Cinq minutes pour un amour au paradis

IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara,
J'ai eu du mal à me convaincre pour t'écrire ces mots, ces mots qui viennent du fond de mon cœur. Ce destin , cette chose qu'on à aucun pouvoir sur elle, ce destin un peu innocent, un peu responsable , qui fais qu'on rencontre des gens , ses coïncidences qui nous émerveillent, peut être nous perturbent, ou même nous changent la vie. Ce destin m'a privé des choses cher à mon cœur , les perdre d'un seul coud, dans des conditions épouvantables, insupportables, injustes , arrogantes , pourvu de toute douceur que tout être à besoin pour respirer , une sorte d'oxygène du cœur , que les poumons des sentiments ont besoin pour survivre. Dans cette lettre chère Sara, je regrette de ne pas savoir écrire en ta langue maternelle , comme tu disais un jour. Dans cette lettre, j'ai envie de te parler de la tempête de mon cœur, oui , j' y crois comme l'existence de dieu, comme le soleil qui se couche derrière la montagne de Grenoble, que mon cœur à ses saisons, et sa saison actuelle, c'est la saison des tempêtes.
Chère Sara, permet moi de t'écrire ces phrases, et promets moi de les lire , du premier mots au dernier, avec la même force, la même attention , la même douceur , tu liras des choses peut être, tu comprendras des choses sûrement. Cet état d'écriture, est la preuve mathématiques de l'arrogance de ce destin, l'injustice des sentiments et l'emprisonnement des cœurs. Cet état d'écriture est une sorte de rêve de délivrance, chimère , comme un matin ensoleillé dans un hivers rude , juste après une nuit de tempêtes, cet état d'écriture est devenu pour moi une prière pour mon cœur, qui s'isole de temps en temps dans son temple, entre les feuilles et les crayons, pour une délivrance temporaire, mais bénéfique, un yoga qui absorbe ces mouvements dans tout les sens, comme un petit prince de Saint-Exupéry, qui dresse ces animaux sauvages ,le temps de laisser passer les sentiments traverser la rivière.
 
Shiryu

Shiryu

IbnETBaTouta à dit:
Chère Sara,
J'ai eu du mal à me convaincre pour t'écrire ces mots, ces mots qui viennent du fond de mon cœur. Ce destin , cette chose qu'on à aucun pouvoir sur elle, ce destin un peu innocent, un peu responsable , qui fais qu'on rencontre des gens , ses coïncidences qui nous émerveillent, peut être nous perturbent, ou même nous changent la vie. Ce destin m'a privé des choses cher à mon cœur , les perdre d'un seul coud, dans des conditions épouvantables, insupportables, injustes , arrogantes , pourvu de toute douceur que tout être à besoin pour respirer , une sorte d'oxygène du cœur , que les poumons des sentiments ont besoin pour survivre. Dans cette lettre chère Sara, je regrette de ne pas savoir écrire en ta langue maternelle , comme tu disais un jour. Dans cette lettre, j'ai envie de te parler de la tempête de mon cœur, oui , j' y crois comme l'existence de dieu, comme le soleil qui se couche derrière la montagne de Grenoble, que mon cœur à ses saisons, et sa saison actuelle, c'est la saison des tempêtes.
Chère Sara, permet moi de t'écrire ces phrases, et promets moi de les lire , du premier mots au dernier, avec la même force, la même attention , la même douceur , tu liras des choses peut être, tu comprendras des choses sûrement. Cet état d'écriture, est la preuve mathématiques de l'arrogance de ce destin, l'injustice des sentiments et l'emprisonnement des cœurs. Cet état d'écriture est une sorte de rêve de délivrance, chimère , comme un matin ensoleillé dans un hivers rude , juste après une nuit de tempêtes, cet état d'écriture est devenu pour moi une prière pour mon cœur, qui s'isole de temps en temps dans son temple, entre les feuilles et les crayons, pour une délivrance temporaire, mais bénéfique, un yoga qui absorbe ces mouvements dans tout les sens, comme un petit prince de Saint-Exupéry, qui dresse ces animaux sauvages ,le temps de laisser passer les sentiments traverser la rivière.
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Je ne comprendrai jamais pourquoi les autres Bladinautes aiment tant critiquer gratuitement...

Courage dans ton epreuve et dans ton exercice cathartique!
 
IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara, ne sois pas triste, et si un jour tu pleure , je demanderais aux vents du nord , de Groningen, de sécher tes larmes, je demanderais aux ports d' Amsterdam de te serrer dans ces bras, et te prendre en douceur passant ses mains sur tes cheveux, et te dire "ne pleure pas princesse ".Je dirais aux trains de prendre bien soins de toi, de t'amener si loin de la ville, près de la mer ou sur une colline, pour que le vent te souffle ces mots , très près dans tes oreilles, "ne pleure pas princesse". Je demanderais aux étoiles d'une nuit orpheline, d'écrire sur le plafond du ciel "ne pleure pas princesse".

Chère Sara, cette lettre si ordinaire, si naïve, banale , un peu rêveuse, un peu rationnelle, permets moi que ça ne seras pas la première ,ni la dernière, pour que mon cœur ne finiras jamais sourd ou muet .

Chère Sara, lis ces phrases, et puis c'est tout. Car cette démarche est la preuve que mon cœur n'est pas muet , lui permettant de peindre tout ces arbres que cache sa foret , toutes cls vagues de ses cotes , interdisant aux marins les plus douées d'y pénétré.

Malheureusement, le temps ne reviendras pas, mais rien n'empêche de partager avec toi les traces que le bateau à laisser derrière lui, peut être par ce que toi, en lisant ces mots, mon cœur me laisseras finalement en paix , le temps d'une après midi, ou un matin, se disant que sa princesse ne pleureras pas, ou peut être par ce que le fait d'écrire lui permettras d'avancer , dans ce long chemin de la vie, au final , nos chemins se sont séparé , mais jamais mon cœur n'a cessé de me parler de toi.
 
IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara, mon cœur est orphelin , un jour il trouveras une personne pour l'adopter, mais il n'oublieras jamais celle qui lui a donner la vie ,oui Sara, mon cœur est orphelin depuis ce jours la, a la gare d'Amsterdam , ce petit enfant grandiras orphelin, et si cette histoire de la gare effaceras ton chagrin d'amour, et s'il en reste encore des traces, aussi grande qu'une montagne, aussi petite qu'un grain de sable , j'accepte cet échange, ce troque , je n'hésiterais pas une seule seconde de le refaire si je sais que tes peines disparaîtrons ainsi. Dans un de mes rêves, toi qui était dans mes bras, tu m'avais demandé "tu me promets de ne pas me faire du mal", je n'ai pas hésité a te répondre en te regardant dans les yeux " oui, je te promets".


Chère Sara, le temps ne s'arrête pas malheureusement, ainsi sa façon de nous traîné avec lui, de nous faire rêver, nous rendre heureux, nous attrister aussi, il arrive des fois qu'on me demande des conseils , comme l'histoire du sage, incapable de répondre aux questions de son cœur, je suis comme un petit enfant devant lui. J'ai tout fais pour oublier , peut être tu es assez mature que moi dans ces sujets , peut être tu as oublier , je serais la, ton élève assidu pour apprendre comment tu as fais, raconte moi le secret de cette recette magique de la délivrance. Ma très Cher Sara , j'ai besoin de ta main pour marcher, cet enfant dans mon cœur est souvent perdu, pensant qu'un jour en grandissant , il pourras encore voyager le plus loin possible, voulant fuir son destin inachevé .
 
IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara, les évènements étaient si intense et condensé que beaucoup de choses m'ont échappé , je ne vivais plus, je survivais , trouvant refuge dans la spiritualité, quelle coïncidence ? puisque le spirituel est lié intiment aux choses qui nous dépassent, comme la vie , la mort , l'amour, la haine , la tristesse et le bonheur , la peur de demain, de se perdre dans l'inconnu. En même temps c'est la frontière entre l'enfer et le paradis , ces deux états du noir et du blanc, de bonheurs et de tristesses , comme la succession du jour et de la nuit , soudain je me trouvais obligé d'éloigner mon cœur de ces changements, pour le libérer de ces chaînes , c'était un refuge d'urgence avant que l'état de mon cœur ne s'aggrave , mon cœur faisais des crises d'adolescence , comme un enfant qui viens de perdre sa maman, un vide flagrant que rien ne peux remplir, je trouvais dans la douceur de la spiritualité un remède bénéfique a mon état, une sorte de mélange d'herbes que je passais dessus mes sentiments pour moins sentir la douleur , me permettant de dormir un peu, profitant de cette absence de perditions dans tes rue , dans tes gares, tes trains, comme un enfant fatigué des larmes, se laissant submerger par un sommeil , le délivrant d'un amour perdu.

Chère Sara, permets moi d'oublier que je rêve le temps de quelques phrases , donne moi ta main pour te prendre avec moi , quelques part , pas loi de chez moi, au bord de la mer , pour te montrer les secrets de ces vagues que j'ai côtoyer en ton absence, te faire écouter le bruit du vent , passant dessus de tes cheveux , ou plutôt dans un petit bateau , juste avant un coucher de soleil, regardant les oiseux nous saluer .
 
IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara, n'oublie jamais que j'ai accepté cet échange de chagrin d'amour, cet événement que tu m'a fais subir , si ça t'aide a m'oublier, a me détester , si ça te permets de régler tes comptes avec moi, et te sentir apaisé , peut être que c'est le premier pas, pour que mon cœur pourras enfin vivre en paix. Chère Sara, comme c'est étrange que mon cœur a peur que tu t'approche , perdant ses repères quand tu t'éloigne , comme un oiseau assoiffé, voulant boire sans être capturer . Comme c'est étrange d'avoir peur de ces rêves inachevés , ces fondations devenu des ruines avant d'être habiter, laissant places aux migrateurs , aux chauves souries , a tous les déserteurs de la foret.

Chère Sara, je t'écrirais souvent des lettres, pour arroser mes champs de fleurs, je demanderais aux vents du nord de prendre avec eux les plus tendres parfums de toutes mes roses, pour que ton visage au réveil du matin soi toujours aussi brillant, comme un diamant au fond de la mer ,comme un diamant au fond de mon cœur , pour que tes yeux sentirons les fruits de mon cœur. Je t'écrirais même si nos chemins se sont éloigner, qui sais? peut être un jour au paradis , je te murmurerais ces lettres avec une voix douce. Je t'écrirais par que ce que la vie , m'a enseigné tout au long de ces années, qu'il y a des choses qui nous dépassent, des choses qu'on auraient pu évité, des choses qu'on a pas encore fais, et qu'on auras le temps d'en parler si un jour on se croise au paradis. Je t'écrirais ces lettres pour te dire toutes ces choses que je n'avais pas eu l'occasion pour te les raconter, je t'écrirais des lettres aussi pour oublier tous ces nuits perdu dans tes rues, dans tes villes , dans tes gares, pour qu'un jour je pourrais prendre mes bagages , partir loin de ton royaume.
 
IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara, promets moi , que si un jour tu te sens un peu seul, dans une nuit froide sous la pluie, regardant les nuages de la fenêtre, promets moi de regarder un peu plus loin vers l'horizon, tu verras une petit lumière d'un petit enfant qui pense a toi assez souvent, qui voudrais t'offrir la lune entre tes mains, pour que ce sourire si rayonnant sur ton visage seras une bougie pour cet orphelin, seras une lumière pour son voyage dans cette vie .

Chère Sara, quand tu étais loin, et que des villes et des villages nous ont séparé , des champs, des douanes, des frontières et des routes terrifiantes. Je me voyais devant mon destin, assis sur mes genoux, comme un nomade ayant perdu ses étoiles qui le guidaient , qui se réveille sous l'intensité des rayon du soleil, très assoiffé en étant persuadé que sa fin s'est rapproché, autour de lui sillonnant des animaux sauvages , ainsi des aigles au dessus de lui. Soudain de loin, je voyais une petite lumière, ou peut être une caravane.

Chère Sara, pour la première foi dans vie ,je me suis senti seul dans ce monde, dépourvu de toute force, comme le jour ou je me suis noyer a la mer a Casablanca, j'avais pensée que c'était ma dernière nuit. Autant d'amis autour de moi ne suffisais pour combler ce vide qui s 'est acharner sur moi , j'avais l'impression d'être seul dans ce monde,
j'avais beaucoup de choses a dire , les émotions me dépassais au point que si j'avais déclarer une guerre a tes villes en une matinée tout seras poussière, tout seras ruiné, mon cœur est un soldat qui restais seul a combattre, attendant la victoire ou la mort, peut importe vu que finalement ,il a trouvé refuge dans la terre brûlé.
Je suis rester seul avec mon cœur orphelin, traînant des jours et des nuits, je me sentais perdu et la vie n'avait plus aucun sens, soudain cette lumière de dieu comme une main qui m'a été tendu, comme un oiseau blessé fatigué du voyage trouvant un passager pour le soigner , j'avais besoin de retrouver des aires aussi vaste que ton amour qui dépassais mon univers, cette bienveillance divine m'a donné la paix avec moi même, la sérénité, la modestie . Elle m'a ouvert la porte du chemin de la vie, j'ai commencé ainsi a s’habituer a vivre avec les chagrins de mon cœur.
 
IbnETBaTouta

IbnETBaTouta

la vie est une aventure sans fin
Chère Sara, mon cœur me pose beaucoup de questions, avec le temps j'en ai trouver la réponse à certaines d'entre elles, mais il en reste beaucoup qui me colle comme mon ombre, comme par exemple que fais tu de tes journées, te rappelle tu comme cet enfant en moi, de chaque coin de rue qu'on à visité, te rappelle tu de ce banc, juste en face d'un petit arbre, où j'ai écris ton prénom en blanc, en ton absence bien sur , je sillonnais les couloirs de vaindermerch , cherchant des choses qui traînaient dans les aires, il m'arrivait de visiter ton ancien chambre, cherchant peut être des souvenirs, collé au murs ou sur le plafond, je trouvais des excuses un peu banal, un peu naïves, pour demander aux nouveaux habitants de cette chambre, de rester un peu plus, le temps que mon cœur voyage un peu dans ces rêves, dans ces souvenirs laissant la porte à ses émotions, a ses peines de le taquiner, à ses douleurs de se vaporiser , se dispersant dans le ciel, pour finalement se réveiller de son petit rêve , et soudain se rendre compte qu'il doit affronter ce réveil si soudain et se convaincre que la vie lui réserve de belles choses, et que sa princesse ne l'a pas oublié. Il lui arrivait de pensé a des choses si simple, comme par exemple ce petit gâteau que tu 'avais fait goutté , comme c'est étrange que ces choses simples, deviennent avec le temps, des paradis , transformant ma vie en un champ de fleurs, mes souvenirs se transforment en ruisseaux qui coulent dans tout les sens, transformant mes terres , et les saisons de mon coeur deviennent ainsi la saison du printemps.




PS: c'est tiré d'une histoire vrai , un roman écris en arabe , donc la traductions n'est pas parfaite, un jeune homme qui devaient choisir entre dieu et son amour.
 
Ismail82

Ismail82

Peace & love !
Tu ne crois pas que je vais me dévoiler ici, trop de pudeur ;). QUOTE="zeytouna, post: 14322364, member: 256128"]Comme c'est mignon :love:
Et ça se traduit comment chez toi?[/QUOTE]
ne
 
L

Liberty95

Non connecté
Ne désespérez pas les femmes célibataires

Il y aura des hommes houris qui vous attendent pour celles qui sont restées célibataire :D avant de mourir :desole:
 
L

Liberty95

Non connecté
Les femmes qui n'ont pas eu de maris dans ce bas monde auront des maris au Paradis.
Allah n'est pas injuste.
 
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