Oued Noun
Sahraoui dial jbel
C'est surtout toi avec ton nif légendaire qui n'arrête pas de rabaisser ce qui est Algerien, mais moi je te rétablis des vérités qui devraient laisser insensible n'importe quel marocain sauf toi :
Lhistoire ne dit pas doù lui vient le royaume à la belle rousse. Etait-elle la femme dun roi devenue reine après son veuvage ? Avait-elle hérité le royaume de son père ? Dans les vallées et les plaines quelle avait parcourue, guerrière farouche sur son cheval intrépide, la reine Fatma unifia sur son passage tribus arabes et berbères, amies et ennemies .sa confiance alla plus aux femmes avec lesquelles, elle constitua et exclusivement le conseil des sages. Pourtant la trahison allait couper sa route la mort allait guider sa main même si celui qui périra par son épée nest autre que son frère Zoltan .celui qui a osé contesté en publique ses décisions plus tendre à légard du frère cadet, elle le poussa à lexil .Sellam peut-être limage du père fort qui léleva au rang de reine.
Dialogue hors du temps .dialogue entre femmes ; par bribes de souvenirs une passerelle pour la mémoire pour Fatma Tazoughert qui napparaît point dans les livres dhistoires, rejoignant dans loubli cette Lalla Fatma Nsoumer ainsi que bien dautres, pour lever le voile pour éclairer le temps, rayonner sur les crêtes enneigés des monts Chélia et Djurdjura pour une commune histoire, car voici venir le temps de la révolte voici venir pour nous Fatma Tazoughert, celle qui hérita de sa bien aimée mère Adhfella toute la science et la magie qui furent delle une bonne guérisseuse et une prêtresse redoutée. Quand elle arrivait sur les champs de batailles, habillée en fantassin lourdement armé, elle imposait respect et crainte. Les autres femmes encouragées par leur reine se battaient durement en lançant ces youyous stridents, cris de guerre, cris de mort disait-on. La légende parfois emboîte le pas à la réalité .et on retrouve sa trace au abord des villes de Marrakech, de Meknès et de Fès quelle réussit à prendre disait-on en 1566.
Forcement elle était belle la reine chawi au point où des guerriers se disputaient ses faveurs et elle fut mère disait-on de dix-sept enfants. Un script avait sans doute écrit les prouesses de la reine .avait suivi ses expéditions, notant minutieusement les faits les gestes des poètes, certes lont chanté nest-ce pas le pays de loralité. La reine méritait pourtant un script, na-t-elle pas été la légende rousse ? La légendaire rousse, dirais mon ami, lui qui excelle dans lexhumation dhistoires anciennes.
es mains habiles savaient tressés les tapis, les burnous- ajridi- les authentiques et savaient montés si bien les chevaux avec habileté et grâce. Ses ennemis la craignaient et ses amis ladulaient. Lhistoire sarrêta là pas plus pas un souffle, pas un écrit .le secret se referma sur sa personne ..Elle qui inspira le grand poète El Mejdoub né à Tit, sur la bordure du Maroc Atlantique, entre El Jadida et Azemmour."
Mais bon elle n'a pas colonisé le Maroc biensûr, de toute façon elle était autant chez elle que dans les aurès puisque c'était un bled 100% berbere.
PS : zoltan est mon ancêtre et le nom de ma tribu !
Disais t-on mdrrrr la blague !!
Arrete de faire betement des copié collé alors que tu n'y connais rien, y a 4 siecles de difference entre elle et les almohade et tu me dis qu'elle a repoussé les almohades mdr.
"Selon la légende , cette grande guerrière aurait pris les villes de Marrakech, Meknès et Fès en 1566, point qui n'est à ce jour rapporté dans aucun ouvrage historique et confirmé par aucun historien. Cette prise improbable de ces 3 villes impériales du Maroc aurait inspiré Sidi Abderrahman El Mejdoub, poète marocain populaire du XVIe siècle , qui lui a consacré un pamphlet"