Non effectivement la démocratie et l'Islam ne sont pas du tout antinonique...
L'essence même de la démocratie s'accorde avec l'Islam comme le dit l'éminent Sheykh Qaradawi qui est quand même le Président de l'Union mondiale des Oulémas sunnites...
En quoi consiste la démocratie ?
Sans s’embarrasser de définitions et de termes académiques, la démocratie consiste essentiellement à ce que le peuple choisisse celui qui dirige ses affaires, sans qu’on lui impose un dirigeant qu’il abhorre ni un régime qu’il déteste, qu’il ait le droit de demander des comptes au dirigeant lorsqu’il commet une erreur et le droit de le destituer s’il dévie, que les gens ne soient pas contraints de suivre des directions, d’adopter des méthodes économiques, sociales, culturelles, ou politiques qu’ils ne connaissent pas et qu’ils n’agréent pas et dont la critique vaudrait à ceux qui la portent d’être torturés et massacrés.
Au fond, c’est cela la démocratie. Les hommes l’ont mise en œuvre selon différentes formes et via des mécanismes pratiques variables, comme le vote, le suffrage universel, l’adoption de l’avis de la majorité, la pluralité des partis politiques, le droit de la minorité d’exprimer son opposition, la liberté de la presse, l’indépendance du pouvoir judiciaire etc.
La démocratie ainsi définie est-elle contraire à l’islam ? D’où viendrait cette prétendue opposition ? Quels arguments tirés des textes décisifs du Coran et de la Sunnah appuieraient cette thèse ?
L’essence de la démocratie s’accorde avec l’islam
En réalité, quiconque réfléchit à l’essence de la démocratie conclura qu’elle procède des principes fondamentaux de l’islam. L’islam condamne en effet que les orants soient présidés pendant la prière par un imam qu’ils détestent et qu’ils n’agréent pas. Le hadith stipule à cet égard : « Trois catégories de gens ne voient pas leur prière s’élever d’un empan au-dessus de leur tête. » [2] La première catégorie citée est : « Un imam qui officie à la prière devant des gens qui le détestent. » [3]. Ceci concerne la prière, alors que dire lorsqu’il s’agit des affaires de la vie et de la politique ? Le hadîth authentique stipule : « Les meilleurs parmi vos imams — au sens de dirigeants — sont ceux que vous aimez et qui vous aiment, et pour lesquels vous priez et qui prient pour vous. Les pires parmi vos imams sont ceux que vous haïssez et qui vous haïssent, et que vous maudissez et qui vous maudissent. » [4]
la suite dans le lien pour ceux qui ne connaissent pas ce que dit l'Islam à ce sujet...
http://www.islamophile.org/spip/La-democratie-et-l-islam.html
L'essence même de la démocratie s'accorde avec l'Islam comme le dit l'éminent Sheykh Qaradawi qui est quand même le Président de l'Union mondiale des Oulémas sunnites...
En quoi consiste la démocratie ?
Sans s’embarrasser de définitions et de termes académiques, la démocratie consiste essentiellement à ce que le peuple choisisse celui qui dirige ses affaires, sans qu’on lui impose un dirigeant qu’il abhorre ni un régime qu’il déteste, qu’il ait le droit de demander des comptes au dirigeant lorsqu’il commet une erreur et le droit de le destituer s’il dévie, que les gens ne soient pas contraints de suivre des directions, d’adopter des méthodes économiques, sociales, culturelles, ou politiques qu’ils ne connaissent pas et qu’ils n’agréent pas et dont la critique vaudrait à ceux qui la portent d’être torturés et massacrés.
Au fond, c’est cela la démocratie. Les hommes l’ont mise en œuvre selon différentes formes et via des mécanismes pratiques variables, comme le vote, le suffrage universel, l’adoption de l’avis de la majorité, la pluralité des partis politiques, le droit de la minorité d’exprimer son opposition, la liberté de la presse, l’indépendance du pouvoir judiciaire etc.
La démocratie ainsi définie est-elle contraire à l’islam ? D’où viendrait cette prétendue opposition ? Quels arguments tirés des textes décisifs du Coran et de la Sunnah appuieraient cette thèse ?
L’essence de la démocratie s’accorde avec l’islam
En réalité, quiconque réfléchit à l’essence de la démocratie conclura qu’elle procède des principes fondamentaux de l’islam. L’islam condamne en effet que les orants soient présidés pendant la prière par un imam qu’ils détestent et qu’ils n’agréent pas. Le hadith stipule à cet égard : « Trois catégories de gens ne voient pas leur prière s’élever d’un empan au-dessus de leur tête. » [2] La première catégorie citée est : « Un imam qui officie à la prière devant des gens qui le détestent. » [3]. Ceci concerne la prière, alors que dire lorsqu’il s’agit des affaires de la vie et de la politique ? Le hadîth authentique stipule : « Les meilleurs parmi vos imams — au sens de dirigeants — sont ceux que vous aimez et qui vous aiment, et pour lesquels vous priez et qui prient pour vous. Les pires parmi vos imams sont ceux que vous haïssez et qui vous haïssent, et que vous maudissez et qui vous maudissent. » [4]
la suite dans le lien pour ceux qui ne connaissent pas ce que dit l'Islam à ce sujet...
http://www.islamophile.org/spip/La-democratie-et-l-islam.html
Je ne pense pas que l'Islam soit la cause de ce qui se passe dans les pays arabes.
Et puis ça reste un avis, et ça dépend la façon de voir la démocratie, y'a aussi d'autres avis par exemple celui d'Al Qaradhaoui.