Salam. Si on demande à un Athée ce qui fait que deux particules s'entre-attirent mutuellement, à quoi cela est dû, il dira à RIEN. Si on lui demande ce qu'il y avait avant la genèse du temps et de l'espace, il répondra RIEN. Si on lui demande à quoi est dû le fait que les lois existent il répondra : RIEN. Ou bien si on demande ce qui détemnine le fait que le dé tombe aléatoirement sur un 6 ou un 2, il dira à RIEN.
Nous sommes habitués à rechercher un dieu à notre image, presque humain en fait... Mais si donc D.ieu est absolu, indivisible, sans faille, hors du temps et de l'espace, le RIEN de l'athée y correspond exactement... C'est la Pureté Absolue. Certes, le religieux décèle ce dieu à travers son oeuvre, à travers ses manifestations et sa création, et souvent il a tendence à lui attribuer des particularités qu'il pourra faire depuis sa propre condition. Or, comme dans le Bouddhisme qui a aboli les idoles du panthéon indien et qui cherche à rejoindre cette pureté originelle, la culture de chacun lui fait exprimer ce qui est inné en lui avec des mots. Des mots qu'il invente...
Dans le judaïsme, le nom du seigneur est trop sacré pour être profané par nos bouches, et, en quelques sortes, pour l'Athée, un dieu anthropomorphe qui resemble à l'homme est sévèrement critiqué. Mais leur nature les conduit par la fitrah à retrouver D.ieu, comme le négatif d'une photo avant son développement. Chez les Védas, les Brahmanes rejoignent Brahma pour une contemplation éternelle... Et pour les Athées, en quelques sortes, les défunts rejoignent le RIEN en s'anéantissant et retrouvant la paix. Chez les jahmites, dieu était épuré de tout attribu au point qu'on ne lui reconnaissait aucune sifat.
L'Athéisme a cela de différent, qu'il n'est pas la proie d'idoles forgées de mains d'hommes. Dans ce sens, c'est une version étrange du monothéisme. Prions que D.ieu leur pardonne le fait d'attaquer ses messagers dans leur orgueil.
Nous sommes habitués à rechercher un dieu à notre image, presque humain en fait... Mais si donc D.ieu est absolu, indivisible, sans faille, hors du temps et de l'espace, le RIEN de l'athée y correspond exactement... C'est la Pureté Absolue. Certes, le religieux décèle ce dieu à travers son oeuvre, à travers ses manifestations et sa création, et souvent il a tendence à lui attribuer des particularités qu'il pourra faire depuis sa propre condition. Or, comme dans le Bouddhisme qui a aboli les idoles du panthéon indien et qui cherche à rejoindre cette pureté originelle, la culture de chacun lui fait exprimer ce qui est inné en lui avec des mots. Des mots qu'il invente...
Dans le judaïsme, le nom du seigneur est trop sacré pour être profané par nos bouches, et, en quelques sortes, pour l'Athée, un dieu anthropomorphe qui resemble à l'homme est sévèrement critiqué. Mais leur nature les conduit par la fitrah à retrouver D.ieu, comme le négatif d'une photo avant son développement. Chez les Védas, les Brahmanes rejoignent Brahma pour une contemplation éternelle... Et pour les Athées, en quelques sortes, les défunts rejoignent le RIEN en s'anéantissant et retrouvant la paix. Chez les jahmites, dieu était épuré de tout attribu au point qu'on ne lui reconnaissait aucune sifat.
L'Athéisme a cela de différent, qu'il n'est pas la proie d'idoles forgées de mains d'hommes. Dans ce sens, c'est une version étrange du monothéisme. Prions que D.ieu leur pardonne le fait d'attaquer ses messagers dans leur orgueil.