de la 7ème vertèbre cervicale. En plus de cette région du corps d’autres points sont rajoutées selon les maladies.
La saignée se fait à l’aide de verres vidés d’air mis à l’endroit égratigné, ce qui permet la succion (suite à la pression négative), d’où l’aspiration du sang. Le matériel de la saignée est simple : il consiste en un certain nombre de verres, un bistouri et des produits désinfectants.
qu'est ce que vous en pensez?
http://www.forumdz.com/archive/index.php/t-4198.html
C’est l’un des plus anciens arts de soigner qu’a connu l’humanité. Son histoire remonte à des milliers d’années.
La saignée par ventouse a été utilisée et étudiée par les chinois comme thérapie des maladies internes depuis 4000 ans environ.
Les grecques et les arabes avant l’islam connaissaient ce mode de traitement. j
Nombreux sont les auteurs d’ouvrages médicaux islamiques anciens qui ont étudié la saignée et ces vertus thérapeutiques. Nous citons entre autres, Al Zahraoui, Mouafaq Addine Al Baghdadi, Ibn Al Qayim, Ibn Sinae (Avicenne), Assuyûtï …
Les universités de médecine Andalouses enseignaient également cette technique qu’est la saignée par ventouses. la hijama a été transmise aux européens grâce aux universités de l’Andalousie. Elle a eu droit de cité en Europe jusqu’à la fin du 19ème siècle. À partir du 20ème siècle, le recours à cette technique thérapeutique a disparu avec le développement de la médecine contemporaine. Avec la découverte des médicaments certes, à base chimique, on la croyait tombée en désuétude. Mais lorsqu’on s’est trouvé confronté à des pathologies nouvelles sans solutions et à d’autres maladies causées par les produits chimiques, la pollution et mêmes par les effets nocifs des médicaments chimiques. Les médecins se sont alors référés, entre autres, à la médecine parallèle dont la hijama.
De ce fait, de nouvelles écoles ont vu le jour et adopté la hijama. Voyant des résultats plus que concluant aux États-Unis et dans certains pays Européens (comme l’Allemagne et l’Angleterre), la pratique de la hijama s’est propagée. Par exemple, 38 états ont ouvert des cliniques pratiquant la saignée par ventouses comme technique thérapeutique.
La saignée par ventouses est étudiée dans les manuels de médecine aux États-Unis sous le nom de « cupping therapy » et considérée comme une matière importante dans les facultés de médecine. En Allemagne, on l’appelle FASK.
Avant d’examiner l’aspect extraordinaire voire miraculeux de la hijama , il convient de donner lui donner une définition plus précise. Cette dernière consiste en des égratignures à l’aide d’un bistouri, permettant le saignement à certains endroits du corps. Ces blessures légères qui provoquent le saignement se font toujours, initialement, au niveau de la 7ème vertèbre cervicale. En plus de cette région du corps d’autres points sont rajoutées selon les maladies.
La saignée se fait à l’aide de verres vidés d’air mis à l’endroit égratigné, ce qui permet la succion (suite à la pression négative), d’où l’aspiration du sang. Le matériel de la saignée est simple : il consiste en un certain nombre de verres, un bistouri et des produits désinfectants.
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