Bibliothèque

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Issufgh -ed umyaru Amezian mohamed ijen adellis s ism n " Muhhamed abdelkerim el khattabi arae wa mawaq'if "adellis yuri s taarabt dayes 228 n tewriq'in .
 

Pièces jointes

  • 16379761.jpg
    16379761.jpg
    36 KB · Affichages: 139

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
La vie quotidienne de la femme rifaine

Auteur : Ursula Kingsmill (femme de célèbre anthropologue américain David Montgomery Hart)

Traduit en arabe par abdellah el jarmuni
 

Pièces jointes

  • 28357443.jpg
    28357443.jpg
    58.9 KB · Affichages: 132

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
"Les Amazighs aujourd'hui ; la culture berbère"

La diversité des cultures et des civilisations qui ont coïncidé sur ses territoires au fil du temps a fait de l'espace méditerranéen l'un des plus conflictuels, mais aussi l'un des plus créatifs et des plus complexes qui soient un espace qui, cependant, a su conserver un air de famille. ...
Lire la suite

Lune des cultures importantes ayant perduré au sud de l'espace méditerranéen est la culture amazhige ou berbère. Connue des Egyptiens et des Grecs sous le nom de Libyque - en fait, l'actuel alphabet tifinagh provient de l'ancien alphabet libyque - elle embrasse tout l'Afrique du Nord : de l'Atlantique à l'Egypte (y compris les îles Canaries et l'oasis de Siwa) et de la mer Méditerranée au Sahel. Les Amazighs apportèrent d'importantes contributions aux civilisations romaine, chrétienne et musulmane.
Actuellement, les Amazighs, qu'ils soient Rifains, Souzis Kabyles, Touaregs, ou de toute autre région, revendiquent leur culture dans des pays tels que le Maroc. la Libye. l'Algérie, le Niger ou le Mali. La diaspora amazighe actuellement présente dans les pays occidentaux est. de même, en quête de visibilité afin de se distinguer du grand amalgame arabo-musulman auquel elle est confusément mêlée. La présente publication rassemble une grande part des contributions faites lors du symposium international Les Amazighs aujourd'hui, la culture berbère que l'IEMed a réalisé à Barcelone sous la direction de Maria-Angels Roque.

Source : chapitre.com
 

Pièces jointes

  • 33900567_7001595.jpg
    33900567_7001595.jpg
    18.8 KB · Affichages: 121

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Amayru amazigh el hassan dahou issufgh-ed ijen adellis amaynu n tq'essisin s yesem n Talayt n imandiwn adellis-a dayes 1222 n tewriq'in .
 

Pièces jointes

  • talayt%20n%20imandiwn.jpg
    talayt%20n%20imandiwn.jpg
    12 KB · Affichages: 95

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
« Tamazight d isqsitn n imal » (Tamazight et les questions de demain), est le titre du nouveau livre du chercheur Rachid Elhahi paru cette semaine aux éditions de l’AMREC (Association Marocaine de Recherche et d’Echange Culturel) à Rabat.
Le livre est d’un format moyen et contient 90 pages. Le texte est écrit en caractères latins et tifinaghes.
Voici un livre écrit entièrement en tamazight, relevant ainsi le défi de dire en tamazight des choses abstraites et intellectuelles et faisant ressortir par là les capacités de la langue. L’auteur a fourni un effort considérable au niveau du lexique en recherchant des néologismes adéquats qu’il a d’ailleurs rassemblés en annexe au texte.
Le livre se veut une analyse des questions relatives à l’identité, la terre, la langue et la culture au Maroc. Après une courte introduction, l’auteur s’est attelé à développer son analyse à travers plusieurs axes dont les titres sont :

L’homme et l’identité.
La langue et la politique culturelle.
La terre et le projet de régionalisation.
Les problèmes de l’enseignement et de la promotion de l’amazighe.
Le mouvement amazighe et les défis de demain.
Les entraves de la prise de conscience.
L’Amazighe et le développement.
La diversité au Maroc.
La politique des festivals.
La création visuelle.
La communication et les médias amazighes.
A signaler que ce livre est le quatrième du chercheur Rachid Elhahi après Le corps et l’image, Le feu et la trace, et L’amazighe et le pouvoir .

Source : amazighnews
 

Pièces jointes

  • Tamazight-d-isqsitn.jpg
    Tamazight-d-isqsitn.jpg
    95.1 KB · Affichages: 95

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
TimatarinHussein Jouhadi,
Timatarin.
Préfacé par l’académicien Mohamed Chafiq, ce recueil de poèmes couvre la période qui s’étend de 1975 à 1996. Les thèmes abordés par le poète touchent les sujets traditionnellement traités par les poètes berbères: l’esthétique, le politique, la vie quotidienne et sociale
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
11 février 2011, vient d'apparaitre à l'imprimerie Beaulieu, à Casablanca, le 2ème recueil poétique de la poétesse amazigh Khadija Ikan intitulé "Tujjut taqburt", dans son nouveau recueil, la poétesse nous emmène à un univers de sens purement lyrique, ou mélange de sensations humains et devine s'harmonient avec l'odeur de la terre et de ses vielles plantes, ou l'amour n'est jamais loin.


Fiche technique du recueil:

Titre: Tujjut taqburt
Langue: Amazigh
L'auteur: Khadija Ikan
Traduction en langue Arabe: Khadija Ikan
Page: 123
Couverture: Rachid Anzid
Structures: Rachid Anzid
Imprimerie: Beaulieu


Source ; amazighnews
 

Pièces jointes

  • tujjut.jpg
    tujjut.jpg
    46.2 KB · Affichages: 107

amssrem

nec dh'mazigh
salam khawem

voici un live en format pdf

Titre : Roudh el-Kartas : Histoire des souverains du Maghreb (Espagne et Maroc) et annales de la ville de Fès.

Il s'agit de la traduction d'un manuscrit arabe : Roudh el-Kartas, le Jardin des feuillets, écrit à la cour de Fès, en 1326, sur les livres et les documents les plus authentiques de l'époque, par l'imam Abou Mohammed Salah ben Abd el-Halim, de Grenade. Ce livre nous éclaire sur Cinq siècles et demi de l'histoire d'Occident, durant lesquels cinq dynasties et quarante-huit émirs se sont succédés sur le trône de Fès et de Maroc.
Traducteur : A. BEAUMIER, agent vice-consul de France à Rabat et Salé (Maroc) chevalier de la légion d'honneur.
Publié sous les auspices du ministère des affaires étrangères en 1860.
(Source Algérie-Ancienne)

http://www.mediatheque-fm6.ma/index2.php?option=com_docman&task=doc_view&gid=792&Itemid=78
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
« Muhend Abdelkrim - Di Dewla n Ripublik »

Amayru Aumer U lamara is -ufghed ij-en adellis amaynu s yisem n Muhend Abdelkrim - Di Dewla n Ripublik isawal dayes x dewla n republik
 

Pièces jointes

  • Di-Dewla-n-ripublik.jpg
    Di-Dewla-n-ripublik.jpg
    26.4 KB · Affichages: 99

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
L'APPLICATION DU TRAITÉ DE FEZ DANS LA RÉGION DE SOUSS : La politique berbère du protectorat français au Maroc T3 (1912-1956)


Auteur :Abraham Lahnite

Histoire et perspectives méditerranéennes

Le Traité de Protectorat, signé à Fez le 30 mars 1912 par le Sultan Moulay Hafid, marqua le début de la présence française au Maroc jusqu'à son indépendance en 1956. Par une étude historique solide, ce livre a pour objectif de fournir des éléments nécessaires à la compréhension de l'évolution politique et sociale du pays berbère Chleuh, loin des stéréotypes ou des mythes.
ISBN : 978-2-296-54982-1 • mai 2011 • 284 pages
Prix éditeur : 27,5 €
 

Pièces jointes

  • 9782296549821r.jpg
    9782296549821r.jpg
    83.5 KB · Affichages: 101

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Un youyou dans la mosquée

Titre original : Tawarguit d Imil (en amazighe) = Un peu plus que le rêve

Par Lahcen Nachef

« Le fquih d’une mosquée du sud marocain a décidé de dire son prêche du vendredi en amazighe, la langue de ses fidèles, au lieu de la langue officielle du pays (l’arabe) utilisée dans toutes les mosquées du royaume. Cette initiative lui a valu l’estime de ses fidèles mais le courroux des autorités. Celles-ci ont profité d’un youyou lancé par l’une des fidèles en plein milieu de la mosquée pour resserrer leur étau sur le fquih et le pousser à perdre la confiance de tous. »

edilivre.com
 

Pièces jointes

  • couverture_1ere.jpg
    couverture_1ere.jpg
    8 KB · Affichages: 70

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Anaruz Roman de Hamid Ouza Khattouch

Préface

Durant des années, de longues années, cette réflexion silencieuse, en gestation, dans le conscient de Mohamed Khattouch, au rythme des événements de la lutte pour l’amazighité et de ses propres activités diverses.

Hamid, comme aime l’appeler à cause de cette culture locale qui régit l’usage des diminutifs des noms et prénoms,est de sa nature sociable, digne et très amical. Il est tout le temps dévoué à épouser des causes justes et nobles dans le but d’être utile à la société, la sienne. Cet homme exemplaire, issu de l’Ighrem n Igwelmimen, a su pérenniser un héritage culturel par une conduite, transmise de génération à une autre, dans ses facettes les plus positives pour au mieux servir l’être humain dans ses dimensions pluriel.

En effet, depuis que je l’ai côtoyé de près, il a toujours aimé respecter l’autre dans sa particularité. Il se donne à cœur joie dans cet exercice au point de le révéler par cette histoire sortie directement de son imagination.

Anaruz ou l’espoir est donc le titre qu’il a choisi à son histoire restée en fait longtemps en barattage. C’est en quelque sorte un vœux qu’il émet en confrontant des images, des valeurs et des cultures déguisées, par ses soins, en des personnages romanesques pour mieux se découvrir, coexister et pour une harmonie d’une vie d’ensemble. Il leur a choisi des désignations : Afranos, Tazatt, Tadatt, qui ne sortent évidement pas du néant, et qui en disent long.

Zaid Ouchna
 

Pièces jointes

  • hamid-khattouch-ouza.jpg
    hamid-khattouch-ouza.jpg
    31 KB · Affichages: 67

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
«Arts et architecture amazighs»

«Ce beau livre se veut une contribution majeure au rayonnement d’une culture millénaire, dont la richesse n’est plus à démontrer». C’est par ces mots que le recteur de l’Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), Ahmed Boukous, a présenté récemment le livre «Arts et architecture amazighes du Maroc». Publié en collaboration avec les éditions «La croisée des chemins», cet ouvrage est consacré aux expressions artistiques amazighes, qui constituent une partie intrinsèque du patrimoine marocain. À travers les différentes pages de ce livre, on découvre la richesse de la culture amazighe dans toutes ses dimensions. L’art rupestre, le bijou, le tapis, la poterie, le bois et l’architecture sont autant de disciplines artistiques décortiqués par l’équipe qui est derrière ce travail. En effet, «Arts et architecture amazighs» est le fruit de la collaboration entre une équipe pluridisciplinaire constituée notamment d’archéologues, d’anthropologues et de spécialistes des arts amazighs. Cela donne indubitablement une valeur ajoutée à cet ouvrage. Ses auteurs, Ali Amahan, Mustapha Jlok, Hafid Mokadem, Mustapha Nami, El Khatir Aboul Kacem-Afulay et Catherine Cambazard-Amahan, visent en premier lieu à sensibiliser le lecteur et à l’aider à découvrir cette culture millénaire, caractérisée par l’originalité de l’esthétique rurale. La seconde ambition des auteurs est d’aider à la connaissance de l’esthétique rurale qui repose sur des principes différents de ceux de l’esthétique urbaine.

Patrimoine national

Avant même d’entreprendre ce projet, les auteurs étaient conscients de la difficulté de leur démarche. En effet, nombreux sont les écrits qui ont été consacrés à l’art et à la culture amazighs. «Notre défi majeur était de produire un nouvel ouvrage d’érudition, sans tomber dans la redondance et la compilation», écrit d’ailleurs Mustapha Jlok en introduction. «La valeur ajoutée d’un beau-livre sur les arts et l’architecture amazighs est sans doute sa contribution à la connaissance de la culture amazighe dans sa dimension matérielle représentée dans des productions telles que les bijoux, les objets en bois, la décoration, l’habitat, la poterie et, dans sa dimension immatérielle relevant de l’ordre de l’intellect, du savoir-faire et de l’imaginaire», signale Jlok. Il poursuit : «le parcours dessiné pour cet ouvrage est à la fois ethno-historique et patrimonial». Ce beau livre déjà dans les librairies, vient nous rappeler également que le patrimoine artistique et culturel amazigh est devenu incontournable pour le marché de l’art au Maroc. Ce marché ne cesse de se développer, pour le plus grand plaisir des férus de l’art et de la culture dans notre pays.

Écrit par Fatima-Ezzahra SAÂDANE

Source: lesechos.ma
 

Pièces jointes

  • affiche-art_amazighe.jpg
    affiche-art_amazighe.jpg
    27.3 KB · Affichages: 72

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Muhend Abdelkrim «Di Dewla n Ripublik» (Du temps de la République)

Auteur :Aumer U lamara

Aumer U lamara vient de publier son dernier ouvrage Muhend Abdelkrim «Di Dewla n Ripublik» (Du temps de la République). Edité chez Harmattan, il est entièrement écrit en berbère caractères latin, l'auteur est né en 1952 à Boudafal (Algérie). Il est physicien de formation, expert en R&D industrielle. Il a été enseignant-chercheur physicien dans plusieurs universités et écoles d’ingénieurs en France et en Algérie et a déjà publié cinq ouvrages en langue berbère.

Préface du livre :
Au début des années vingt, le peuple rifain s’est uni, s’est levé et a fait vaciller et douter deux puissances coloniales qui se sont liguées
contre lui, l’Espagne du côté nord et la France du côté sud. Dans leur combat libérateur, les Rifains ont construit une république moderne à
partir de leur culture égalitaire berbère pour l’avènement d’un Rif puis d’un Maroc nouveaux, «de Ajdir jusqu’à Agadir». Un pays souverain,
débarrassé des mythes et mystifications des Sultans comme de l’obscurantisme religieux. C’est ce chemin que décrit ce livre pour donner corps à la vision de Muhend Abdelkrim: « je suis convaincu que mes espoirs seront réalisés, tôt ou tard, par la force même des choses...».
 

Pièces jointes

  • Di-Dewla-n-Ripublik.png
    Di-Dewla-n-Ripublik.png
    100.9 KB · Affichages: 49

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Iγed n tlelli (Les cendres de la liberté)

Auteur : Lhoussain Azergui

ed n tlelli est un nouveau roman en langue amazighe publié par les Editions berbères à Paris. L’auteur, Lhoussain Azergui, y revisite la légende d’Oumakhdach (1889-1936), un résistant hors pair qui a mené, tout seul, une véritable guerre contre l’armée française et ses supplétifs dans la région du Sud-est du Maroc.

Humilié par le chef d’un chantier de construction d’une route, Oumakhdach, qui s’était illustré lors de la bataille de Baddou en 1933, a décidé de reprendre les armes en 1934. Il mena sa propre guerre contre l’occupation et sema la peur dans les rangs de l’armée française avant d’être trahi et tué. Le cadavre d’Oumakhdach a été par la suite brûlé par les autorités coloniales.

Le livre rend hommage à tous les résistants amazighs ainsi qu’aux habitants de toute la région du sud-est du Maroc, meurtrie dans sa chair par la pénétration française et sauvagement opprimée par l’Etat-nation arabo-islamiste, héritier des colons. Il ne se passe aucune décennie depuis 1956 sans qu’un événement sanglant ne survienne dans cette région, laquelle s’étend d’Imtghren jusqu’à Ouarzazat en passant par Goulmima, Aghbalu n Kerdous, Tinjedad, Tinghir, Boumalen n Dades, Alnif, Tighremt n Imgun et autres villes et villages.

Le livre fustige également les collaborateurs arabo-islamistes, dont la plupart étaient des futurs cadres du parti de l’Istiqlal, lesquels ont soutenu sans réserve l’armée française dans sa guerre de «pacification » visant à écraser le peuple amazigh et à le dominer. Il explique comment ces traîtres ont comploté afin de dominer le Maroc «indépendant » en usant notamment de la religion.

Iγed n tlelli, 140 pages, Editions Berbères, Paris.

source: http://neocultureamazighe.blog.lemonde.fr
 

Pièces jointes

  • couvertueeee2-206x300 (1).jpg
    couvertueeee2-206x300 (1).jpg
    18.5 KB · Affichages: 46

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
«IMARIRN»

Auteur : Ahmed Assid

"Ce livre est né de la cohabitation intime pendant trente ans avec de grands poètes de l’ahwach. J’y ai réuni le meilleur de leurs vers et de leurs poèmes. Je leur dédie cet ouvrage en hommage à leur talent et à leur grandeur. Certains ne sont plus de ce monde, mais les vivants parmi eux continuent de nourrir « asays » de la chaleur de leur présence". Ahmed Aassid

L'auteur
Né à Tafraout, Ahmed Aassid est poète et écrivain amazigh. Professeur de philosophie de 1988 à 2001, président de l’Association marocaine des enseignants de philosophie de 1996 à1998, il a été membre du conseil d’administration de l’Institut Royal de la culture amazighe (IRCAM) de 2002 à 2006. Actuellement chercheur au Centre des études artistiques et littéraires amazighes à l’IRCAM, il est membre de l’Union des écrivains du Maroc et membre fondateur de l’Observatoire Amazigh des droits et libertés (OADL). Auteur de nombreux articles dans les journaux et revues nationales et internationales, il a plusieurs publications à son actif dont, notamment, Recueil de poésie en langue amazigh, 1996 ; Amazighité et islam politique au Maroc, 1998 ; Culture et identité au Maroc contemporain, 2002 ; Trois Contes illustrés pour enfants en langue amazighe, 2005 et Anthologie de la poésie amazighe traditionnelle, 2007.

Signature du nouvel ouvrage de Ahmed Aassid «IMARIRN» au Salon international de l'édition et du livre. Casablanca. Mardi 14 Février 2012 de 14h à 18h. ( stand de l'IRCAM)

Amazighnews
 

Pièces jointes

  • 422610_297062957015097_131983433523051_720723_947461734_n.jpg
    422610_297062957015097_131983433523051_720723_947461734_n.jpg
    65.9 KB · Affichages: 73

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Le nouveau Dictionnaire d'électronique Français - Amazigh vient de sortir ... c'est Mohand Mahrazi qui a pu faire tout le boulot ... Bravo!
 

Pièces jointes

  • 431386_2756843002363_1296364198_32122385_1991035336_n.jpg
    431386_2756843002363_1296364198_32122385_1991035336_n.jpg
    10.5 KB · Affichages: 63

Assendou

...should the need arise!
VIB
Parmi les livres presque "sacrés" chez les enfants et les adultes Amazigh de Libye.
Donnations de Amazigh Cultural Association in America, et autres associations Amazigh

Adlis:
Tixurdas n Saɛid Weḥsen
ⵜⵉⵅⵓⵔⴷⴰⵙ ⵏ ⵙⴰⵄⵉⴷ ⵡⵔⵃⵙⴻ

(Adaptation kabyle des Fourberies de Scapin, de Molière)
sɣur:
Muḥend Uyeḥya, Ǧamal Abbac, Saɛid Ḥemmac, Yidir Nayt Abdella, Taḥar Slimani, Meqran Tagemmut, Bubekker Almi.
Tiẓrigin: Accab, 2012.

----

Adlis:
Asegzawal ameẓẓyan n tsekla
ⴰⵙⴻⴳⵣⴰⵡⴰⵍ ⴰⵎⴻⵣⵣⵢⴰⵏ ⵏ ⵜⵙⴻⴽⵍ (Small Literature Dictionary)
sɣur:
Muḥend Akli Salḥi
Tiẓrigin:
Odyssee, 2012.
133 isebtaren
 

Pièces jointes

  • livre.jpg
    livre.jpg
    25.3 KB · Affichages: 57
  • dictonary.jpg
    dictonary.jpg
    18.5 KB · Affichages: 51

Assendou

...should the need arise!
VIB

Pièces jointes

  • nouvelle-grammaire-amazigh.jpg
    nouvelle-grammaire-amazigh.jpg
    25 KB · Affichages: 76
  • grammaire 2.jpg
    grammaire 2.jpg
    9.9 KB · Affichages: 59

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
La Mémoire du geste : La Poterie domestique et féminine du Rif marocain

Auteurs : André Bazzana, Rahma Elhraiki et Yves Montmessin

La poterie du Maroc du Nord a été justement décrite comme « un artisanat essentiellement féminin, presque un travail ménager, de caractère tribal ». Nuançant l'opposition rapide entre deux types de poterie, l'une citadine et d'une richesse décorative certaine, sortie des grands ateliers - Tétouan, Fès, Salé - où s'activent des potiers organisés depuis le Moyen Âge en corporations, l'autre rurale et frustre, fruit de fabrications familiales, cet ouvrage montre que la céramique modelée, ayant reposé pendant des siècles sur le travail des femmes de la maisonnée, est le domaine le plus original et le moins connu du monde des potiers marocains. Isolées par les montagnes du Rif, indépendantes parfois et confinées dans le rôle de productrices pour l'usage domestique, la famille ou le village, les femmes potiers du Maroc du Nord conservent des savoir-faire ancestraux; certaines d'entre elles, au terme d'une évolution récente qui a fait disparaître la majorité des potiers indépendants, s'organisent en douars-potiers dont la production est permanente. Avec ces fabrications traditionnelles, qu'un irréversible mouvement tend à faire s'adapter ou à disparaître, c'est un patrimoine inestimable de techniques et de savoir-faire, une mémoire du geste, qui sont ici analysés. Trois approches sont tentées, selon qu'on s'attache à considérer les techniques mises en œuvre, les produits (qu'ils soient ou non l'objet d'un commerce) et la situation sociale de ce personnage, mi-paria, mi-sorcier qu'est le potier ou la potière.
 

Pièces jointes

  • 51CYV2W6MCL._SS500_.jpg
    51CYV2W6MCL._SS500_.jpg
    36.3 KB · Affichages: 64

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Iysan S Teqbaylit. Vocabulaire Kabyle De L'Osteologie Et De L'Orthopedie

Auteur :Beramdane, Mahamed Zakaria

Un livre du vocabulaire Amazigh destiné aux médecins spécialistes de l'orthopédie et l'ostéologie
 

Pièces jointes

  • ikhsan.jpg
    ikhsan.jpg
    56.3 KB · Affichages: 63

Assendou

...should the need arise!
VIB
Intéressant , Tannmirt ay-uma


Il faut remercier aussi le "smartypants" d'au-dessus qui croyait que Thmazight n'est pas une langue...Ca m'a mis le feu au ***. :rolleyes:
ⴱⵓ ⵕⴻⵖⵎⴰⵏ ⴰE ⵉⵇⵇⵉⵎ E ⴱⵓ ⵕⴻⵖⵎⴰⵏ ⵡⴰⵀⴰ.
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Saysa n tasa nouveau recueil en amazigh de MOHAMMED OUAFI

tffugh d ussan ad gguranin, yat twckint tamaynut n tmdyazin mmimnin Zilnin n umdyaz axatar mass Mohammed OUAFI, lli issntan tirra s tmazight sg umdlfaw n umussu amazigh, ig sg imzwura lli icckcmn taskla n tmazight s tirra, yara tamdyazt tamazight s tgharast tatrart mqqar iswwur bdda gh umalu kigan n isggwasn ayad, ighama bdda ughanib nns ar isuddum iskkiln n tmdyazt d tskla s yan udm ifulkin idran aylligh d tlul twckint ad lli rad d Dfarnt tiyyaD.
tawckint ad tettyara s uskkil alatin d tfinagh g 70 n tsna
 

Pièces jointes

  • saysa.jpg
    saysa.jpg
    36.4 KB · Affichages: 57

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Contes berbères de Figuig (Sud-est marocain). Textes en berbère avec traductions en français

Auteur : Hassane Benamara

Présentation de recueil :

Ce recueil regroupe 51 contes berbères du patrimoine de Figuig où ils ont été recueillis. Il s’agit de contes par lesquels les mamans berçaient leurs enfants avant la généralisation de la télévision et de contes que même les adultes se racontent entre eux. On y trouve des contes qui sont très connus à Figuig et d’autres qui le sont moins mais tous collectés auprès de femmes et d’hommes originaires de cette ville.

Cette oeuvre est constituée de deux parties l’une comprenant une étude consacrée au conte à Figuig (la forme, les personnages, les symboles, l’art de conter, les conteurs, les particularités de ce conte dans l’ensemble berbère et ailleurs). L’autre partie est réservée aux contes proprement dits.

Les contes berbères figurent à gauche et leurs traductions à droite ce qui rend aisé le passage d’une langue à l’autre.

Source : figuignews
 

Pièces jointes

  • contes.jpg
    contes.jpg
    14 KB · Affichages: 63
Haut