Lorsqu'on me pose la question, ce qui me vient en premier à l'esprit, c'est de dire qu'être français, c'est être reconnu comme tel par l'administration. C'est donc avoir un bout de papier confectionné par l'administration sur lequel est marqué la mention "Nationalité Française". Nothing more.
Visiblement, la question -pourtant centrale dans ce fichu débat- n'a pas été traitée ni par ses auteurs, ni par celles et ceux qui se manifestaient dans les préfectures. Certains, dont les auteurs de surcroît, ont transformé -pour des raisons politiques et xénophobes- cette question en "Le français peut-il être Musulman ?"
C'est dommage. J'aurais bien aimé entendre Sarkozy nous donner sa définition du "français" et de commenter la citation attribuée à son ex-femme Cécilia qui est la suivante: "Je suis fiere de n'avoir aucune goute de sang français dans les veines" (Libération, 8 Juillet 2004, ↑ article intitulé "La deuxième dame de France"). Le débat aurait été -dans ces conditions- passionnant.
Visiblement, la question -pourtant centrale dans ce fichu débat- n'a pas été traitée ni par ses auteurs, ni par celles et ceux qui se manifestaient dans les préfectures. Certains, dont les auteurs de surcroît, ont transformé -pour des raisons politiques et xénophobes- cette question en "Le français peut-il être Musulman ?"
C'est dommage. J'aurais bien aimé entendre Sarkozy nous donner sa définition du "français" et de commenter la citation attribuée à son ex-femme Cécilia qui est la suivante: "Je suis fiere de n'avoir aucune goute de sang français dans les veines" (Libération, 8 Juillet 2004, ↑ article intitulé "La deuxième dame de France"). Le débat aurait été -dans ces conditions- passionnant.
