IbnETBaTouta
la vie est une aventure sans fin
Chère Sara,
J'ai eu du mal à me convaincre pour t'écrire ces mots, ces mots qui viennent du fond de mon cœur. Ce destin , cette chose qu'on à aucun pouvoir sur elle, ce destin un peu innocent, un peu responsable , qui fais qu'on rencontre des gens , ses coïncidences qui nous émerveillent, peut être nous perturbent, ou même nous changent la vie. Ce destin m'a privé des choses cher à mon cœur , les perdre d'un seul coud, dans des conditions épouvantables, insupportables, injustes , arrogantes , pourvu de toute douceur que tout être à besoin pour respirer , une sorte d'oxygène du cœur , que les poumons des sentiments ont besoin pour survivre. Dans cette lettre chère Sara, je regrette de ne pas savoir écrire en ta langue maternelle , comme tu disais un jour. Dans cette lettre, j'ai envie de te parler de la tempête de mon cœur, oui , j' y crois comme l'existence de dieu, comme le soleil qui se couche derrière la montagne de Grenoble, que mon cœur à ses saisons, et sa saison actuelle, c'est la saison des tempêtes.
Chère Sara, permet moi de t'écrire ces phrases, et promets moi de les lire , du premier mots au dernier, avec la même force, la même attention , la même douceur , tu liras des choses peut être, tu comprendras des choses sûrement. Cet état d'écriture, est la preuve mathématiques de l'arrogance de ce destin, l'injustice des sentiments et l'emprisonnement des cœurs. Cet état d'écriture est une sorte de rêve de délivrance, chimère , comme un matin ensoleillé dans un hivers rude , juste après une nuit de tempêtes, cet état d'écriture est devenu pour moi une prière pour mon cœur, qui s'isole de temps en temps dans son temple, entre les feuilles et les crayons, pour une délivrance temporaire, mais bénéfique, un yoga qui absorbe ces mouvements dans tout les sens, comme un petit prince de Saint-Exupéry, qui dresse ces animaux sauvages ,le temps de laisser passer les sentiments traverser la rivière.
J'ai eu du mal à me convaincre pour t'écrire ces mots, ces mots qui viennent du fond de mon cœur. Ce destin , cette chose qu'on à aucun pouvoir sur elle, ce destin un peu innocent, un peu responsable , qui fais qu'on rencontre des gens , ses coïncidences qui nous émerveillent, peut être nous perturbent, ou même nous changent la vie. Ce destin m'a privé des choses cher à mon cœur , les perdre d'un seul coud, dans des conditions épouvantables, insupportables, injustes , arrogantes , pourvu de toute douceur que tout être à besoin pour respirer , une sorte d'oxygène du cœur , que les poumons des sentiments ont besoin pour survivre. Dans cette lettre chère Sara, je regrette de ne pas savoir écrire en ta langue maternelle , comme tu disais un jour. Dans cette lettre, j'ai envie de te parler de la tempête de mon cœur, oui , j' y crois comme l'existence de dieu, comme le soleil qui se couche derrière la montagne de Grenoble, que mon cœur à ses saisons, et sa saison actuelle, c'est la saison des tempêtes.
Chère Sara, permet moi de t'écrire ces phrases, et promets moi de les lire , du premier mots au dernier, avec la même force, la même attention , la même douceur , tu liras des choses peut être, tu comprendras des choses sûrement. Cet état d'écriture, est la preuve mathématiques de l'arrogance de ce destin, l'injustice des sentiments et l'emprisonnement des cœurs. Cet état d'écriture est une sorte de rêve de délivrance, chimère , comme un matin ensoleillé dans un hivers rude , juste après une nuit de tempêtes, cet état d'écriture est devenu pour moi une prière pour mon cœur, qui s'isole de temps en temps dans son temple, entre les feuilles et les crayons, pour une délivrance temporaire, mais bénéfique, un yoga qui absorbe ces mouvements dans tout les sens, comme un petit prince de Saint-Exupéry, qui dresse ces animaux sauvages ,le temps de laisser passer les sentiments traverser la rivière.