IbnETBaTouta
la vie est une aventure sans fin
lequel? je vais faire la prière de tarawih, tu as fini de prier la?Bon
Tu avances pour ton nouveau chemin de route ?
lequel? je vais faire la prière de tarawih, tu as fini de prier la?Bon
Tu avances pour ton nouveau chemin de route ?
Le chemin à coté de tes examens d'anglaislequel? je vais faire la prière de tarawih, tu as fini de prier la?
je te répondrais plus tard a propos d'anglais.Le chemin à coté de tes examens d'anglais
Nan, je n'ai pas vraiment finis mes prières
Sur ce,
Bonne participation à la Prière de Tarawih
a fond dans l'anglais, c'est la dernière ligne, mais c'est difficile d'apprendre la grammaire par ce que c'est pas logique.je te répondrais plus tard a propos d'anglais.
C'est bien. Continue.je sais qu'il y a des fautes, c'est le but de poster;
même s'il y a des choses a modifier, j'essaye de traduire de l'arabe (de tête) au français c'est pas évident.
Un conseil stylistique pour rendre ta prose quasi-proustienne: évite les répétitions.Il a vu un grand homme blanc, habiller en blanc,. L'homme blanc l'homme blanc rentre mais l'homme blanc
L'homme blanc.
Merci pour ce fou rire...Un conseil stylistique pour rendre ta prose quasi-proustienne: évite les répétitions.
Par exemple, tu peux remplacer "l'homme blanc" par le "vallsien" "blancos".
merci pour le conseil, c'est dommage qu'il n'a pas la possibilité de corrigerUn conseil stylistique pour rendre ta prose quasi-proustienne: évite les répétitions.
Par exemple, tu peux remplacer "l'homme blanc" par le "vallsien" "blancos".
ce n'est pas moi n'oublie pas, c'est une histoire imaginé, mais quelques petit passages je les ai vécu, donc, tout les événements sont purement rêvé , la partie la plus intéressante viens après à mon avis, après la séparation de Amir et Sara, 13 ans ans plus tard, il s'est passé des choses, je n'ai pas encore fini d'écrire tout en arabe, ici j'essaye de traduire, un professeur de mathématiques m'a proposer un scénariste qui aime ce genre de scenario pour en faire un film ( c'est sérieux).Si on fait le calcul @IbnETBaTouta t'as 38 ans : P
13 ans et tu ne l'as pas encore oublié ?! c'est chaud ! et tu penses toujours à elle ? ça doit être l'amour qu'on raconte dans les livres : Dce n'est pas moi n'oublie pas, c'est une histoire imaginé, mais quelques petit passages je les ai vécu, donc, tout les événements sont purement rêvé , la partie la plus intéressante viens après à mon avis, après la séparation de Amir et Sara, 13 ans ans plus tard, il s'est passé des choses, je n'ai pas encore fini d'écrire tout en arabe, ici j'essaye de traduire, un professeur de mathématiques m'a proposer un scénariste qui aime ce genre de scenario pour en faire un film ( c'est sérieux).
je posterais ce soir peut être deux ou trois événements.
c'est une histoire imaginé, j'ai il y a des choses de moi dans la personnalité et non dans tout les événements, tu as tout lu?13 ans et tu ne l'as pas encore oublié ?! c'est chaud ! et tu penses toujours à elle ? ça doit être l'amour qu'on raconte dans les livres : D
Pas mal ce texte en proseL'ECOLE DE L"AMOUR Votre amour, madame, m'a fait entrer dans les cités des tristesses
Et moi avant vous je ne suis jamais allé dans les cités des tristesses
Je n'ai jamais su que les larmes sont l’être humain
que l'humain sans tristesse n'était que le souvenir d'un humain
Votre amour m'a apprit a être triste
Et moi depuis des siècles j’avais besoin d’une femme qui me rend triste
une femme qui je pleurerai sur ses bras comme un oiseau
Une femme qui rassemble mes parties comme les morceaux d'un vase brisé
Votre amour chère dame m'a apprit les pires manières
Il m'a apprit a regarder ma tasse mille fois en une nuit (1)
tenter les remèdes des guérisseurs et frapper aux portes des voyantes
Il m'a apprit à sortir de chez moi pour brosser les trottoirs des ruelles
Et poursuivre votre visage sous la pluie et entre les feux des automobiles
A collecter de vos yeux des millions d'étoiles
O femme, qui a assommer le monde, O ma douleur, O douleur des Nays (2)
Votre amour, madame, m'a fait pénétrer dans les cités de la tristesse
Et moi avant votre amour je ne savais pas qu'est ce que la tristesse
Je n'ai jamais su que les larmes sont l'être humain
que l' humain sans tristesse n'était que l'ombre d'un humain
Votre amour m'a apprit a me comporter comme un petit enfant
A dessiner votre visage avec la craie sur les mures
O Femme qui a renversé mon histoire
Je suis égorgé en vous d'un artère à l’autre
Votre amour m'a apprit comment l’amour peut modifier la carte du temps
Il m'a apprit que lorsque j'aime, la terre cesse de tourner
Votre amour m'a apprit des choses dont je n'aurai jamais penser
J'ai lu les contes d'enfants
je suis rentrer dans les palais vierges des rois
et j'ai rêvé d'épouser la fille du sultan
celle dont les yeux sont plus claires que l'eau des fontaines
celle dont les lèvres sont plus succulentes que les roses de grenadines
et j'ai rêvé de l'enlever comme les chevaliers
et j’ai rêvé de lui offrir des paniers de perles et de « morgane »
votre amour m'a apprit chère dame ce qu’est le délire
Il m'a apprit comment l’âge passe
sans que la fille du sultan vienne......
c'est la traduction de la chanson de kadim assaher, un fameux chanteur dans le monde arabe : DPas mal ce texte en prose
quel ***Chère Sara,
J'ai eu du mal à me convaincre pour t'écrire ces mots, ces mots qui viennent du fond de mon cœur. Ce destin , cette chose qu'on à aucun pouvoir sur elle, ce destin un peu innocent, un peu responsable , qui fais qu'on rencontre des gens , ses coïncidences qui nous émerveillent, peut être nous perturbent, ou même nous changent la vie. Ce destin m'a privé des choses cher à mon cœur , les perdre d'un seul coud, dans des conditions épouvantables, insupportables, injustes , arrogantes , pourvu de toute douceur que tout être à besoin pour respirer , une sorte d'oxygène du cœur , que les poumons des sentiments ont besoin pour survivre. Dans cette lettre chère Sara, je regrette de ne pas savoir écrire en ta langue maternelle , comme tu disais un jour. Dans cette lettre, j'ai envie de te parler de la tempête de mon cœur, oui , j' y crois comme l'existence de dieu, comme le soleil qui se couche derrière la montagne de Grenoble, que mon cœur à ses saisons, et sa saison actuelle, c'est la saison des tempêtes.
Chère Sara, permet moi de t'écrire ces phrases, et promets moi de les lire , du premier mots au dernier, avec la même force, la même attention , la même douceur , tu liras des choses peut être, tu comprendras des choses sûrement. Cet état d'écriture, est la preuve mathématiques de l'arrogance de ce destin, l'injustice des sentiments et l'emprisonnement des cœurs. Cet état d'écriture est une sorte de rêve de délivrance, chimère , comme un matin ensoleillé dans un hivers rude , juste après une nuit de tempêtes, cet état d'écriture est devenu pour moi une prière pour mon cœur, qui s'isole de temps en temps dans son temple, entre les feuilles et les crayons, pour une délivrance temporaire, mais bénéfique, un yoga qui absorbe ces mouvements dans tout les sens, comme un petit prince de Saint-Exupéry, qui dresse ces animaux sauvages ,le temps de laisser passer les sentiments traverser la rivière.