Jésus a t-il aboli la peine de mort?

mais il sagit ici de remmetrre dans le contexte, et jesus voulait dire par la ke letre dans sa chair est faillible, et kil faut seloigner des envie de chair., et des autres pechés en genral.

crois tu ke jesus voulait reelement dire de se couper la main droite si elle est une occasin de chute? :)

Oui, un avertissement !!, mais tu peux aussi conclure la gravité de ce péché et conséquences!->Mieux d’être puni dans ce bas monde que après (= trop tard) d’être jeter dans la géhenne, ce lieu de tourments, ..
Allahou a’lam
à suivre Inch'Allah
 

Franc_Lazur

DIEU est amour
VIB
Donc, il y a eu une réconcilliation pour vivre comme il le faut afin de bien pratiquer sa religion. Donc dire qu'il faut pratiquer sa religion selon l'époque où l'on vit, c'est faux. Il faut pratiquer la religion tel que le livre religieux nous le demande.

Oui, Omar, pour les Musulmans, cela est une évidence, puisque tout est explicité, y comprisle nombrede prières par jour.

Rien de tel chez les Chrétiens, puisque Jésus, lui, n'a rien explicité. Les Chrétiens considèrent cette absence de règles précises et définitives comme une marque de l' universalité du Message de Jésus.


Omar à dit:
Jésus a dit qu'il est venu accomplir, donc terminer si tu prefere. Mais il a dit qu'il n'est pas venu abolir la loi, donc il va enseigner des nouvelles choses, sans abolir les anciennes loi. Il a abolie les anciens rites, comme le faite de haïr ses ennemies, mais cela ne fait pas parti des anciennes lois, nul part il est dit qu'il faut haïr ses ennemis. Donc, detester ses ennemeis est une anciennes coutumes, rien à voir avec les commadement de l'ancein testament. Jésus, s'il dit qu'il n'est pas venu abolir la loi, la meme loi de l'ancien testament, cela veut dire qu'il ne l'a pas abolie.

Regarde ce que Jésus dit :

Luc 10-26 Jésus lui dit : Qu'est-il écrit dans la loi ? Qu'y lis-tu ?
27 Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même.
28 Tu as bien répondu, lui dit Jésus ; fais cela, et tu vivras.

On voit bien que Jésus n'a pas abolie la loi, il dit d'aller lire dans la loi, la loi de Moïse il me semble bien.

Bonne soirée

Ici, cher Omar, il s'agit de la Loi du Décalogue, les 10 Commandements, et non de toutes les prescriptions du Pentateuque. Les 10 Commandemets sont des Lois générales et non des prescriptions juridiques. Or un de ces Commandements dit explicitement : "Tu ne tueras pas !" Comment aimer son prochain criminel ? Il fut un temps où on l'aimait en lui permettant de "gagner son Ciel" par sa condamnation à mort. Aujordhui, on aime le criminel en l'empêchant de récidiver et en lui faisant prendre conscience de son crime par une peine d'enfermement. Jésus laisse l'homme, les hommes libres d'interpréter la Loi de l'amour selon les mentalités des différentes époques.

A la question : Jésus a-t-il aboli la peine de mort ? ou bien a-t-il demandé l'application biblique de la peine de mort ? ma reponse est la suivante : Jésus n'a dit qu'une chose : jugez selon ce quevous pensez être le bien de tous, le bien de l'assassin et le bien des victimes et de leurs familles.

Bonne journée, Omar.
 
Oui, Omar, pour les Musulmans, cela est une évidence, puisque tout est explicité, y comprisle nombrede prières par jour.

Rien de tel chez les Chrétiens, puisque Jésus, lui, n'a rien explicité. Les Chrétiens considèrent cette absence de règles précises et définitives comme une marque de l' universalité du Message de Jésus.

Le message de Muhammad sws est aussi universel, pourtant il faut l'appliquer comme il est définit, et non pas selon l'époque où l'on vit. Mais, tu es sur que pour les chrétiens il faut appliquer le message de Jésus selon notre mode de vie? Pourquoi pas devenir athée dans ce cas, car ce sont les hommes qui modifient les modes de vies, or le croyant doit suivre, non pas l'homme mais la religion. Nous ne trouvons pas de terrain d'entente sur ce domaine.



Ici, cher Omar, il s'agit de la Loi du Décalogue, les 10 Commandements, et non de toutes les prescriptions du Pentateuque. Les 10 Commandemets sont des Lois générales et non des prescriptions juridiques. Or un de ces Commandements dit explicitement : "Tu ne tueras pas !" Comment aimer son prochain criminel ? Il fut un temps où on l'aimait en lui permettant de "gagner son Ciel" par sa condamnation à mort. Aujordhui, on aime le criminel en l'empêchant de récidiver et en lui faisant prendre conscience de son crime par une peine d'enfermement. Jésus laisse l'homme, les hommes libres d'interpréter la Loi de l'amour selon les mentalités des différentes époques.

A la question : Jésus a-t-il aboli la peine de mort ? ou bien a-t-il demandé l'application biblique de la peine de mort ? ma reponse est la suivante : Jésus n'a dit qu'une chose : jugez selon ce quevous pensez être le bien de tous, le bien de l'assassin et le bien des victimes et de leurs familles.

Bonne journée, Omar.

Jésus dit d'appliquer la loi des 10 commandements. Et si tu analyse précisement les 10 commandements, chaqu'un d'eux renvoyer à une punition en cas de non accomplissement de ces commandements. Par exemple, le 1er, à savoir adorer seulement Dieu, et bien celui qui adore d'autres Dieu, devait être mis à mort. Donc, il y a les commandements, et le faite de punir ceux qui ne les appliqent pas.
Le faite qu'il est dit : "tu ne tuera point" ne veut pas dire qu'il ne faut pas appliquer la peine de mort, car dans l'ancien testament il est dit la meme chose, bien que la peine de mort existait déja.

Bonne journée
 

doudouzazou1

gone with the wind
Le message de Muhammad sws est aussi universel, pourtant il faut l'appliquer comme il est définit, et non pas selon l'époque où l'on vit. Mais, tu es sur que pour les chrétiens il faut appliquer le message de Jésus selon notre mode de vie? Pourquoi pas devenir athée dans ce cas, car ce sont les hommes qui modifient les modes de vies, or le croyant doit suivre, non pas l'homme mais la religion. Nous ne trouvons pas de terrain d'entente sur ce domaine.





Jésus dit d'appliquer la loi des 10 commandements. Et si tu analyse précisement les 10 commandements, chaqu'un d'eux renvoyer à une punition en cas de non accomplissement de ces commandements. Par exemple, le 1er, à savoir adorer seulement Dieu, et bien celui qui adore d'autres Dieu, devait être mis à mort. Donc, il y a les commandements, et le faite de punir ceux qui ne les appliqent pas.
Le faite qu'il est dit : "tu ne tuera point" ne veut pas dire qu'il ne faut pas appliquer la peine de mort, car dans l'ancien testament il est dit la meme chose, bien que la peine de mort existait déja.

Bonne journée
mais l'ancien testament n'a jamais prétendu etre la parole de dieu. ce sont des faits relatés par des hommes, à part les tables de la loi qui elles ont été gravées par dieu directement ?
 
mais l'ancien testament n'a jamais prétendu etre la parole de dieu. ce sont des faits relatés par des hommes, à part les tables de la loi qui elles ont été gravées par dieu directement ?

On dire de meme pour le nouveau testament, c'est la parole de Matthieu, Marc, Luc, Jean, Paul et Pierre, et donc pas la parole de Dieu.
 
Pardonner? Mais tout les prophetes l'on dit, Jésus dit lui meme que le faite d'aimer son prochain fait partie de la loi et des enseignements des prophetes, qui APPLIQUAIENT LA PEINE DE MORT. Jésus n'est pas venu abolir mais accomplir. Donc, personne n'a réussit à démontrer que Jésus a abolie la peine de mort.

tu ne comprend pas cette expression qui ne signifie pas la reprise texto sensu des lois precedente, mais plutot leur perenité a la lumiere de la nouvelle metaphysique de Jesus, à savoir l'amour et le pardon meme devant le danger physique, meme devant les enemei.

donc de facto cela induit un arrete d ela loi du talion et de la peine de mort.

est ce que tu comprends ?
 
Le lévitique c'est un livre que DIEU a donné à Moïse. Donc, la peine de mort était donné par Dieu. Le commandement de s'aimer existait déja pour les juifs, il était nouveau selement pour les disciples. Et les juifs malgré qu'il devaient s'aimer les uns les autres, devaient aussi appliquer la peine de mort

mais veux tu rellement voir le message de jesus? je me le demande...
tu peux me le dire, si tu naccepte pas ke la loi du talion ou la peine de mort soit aboli, c ton droit, mais sur jesus, tu ne peu nier la version chretienne.

tu te base sur le levitik, et je te dis, ki de moise ou de jesus est apparu en dernier?
jesus.
et kan jesus dit " voici UN COMMANDEMENT NOUVO" cela naboli til pas tous les commandement precedent sopposant a ce commandement nouvo?

alors kan jeuss dit; aimez vous les uns les autres, et tendez lautre joue a lennemi, cela veut dire ke si lenneùmi toffense, tu ne peus reclamer justice toi meme et au contraire tendre lautre joue. ceci est dit.
apres, le reste est affaire avec dieu.

a lepok du levitik, il etait peut etre dit " haissez vos ennemi", ce ki implik ke si lennemi toffense, tu peux le hair, et on peut linterpreter comme un droit de vengence sur lui.

mais et je le redis, encore, le nouvo commandement soppose a ceux ci.

salem:)
 
Oui, un avertissement !!, mais tu peux aussi conclure la gravité de ce péché et conséquences!->Mieux d’être puni dans ce bas monde que après (= trop tard) d’être jeter dans la géhenne, ce lieu de tourments, ..
Allahou a’lam
à suivre Inch'Allah

voila nous sommes daccord, c t un avertissement, pas un ordre de rellemnet se couper la main ou sarracher un oeil. :)

salem
 
mais veux tu rellement voir le message de jesus? je me le demande...
tu peux me le dire, si tu naccepte pas ke la loi du talion ou la peine de mort soit aboli, c ton droit, mais sur jesus, tu ne peu nier la version chretienne.

tu te base sur le levitik, et je te dis, ki de moise ou de jesus est apparu en dernier?
jesus.
et kan jesus dit " voici UN COMMANDEMENT NOUVO" cela naboli til pas tous les commandement precedent sopposant a ce commandement nouvo?

alors kan jeuss dit; aimez vous les uns les autres, et tendez lautre joue a lennemi, cela veut dire ke si lenneùmi toffense, tu ne peus reclamer justice toi meme et au contraire tendre lautre joue. ceci est dit.
apres, le reste est affaire avec dieu.

a lepok du levitik, il etait peut etre dit " haissez vos ennemi", ce ki implik ke si lennemi toffense, tu peux le hair, et on peut linterpreter comme un droit de vengence sur lui.

mais et je le redis, encore, le nouvo commandement soppose a ceux ci.

salem:)

Faux, a lépoque du lévitique, il été dit "aimer votre prochain comme vous meme", montre moi le passage ou il est dit qu'il faut detester nos ennemie, Jésus n'a rien inventé, le nouveau commendement était que pour les disciples, la preuve en est quand Jésus affirme clairement, qu'aimer son prochain fait parti de la loi et des prophètes.
 
oui mais il l'a eclairée d'un jour nouveau.

tu confond le fond et la forme.
tu ne lit que la forme, sans comprendre que Jésus a modifier le fond.

donc il n'a pas abolit la forme, mais il a modifiée sa signification en modifiant le fond, en le completant.

Jésus a modifié la loi du mariage inventé par les hommes et leurs traditions, si la peine de mort devait en etre ainsi, il l'aurai dit. Jésus dit bien qu'il N'EST PAS VENI ABOLIR LA LOI
 

fredke

Capitaine Haddock
Donc, si Jésus n’a pas interdit la peine de mort, c’est qu’elle doit toujours être en application.

Conclusion : Jésus n'a jamais abolie la peine de mort qui par conséquent, fait intégralement partie du christianisme.

Il faut distinguer la religion chrétienne de la religion musulmane par le fait premièrement que le Christ n'a pas voulu créer une nouvelle religion et d'autre part que le dogme est défini non pas par Jésus mais par les autorités religieuses qui légifèrent en s'inspirant certes du nouveau testament mais en fonction de leur vue du monde actuel.

Si Jésus est en effet le prophète des chrétiens, Jésus n'est pas le créateur du christianisme. Jésus est un juif qui a remis en question la pratique de sa religion, c'était un réformateur et non l'auteur d'une nouvelle religion. Ce n'est que plus tard que les réformes du Christ ont donné naissance au christianisme, religion née vers l'an 300, je crois.

D'autre part, Jésus contestait de manière "intelligente". En respectant la loi autant que possible, même s'il a fini par être condamné. Il ne pouvait pas contredire la loi mais juste l'interprèter ou la tempérer. Mais s'il n'a pas "ouvertement" contesté la loi, il faisait des commentaires déstabilisant pour les intégristes.

Enfin, les "lois" de la religion catholiques ne sont pas émises par Jésus mais par le Pape. Jean-Paul II ayant déclaré «La société moderne est dotée de moyens lui permettant de mettre fin aux crimes de manière efficace et de rendre les criminels inoffensifs sans leur ôter définitivement la possibilité de changer.» montre que l'Eglise est contre la peine de mort.

Il ne s'agit pas de l'ensemble des chrétiens mais disons que, suite à cette déclaration du pape, la peine de mort est contraire à la religion catholique, car ce n'est pas Jésus mais le pape qui définit les règles à suivre par les catholiques.
 
Il faut distinguer la religion chrétienne de la religion musulmane par le fait premièrement que le Christ n'a pas voulu créer une nouvelle religion et d'autre part que le dogme est défini non pas par Jésus mais par les autorités religieuses qui légifèrent en s'inspirant certes du nouveau testament mais en fonction de leur vue du monde actuel.

Si Jésus est en effet le prophète des chrétiens, Jésus n'est pas le créateur du christianisme. Jésus est un juif qui a remis en question la pratique de sa religion, c'était un réformateur et non l'auteur d'une nouvelle religion. Ce n'est que plus tard que les réformes du Christ ont donné naissance au christianisme, religion née vers l'an 300, je crois.

D'autre part, Jésus contestait de manière "intelligente". En respectant la loi autant que possible, même s'il a fini par être condamné. Il ne pouvait pas contredire la loi mais juste l'interprèter ou la tempérer. Mais s'il n'a pas "ouvertement" contesté la loi, il faisait des commentaires déstabilisant pour les intégristes.

Enfin, les "lois" de la religion catholiques ne sont pas émises par Jésus mais par le Pape. Jean-Paul II ayant déclaré «La société moderne est dotée de moyens lui permettant de mettre fin aux crimes de manière efficace et de rendre les criminels inoffensifs sans leur ôter définitivement la possibilité de changer.» montre que l'Eglise est contre la peine de mort.

Il ne s'agit pas de l'ensemble des chrétiens mais disons que, suite à cette déclaration du pape, la peine de mort est contraire à la religion catholique, car ce n'est pas Jésus mais le pape qui définit les règles à suivre par les catholiques.


Qu'en est-il pour les protestants?
 
Jésus a modifié la loi du mariage inventé par les hommes et leurs traditions, si la peine de mort devait en etre ainsi, il l'aurai dit. Jésus dit bien qu'il N'EST PAS VENI ABOLIR LA LOI

il est venir l'accomplir, la compléter.
ceci dansune optique de pardon.

la peine de mort et le pardon sont par nature anti-nomique
on ne tu pas si on pardonne,

je te l'ai dit tu t'attache trop à la forme, et non au fond, tu lis les mots mais ne comprend pas leur implication.
 
Il faut distinguer la religion chrétienne de la religion musulmane par le fait premièrement que le Christ n'a pas voulu créer une nouvelle religion et d'autre part que le dogme est défini non pas par Jésus mais par les autorités religieuses qui légifèrent en s'inspirant certes du nouveau testament mais en fonction de leur vue du monde actuel.

Si Jésus est en effet le prophète des chrétiens, Jésus n'est pas le créateur du christianisme. Jésus est un juif qui a remis en question la pratique de sa religion, c'était un réformateur et non l'auteur d'une nouvelle religion. Ce n'est que plus tard que les réformes du Christ ont donné naissance au christianisme, religion née vers l'an 300, je crois.

D'autre part, Jésus contestait de manière "intelligente". En respectant la loi autant que possible, même s'il a fini par être condamné. Il ne pouvait pas contredire la loi mais juste l'interprèter ou la tempérer. Mais s'il n'a pas "ouvertement" contesté la loi, il faisait des commentaires déstabilisant pour les intégristes.

Enfin, les "lois" de la religion catholiques ne sont pas émises par Jésus mais par le Pape. Jean-Paul II ayant déclaré «La société moderne est dotée de moyens lui permettant de mettre fin aux crimes de manière efficace et de rendre les criminels inoffensifs sans leur ôter définitivement la possibilité de changer.» montre que l'Eglise est contre la peine de mort.

Il ne s'agit pas de l'ensemble des chrétiens mais disons que, suite à cette déclaration du pape, la peine de mort est contraire à la religion catholique, car ce n'est pas Jésus mais le pape qui définit les règles à suivre par les catholiques.

le fait que Jesus soi le Messie rend de facto la religion juive caduc.
des les premier disciple une nouvelle voie etait amorcé.
tu confonds le fondement formel des religions chretiennes et les faits et gestes du Christ.

il est vrai que les lois religieuse ont ete edicté par les autorité religieuse, pour la simlple et bonne raison que Jesus a donné le cadre, mais pas d'intruction precise, laissant à ses disciple le soins d emettre en pratique son enseignement.
 
il est venir l'accomplir, la compléter.
ceci dansune optique de pardon.

la peine de mort et le pardon sont par nature anti-nomique
on ne tu pas si on pardonne,

je te l'ai dit tu t'attache trop à la forme, et non au fond, tu lis les mots mais ne comprend pas leur implication.


On ne tue pas si on pardonne? Tu est en total contradiction avec la Bible mon ami :

Le Lévitique 19:18 (Louis Segond)
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Éternel.


Tu vois bien que la pardon éxistait dans l'ancient testament, et il y a d'autres versets qui parle du pardon, OR LA PEINE DE MORT EXISTAIT
 
On ne tue pas si on pardonne? Tu est en total contradiction avec la Bible mon ami :

Le Lévitique 19:18 (Louis Segond)
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Éternel.


Tu vois bien que la pardon éxistait dans l'ancient testament, et il y a d'autres versets qui parle du pardon, OR LA PEINE DE MORT EXISTAIT

oui tu aimeras ton prochain... Jesus a dit d'aimer meme ses enemis...

tu saisi la nuance entre aimer son prochain et aimer (donc pardonner) à ses enemis ?

la vengeance n'est pas la seule chose qui implique la peine d emort je signale au passage.
 
oui tu aimeras ton prochain... Jesus a dit d'aimer meme ses enemis...

tu saisi la nuance entre aimer son prochain et aimer (donc pardonner) à ses enemis ?

la vengeance n'est pas la seule chose qui implique la peine d emort je signale au passage.


Dois-je te signaler qu'aimer son prochain, donc toute personne, équivaut à aimer ses ennemies?
Sinon il serai dit d'aimer vos amis, or il est dit d'aimer son prochain, donc tous, et de ne pas se vanger.

Conclusion: comme aimer son prochain était déja enseigner dans l'ancien testament, le faite de dire que cela abolie la peine de mort, n'est par conséquent pas pertinent.

Trouve autre chose lol
 
Le christianisme a provoqué une révolution spirituelle en remplaçant la cruauté de la loi juive par une loi d'amour du prochain, comprenant aussi les ennemis et les non-chrétiens.

Une des choses que l'on reproche au Coran, c'est que, malgré le fait qu'il soit venu 600 ans après le christianisme, il a repris en partie la cruauté de la loi juive.

Mais il est indéniable que dans les faits, les chrétiens n'ont souvent pas été à la hauteur de la noblesse de leur religion, et se sont souvent comportés comme les pires des hommes.
Et d'un autre côté, on constate que les juifs et la majorité des musulmans ne suivent pas les injonctions de l'Ancien Testament et du Coran pour ce qui est de la peine de mort et des châtiments corporels.
 
Le christianisme a provoqué une révolution spirituelle en remplaçant la cruauté de la loi juive par une loi d'amour du prochain, comprenant aussi les ennemis et les non-chrétiens.

Une des choses que l'on reproche au Coran, c'est que, malgré le fait qu'il soit venu 600 ans après le christianisme, il a repris en partie la cruauté de la loi juive.

Mais il est indéniable que dans les faits, les chrétiens n'ont souvent pas été à la hauteur de la noblesse de leur religion, et se sont souvent comportés comme les pires des hommes.
Et d'un autre côté, on constate que les juifs et la majorité des musulmans ne suivent pas les injonctions de l'Ancien Testament et du Coran pour ce qui est de la peine de mort et des châtiments corporels.


Tu intervient comme arbitre? Si ce n'est pas le cas, tu peux nous affirmer que Jésus a abolie la peine de mort?
 
Dois-je te signaler qu'aimer son prochain, donc toute personne, équivaut à aimer ses ennemies?
Sinon il serai dit d'aimer vos amis, or il est dit d'aimer son prochain, donc tous, et de ne pas se vanger.

Conclusion: comme aimer son prochain était déja enseigner dans l'ancien testament, le faite de dire que cela abolie la peine de mort, n'est par conséquent pas pertinent.

Trouve autre chose lol

mais tu le cite toi meme

uc: 10.29
Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus: Et qui est mon prochain?
10.30
Jésus reprit la parole, et dit: Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s'en allèrent, le laissant à demi mort.
10.31
Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre.
10.32
Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l'ayant vu, passa outre.
10.33
Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu'il le vit.
10.34
Il s'approcha, et banda ses plaies, en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui.
10.35
Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l'hôte, et dit: Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.
10.36
Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?
10.37
C'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit: Va, et toi, fais de même.

le prochain, ce n'est pas un enemi, ce n'es tpas quelqu'un qui te fait du mal.
Donc Jesus le dit bien, tu aimeras non seulement ton prochain mais AUSSI les autres ceux qui n'use pas de bonté envers toi.

tu les aimeras et les pardonnera.

tu insites et fais semblant d ene pas comprendre car tu voudrais je le redis que Jesus tel que decris par les evangiles soit similaire à celui du Coran.
Hors ce n'es tpa sle cas.

Il le dit, plutot que d eporter la main sur le mechant, tu dois te laisser frapper.
l'alusion est tres claire, de meme lorsqu'il arrete la lapidation.

les Evangiles ce n'est pa sle Coran, il n'y a pas ecris tu faire ceci comme cela, il y a d'indiquer la direction, pas la maniere d efaire.

tu ne le comprend pas, et c'est normal.
tu ne crois pas en cela donc la spiritualité du message t'echappe.

tu ne crois pas que l'amour, et le pardon sont la seule voie qui permet de s'elevé vers Dieu.

tu essaye de faire dire qu eles lois du Talion sont encore valable pour les chretiens ce qui n'es tpas vrai, Jesus va au Dela de cela.
Il accompli la loi, lui donne sa veritable raison d'etre, tout acte pour les amis comme les enemis doit etre gouverner par l'amour et le pardon.

et si l'interdiction de la peine de mort n'es tpas stricto sensu exprimer dnas le texte elle est evidente si l'on est dans un tel etat d'esprit d'amour et de pardon.

il s'agit du sacrifice ultime de l'homme pour Dieu, car il est sacrifice d eprendre sur soi pour donner meme au vilain.
tuer par vengeance, ou justice est tellement plus facile que de prendre sur soi.
 
Tu intervient comme arbitre? Si ce n'est pas le cas, tu peux nous affirmer que Jésus a abolie la peine de mort?

Je vais répondre au feeling, car comme je te l'ai déjà dit je ne suis pas intéressé à parcourir tout le NT pour trouver les versets adéquats.

D'après la loi d'amour du prochain et de pardon des offenses mise en avant par Jésus, on peut en déduire que l'abolition de la peine de mort est implicite dans le christianisme.

Mais y a-t-il des versets spécifiques de Jésus sur ce sujet?
On connait celui-ci: Jésus dit dans Matthieu 5:38 : “ Vous avez entendu ce qui a été dit : "Oeil pour oeil, et dent pour dent." Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente lui aussi l’autre… Vous avez entendu ce qui a été dit : "Aime ton prochain et déteste ton ennemi". Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent, ainsi vous pourrez être les fils de Dieu au paradis ”.

Il y a aussi l'histoire de la femme adultère en Jean 8: Jésus refuse de participer à sa mise à mort et lui sauve la vie en demandant que celui qui n'a jamais pêché lui lance la première pierre.

Plus que des versets précis, il faut souvent dans le christianisme se baser sur la conduite de Jésus.
 
mais tu le cite toi meme

uc: 10.29
Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus: Et qui est mon prochain?
10.30
Jésus reprit la parole, et dit: Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s'en allèrent, le laissant à demi mort.
10.31
Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre.
10.32
Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l'ayant vu, passa outre.
10.33
Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu'il le vit.
10.34
Il s'approcha, et banda ses plaies, en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui.
10.35
Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l'hôte, et dit: Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.
10.36
Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?
10.37
C'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit: Va, et toi, fais de même.

le prochain, ce n'est pas un enemi, ce n'es tpas quelqu'un qui te fait du mal.
Donc Jesus le dit bien, tu aimeras non seulement ton prochain mais AUSSI les autres ceux qui n'use pas de bonté envers toi.

tu les aimeras et les pardonnera.

tu insites et fais semblant d ene pas comprendre car tu voudrais je le redis que Jesus tel que decris par les evangiles soit similaire à celui du Coran.
Hors ce n'es tpa sle cas.

Il le dit, plutot que d eporter la main sur le mechant, tu dois te laisser frapper.
l'alusion est tres claire, de meme lorsqu'il arrete la lapidation.

les Evangiles ce n'est pa sle Coran, il n'y a pas ecris tu faire ceci comme cela, il y a d'indiquer la direction, pas la maniere d efaire.

tu ne le comprend pas, et c'est normal.
tu ne crois pas en cela donc la spiritualité du message t'echappe.

tu ne crois pas que l'amour, et le pardon sont la seule voie qui permet de s'elevé vers Dieu.

tu essaye de faire dire qu eles lois du Talion sont encore valable pour les chretiens ce qui n'es tpas vrai, Jesus va au Dela de cela.
Il accompli la loi, lui donne sa veritable raison d'etre, tout acte pour les amis comme les enemis doit etre gouverner par l'amour et le pardon.

et si l'interdiction de la peine de mort n'es tpas stricto sensu exprimer dnas le texte elle est evidente si l'on est dans un tel etat d'esprit d'amour et de pardon.

il s'agit du sacrifice ultime de l'homme pour Dieu, car il est sacrifice d eprendre sur soi pour donner meme au vilain.
tuer par vengeance, ou justice est tellement plus facile que de prendre sur soi.



Hé non,

Aimer son prochain = Aimer toute personne. Aimer son prochain englobe le faite d'aimer aussi nos ennemis, et lorsque Jésus demande à l'homme de savoir lequel a été le prochain de la victime, Jésus lui a répondu que c'est la personne qui l'a aidé. Donc, la personne a été le prochain d'une autre en l'aidant. Aimer son prochain, englobe toute personne, et meme les ennemis. Si je te dit : "ton prochain", cela s'étale envers tous, ton prochain est toute personne, bon ou mauvaise avec toi. Et cela est deja enseigner dans l'ancien testament, qui lui aussi interdit la vengence, bien que la peine de mort existait.
 
Je vais répondre au feeling, car comme je te l'ai déjà dit je ne suis pas intéressé à parcourir tout le NT pour trouver les versets adéquats.

D'après la loi d'amour du prochain et de pardon des offenses mise en avant par Jésus, on peut en déduire que l'abolition de la peine de mort est implicite dans le christianisme.

Mais y a-t-il des versets spécifiques de Jésus sur ce sujet?
On connait celui-ci: Jésus dit dans Matthieu 5:38 : “ Vous avez entendu ce qui a été dit : "Oeil pour oeil, et dent pour dent." Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente lui aussi l’autre… Vous avez entendu ce qui a été dit : "Aime ton prochain et déteste ton ennemi". Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent, ainsi vous pourrez être les fils de Dieu au paradis ”.

Il y a aussi l'histoire de la femme adultère en Jean 8: Jésus refuse de participer à sa mise à mort et lui sauve la vie en demandant que celui qui n'a jamais pêché lui lance la première pierre.

Plus que des versets précis, il faut souvent dans le christianisme se baser sur la conduite de Jésus.

Où dans l'ancien testament il est dit oeil pour oeil et dents pour dents, et ou il est demandé de detester son ennemies? Cela ne fait pas parti de la loi, mais de fausse coutume que Jésus vient abolir, mais en aucun cas il ne touche à la loi.


Pour ce qui est de la femme adultère, il s'agissait d'éprouver Jésus :

Jean 8 :
3 Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ;
4 et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère.
5 Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ?
6 Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre.
7 Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle.
8 Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre.
9 Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu.
10 Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a-t-il condamnée ?
11 Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus.


De toute facon, à un moment Jésus revient sur les loi de l'ancien testament en disant :


Matthieu: 15.3 : Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition?
15:4 : Car Dieu a dit : Honore ton père et ta mère ; et : Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.


Enfin, pour que Jésus abolisse la peine de mort, il aurai fallu qu'il fasse comme pour les autres choses, il aurai du dire : "Vous avez entendu que celui qui change de religion, tuez-le, hé bien moi je vous dit de ne pas le faire". Pourquoi Jésus n' a t-il pas dit cela comme pour les autres choses??????
 
http://www.megaphone.org/maisondelabible/revue/dosetudes/homm2.htm


Matthieu, Marc et Luc rapportent tous les trois le grand commandement, où il est question notamment du prochain (Mt 22,34-40; Mc 12,28-34; Lc 10,25-28). Mais Luc ajoute une parabole où le prochain est également mentionné (Lc 10,29-37). Nous examinerons les deux textes de Luc, où il est question de prochain : l’échange entre un légiste et Jésus où figure le grand commandement, et la parabole du bon Samaritain qui le suit. Les chrétiens ont un sens du mot « prochain » différent de celui qu'avaient les Juifs du temps de Jésus. L’échange entre un légiste et Jésus fera ressortir toute la problématique entourant la notion de prochain. Car, avant d’interroger Jésus, le légiste avait une idée très précise sur la notion de prochain : tout fils faisant partie d’Israël. L’échange découvrira une autre dimension : le prochain est également l’étranger, dans ses divers sens.

le prochain PEUT etre n'importe qui meme un pecheur, mais le prochain n'EST pa sn'importe qui.
tu comprends la nuance ?

Au début du récit, dans la seconde partie du commandement, que le légiste a lu à la demande de Jésus, il est écrit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". Mais après cela Jésus n’avait pas répondu à la question du légiste : "Qui est mon prochain ?". Au terme de la parabole, Jésus ne répond pas encore à la question, mais la retourne, il demande au légiste : "Qui s’est comporté comme le prochain de cet homme réduit à l’état d’impuissance et laissé pour mort ?" Et le légiste a répondu : le Samaritain, "celui qui a pratiqué la miséricorde envers lui". Tenant compte de la manière de présenter la question, Françoise Dolto, à qui nous empruntons ici cette analyse moins courante, se demande : à qui s’adresse en fin de compte le commandement de l’amour "tu aimeras ton prochain"? Ne serait-ce pas, d’une manière implicite, que c'est au blessé de la parabole que Jésus adresse le premier commandement? D’une manière implicite, Jésus ne lui demande-t-il pas d’aimer son 'prochain', puisque le Samaritain s'est montré être le 'prochain' du blessé.
Dès lors, si le blessé met en pratique la seconde partie du commandement, s’il entend aimer effectivement son prochain, comment le blessé pourra-t-il se montrer à l'égard du Samaritain son 'prochain', comme un 'débiteur, un esclave, complètement dépendant' ou bien comme 'librement aimant' ? Librement aimant, à n’en pas douter. En effet, le texte est sur ce point éclairant : les premiers soins accomplis, le Samaritain se retire, il donne deux deniers à l’hôtelier avec des recommandations, il continue son chemin, il ne demande rien à l’homme qu’il a sauvé, bref il part sans exiger de l’homme quoi que ce soit. Dès lors, si le blessé doit se montrer librement aimant à son égard, comment pourra-t-il régler sa dette d’amour, de reconnaissance, envers l’étranger qui l’a sauvé? Il ne pourra la régler, s’il en a les moyens et du temps disponible, qu’en faisant de même avec d’autres, il se mettra au service d’autres personnes. Le Samaritain a lancé – ou transmis – un courant d’amour. Le blessé transmettra à son tour le courant d’amour.
Ainsi, la parabole apporte deux lumières sur notre manière de nous comporter. Premièrement, si nous avons bénéficié de l’aide d’un frère lorsque nous étions dans la difficulté, nous devons aimer à vie celui qui nous a aidé à en sortir, même s’il est étranger (inconnu). Mais lui rendre ce qu'il nous a donné, nous ne pourrons souvent le faire que vis-à-vis de quelqu'un d'autre : si nous voyons nous-mêmes un frère dans la difficulté, il nous faudra payer notre dette en aidant cet autre frère dans la mesure de nos possibilités, en ne lui tournant pas le dos.

cette explication montre bien que le prochain, que ce soit d'un point de vue judaique ou chretien ne comprend pas les hommes qui sont enemis.

mon prochain n'est pa smon enemi, c'est celui qui m'a donne sa bonté.
donc par definition le prochain n'a pa sa etre pardonné.
 
Enfin, pour que Jésus abolisse la peine de mort, il aurai fallu qu'il fasse comme pour les autres choses, il aurai du dire : "Vous avez entendu que celui qui change de religion, tuez-le, hé bien moi je vous dit de ne pas le faire". Pourquoi Jésus n' a t-il pas dit cela comme pour les autres choses??????

c'est inutile.
Jesus nous a deja expliqué en mainte occasion la ligne d econdute d'un chretien.
il n' apa s besoin d'expliquer au ca spar cas.

l'Evangile c'est pas le Coran, c'est pas un manuel d'instruction religieux, c'est un guide spirituel.
 
ecoute, tu as toi meme poster que le prochain d'un homme n'est pa sla premiere personne venue, et encore moins un enemi.
donc soit tu est amnésique, soit tu es de mauvaise foi.
choisi.

C'est toi qui fait expres, regarde bien où tu ne comprend pas :

Toute personne n'est pas forcément son prochain, car pour l'etre, il faut aimer cet personne. Ainsi, ceux qui n'aimeront pas leurs prochains, ne pourront etre les prochains de tous. Mais, ceux qui aiment leurs prochains, seront les prochains de tous. Tu a compri? Creuse toi un peu plus la tete, je réexplique :

On dit qu'il existe deux types de personnes : ceux qui aiment leurs prochain comme eux meme et ceux qui n'aiment pas leurs prochain comme eux meme.

Ceux qui n'aiment pas leur prochain comme eux meme, ceux la n'aideront pas les gens. Donc, une personne qui leur vient en difficulté, ne sera pas aider par ce type de personne la, donc ils ne seront pas leur prochain.

Or, ceux qui aiment leur prochain comme eux meme, ceux l'a aideront les gens. Donc, une personne qui leur vient en difficulté, sera aider par ce type de personne la, donc, ils seront leur prochain.

Et dans l'ancien testament, Dieu OBLIGE a aimer son prochain comme soi meme. Automatiquement, il s'agit du type de personne qui aimer son prochain, et pour qui tous seront leur prochain.

tu comprend?
 
Matthieu: 15.3 : Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition?
15:4 : Car Dieu a dit : Honore ton père et ta mère ; et : Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.

houla tu tronque le passage

15.3
Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition?
15.4
Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.
15.5
Mais vous, vous dites: Celui qui dira à son père ou à sa mère: Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu, n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère.
15.6
Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition.
15.7
Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit:
15.8
Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi.

au contraire Jesus montre ici qu'il faut suivre la Loi non pas motà mot, mais avec sont coeur, ici il montre bien que le fond est plus important que la forme.
 
http://www.megaphone.org/maisondelabible/revue/dosetudes/homm2.htm


Matthieu, Marc et Luc rapportent tous les trois le grand commandement, où il est question notamment du prochain (Mt 22,34-40; Mc 12,28-34; Lc 10,25-28). Mais Luc ajoute une parabole où le prochain est également mentionné (Lc 10,29-37). Nous examinerons les deux textes de Luc, où il est question de prochain : l’échange entre un légiste et Jésus où figure le grand commandement, et la parabole du bon Samaritain qui le suit. Les chrétiens ont un sens du mot « prochain » différent de celui qu'avaient les Juifs du temps de Jésus. L’échange entre un légiste et Jésus fera ressortir toute la problématique entourant la notion de prochain. Car, avant d’interroger Jésus, le légiste avait une idée très précise sur la notion de prochain : tout fils faisant partie d’Israël. L’échange découvrira une autre dimension : le prochain est également l’étranger, dans ses divers sens.

le prochain PEUT etre n'importe qui meme un pecheur, mais le prochain n'EST pa sn'importe qui.
tu comprends la nuance ?

Au début du récit, dans la seconde partie du commandement, que le légiste a lu à la demande de Jésus, il est écrit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". Mais après cela Jésus n’avait pas répondu à la question du légiste : "Qui est mon prochain ?". Au terme de la parabole, Jésus ne répond pas encore à la question, mais la retourne, il demande au légiste : "Qui s’est comporté comme le prochain de cet homme réduit à l’état d’impuissance et laissé pour mort ?" Et le légiste a répondu : le Samaritain, "celui qui a pratiqué la miséricorde envers lui". Tenant compte de la manière de présenter la question, Françoise Dolto, à qui nous empruntons ici cette analyse moins courante, se demande : à qui s’adresse en fin de compte le commandement de l’amour "tu aimeras ton prochain"? Ne serait-ce pas, d’une manière implicite, que c'est au blessé de la parabole que Jésus adresse le premier commandement? D’une manière implicite, Jésus ne lui demande-t-il pas d’aimer son 'prochain', puisque le Samaritain s'est montré être le 'prochain' du blessé.
Dès lors, si le blessé met en pratique la seconde partie du commandement, s’il entend aimer effectivement son prochain, comment le blessé pourra-t-il se montrer à l'égard du Samaritain son 'prochain', comme un 'débiteur, un esclave, complètement dépendant' ou bien comme 'librement aimant' ? Librement aimant, à n’en pas douter. En effet, le texte est sur ce point éclairant : les premiers soins accomplis, le Samaritain se retire, il donne deux deniers à l’hôtelier avec des recommandations, il continue son chemin, il ne demande rien à l’homme qu’il a sauvé, bref il part sans exiger de l’homme quoi que ce soit. Dès lors, si le blessé doit se montrer librement aimant à son égard, comment pourra-t-il régler sa dette d’amour, de reconnaissance, envers l’étranger qui l’a sauvé? Il ne pourra la régler, s’il en a les moyens et du temps disponible, qu’en faisant de même avec d’autres, il se mettra au service d’autres personnes. Le Samaritain a lancé – ou transmis – un courant d’amour. Le blessé transmettra à son tour le courant d’amour.
Ainsi, la parabole apporte deux lumières sur notre manière de nous comporter. Premièrement, si nous avons bénéficié de l’aide d’un frère lorsque nous étions dans la difficulté, nous devons aimer à vie celui qui nous a aidé à en sortir, même s’il est étranger (inconnu). Mais lui rendre ce qu'il nous a donné, nous ne pourrons souvent le faire que vis-à-vis de quelqu'un d'autre : si nous voyons nous-mêmes un frère dans la difficulté, il nous faudra payer notre dette en aidant cet autre frère dans la mesure de nos possibilités, en ne lui tournant pas le dos.

cette explication montre bien que le prochain, que ce soit d'un point de vue judaique ou chretien ne comprend pas les hommes qui sont enemis.

mon prochain n'est pa smon enemi, c'est celui qui m'a donne sa bonté.
donc par definition le prochain n'a pa sa etre pardonné.



Faux, la preuve en est dans le versetr de la Bible qui dit :


Le Lévitique 19:18 (Louis Segond)
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Éternel.

"Tu ne te vengera pas" = une personne qui nous a fait du mal, qui a péché contre nous, un ennemi si tu prefere.

Ne fait pas semblant de ne pas comprendre.
 
houla tu tronque le passage

15.3
Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition?
15.4
Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.
15.5
Mais vous, vous dites: Celui qui dira à son père ou à sa mère: Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu, n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère.
15.6
Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition.
15.7
Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit:
15.8
Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi.

au contraire Jesus montre ici qu'il faut suivre la Loi non pas motà mot, mais avec sont coeur, ici il montre bien que le fond est plus important que la forme.



Pas du tout, tu essai de citer le passage en entier pour faire croire que je cite un passage or contexte, ce qui n'est pas vrai. Que dit Jésus? Il rappel un commandement de Dieu, et dit que les juifs ANNULE la parole de Dieu à leur profit. La partie en gras ne veut rien dire
 
C'est toi qui fait expres, regarde bien où tu ne comprend pas :

Toute personne n'est pas forcément son prochain, car pour l'etre, il faut aimer cet personne. Ainsi, ceux qui n'aimeront pas leurs prochains, ne pourront etre les prochains de tous. Mais, ceux qui aiment leurs prochains, seront les prochains de tous. Tu a compri? Creuse toi un peu plus la tete, je réexplique :

On dit qu'il existe deux types de personnes : ceux qui aiment leurs prochain comme eux meme et ceux qui n'aiment pas leurs prochain comme eux meme.

Ceux qui n'aiment pas leur prochain comme eux meme, ceux la n'aideront pas les gens. Donc, une personne qui leur vient en difficulté, ne sera pas aider par ce type de personne la, donc ils ne seront pas leur prochain.

Or, ceux qui aiment leur prochain comme eux meme, ceux l'a aideront les gens. Donc, une personne qui leur vient en difficulté, sera aider par ce type de personne la, donc, ils seront leur prochain.

Et dans l'ancien testament, Dieu OBLIGE a aimer son prochain comme soi meme. Automatiquement, il s'agit du type de personne qui aimer son prochain, et pour qui tous seront leur prochain.

tu comprend?

etant chretien cela fais un moment que le concept de prochain m'es connu....
que le concept d'amour de son procahin aussi.

et toi tu montr eencor eune foi ta mauvaise foi, car tu reconnait ici que le prochain est quelqu'un qui nous aime et non un enemi, alors tu peux arreter de faire l'amalgame entre le commandement d'aimer son prochain et le commandemant de'aimer et d eaprdonne rà ses enemis, ainsi tu pourras (peut-etre) comprendre les volontés du Christ vis a vis des mechants, qui est le pardon, et non la mort.

toi tu comprends ?
ou tu continus ta croisade pour tronquer le message de Jesus ?
 
Faux, la preuve en est dans le versetr de la Bible qui dit :


Le Lévitique 19:18 (Louis Segond)
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Éternel.

"Tu ne te vengera pas" = une personne qui nous a fait du mal, qui a péché contre nous, un ennemi si tu prefere.

Ne fait pas semblant de ne pas comprendre.

se vender et faire justice, c'est différend, la parole d eJesus c'est d'aller plus loin que la justice... c'est d epardonner.
tu comprend cela ?
la loi qu etu cite c'est de ne pas faire de vengeance de s'en remettree à la loi (du Talion)
jersus vas beaucoup plus loin.

de plus encor eune fois le prochain il n'y a aucune difficulter à l'aimer, Jesus dis bien qu'il faut aimer meme ses persecuteur.... c'est bien plus difficile que d'aimer son prochain.
 
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