La datte medjoul Marocaine

« La datte medjoul est née au Maroc et non en Palestine occupée »​


Si Israël, la Californie et la Jordanie sont les principaux producteurs et exportateurs dans le monde de dattes medjoul (ou medjhoul), cette variété a pour origine le Maroc. Importateur en France, Atmane Idrissi, dont la famille cultive la medjoul à Boudnib, dans la région de Drâa-Tafilalet, nous en dit plus.


Al-Kanz : Originellement, la variété de dattes « medjoul » vient du Maroc et non de la Palestine occupée, n’est-ce pas ?
Atmane Idrissi :
Précisons tout d’abord que le mot « medjhoul » en arabe signifie « inconnu », « anonyme ». Ce qui est plutôt cocasse pour cette datte aujourd’hui mondialement connue et reconnue.


La variété de dattes medjoul a en effet pour origine le sud du Maroc, plus précisément la ville saharienne de Boudnib dans la région de Drâa-Tafilalet ou, à une centaine de kilomètres de là, la ville d’Aoufous. Il y a divergence sur le sujet.


Elle doit sa notoriété aux commerçants de la région de Tafilfalt grâce à qui, depuis le désert, elle rejoignit les côtes marocaines puis l’Europe.

Marocaine pendant des siècles, elle fut exportée au début du XXe siècle en Californie, puis en Palestine. On en trouve actuellement dans de nombreux pays où la culture de la datte est implantée, comme au Pakistan ou même en Thaïlande.

Al-Kanz : Comment expliquer que cet héritage marocain se soit perdu au profit de la medjoul israélienne ?
Atmane Idrissi :
Ce n’est pas le seul héritage qui a échappé aux Marocains. Citons rapidement la cuisine ou la maroquinerie.

Le Maroc a été un grand carrefour commercial au rôle clé dans les échanges entre l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Europe. Ses innombrables oasis, par exemple, faisaient office de flux caravaniers.

Mais à partir de la conquête des Amériques, les Européens réduisent leur dépendance à l’or africain qui transite par le Maroc en s’accaparant celui du Nouveau Monde. Ces nouvelles routes commerciales changent la donne. Si le Royaume conserve un rôle important, les Etats européens privilégient l’Atlantique.

Les oasis du Sud après avoir connu leur temps de gloire sont abandonnées. Les palmeraies, plus entretenues, subissent des vagues d’épidemies de bayoud, un champignon qui s’attaque au système vasculaire du palmier et qui empêche l’acheminement de l’eau et des nutriments.

La sechèresse sans précédent qui frappe l’Afrique en 1973 tarit les quatre grands lacs du Mali ainsi que les oasis du Maroc. Frappées de plein fouet, les palmeraies voient leur productivité s’effondrer et leur écosystème mis en péril.
 
Dans le même temps, en Californie et en Palestine occupée, les fermes sont modernisées, de nouveaux systèmes d’irrigation sont inventés, la medjoul est largement mise en avant.


Il faudra attendre 2008 et le Plan Maroc Vert mis en place par les autorités pour que le Royaume renoue avec les régions du Sud. Dès lors, la revivification des palmeraies devient une des priorités du pays.


Al-Kanz : Depuis quelques années, vous avez décidé de remettre au goût du jour la medjoul marocaine en commercialisant les dattes cultivées dans l’exploitation familiale au Maroc. Pourquoi ce choix ?
Atmane Idrissi :
En réalité, ce n’est pas un choix, mais l’héritage de mes aïeux.


Mon grand-père transporta sur son dos un jeune palmier sur une distance de plus de 60 kilomètres pour le planter dans nos champs.


Pour irriguer les palmiers, il fabriqua ses propres khettara, un système traditionnel de gestion des eaux et d’irrigation, qui permet d’amener l’eau grâce à la gravité. Pour l’anecdote, sous la colonisation française, il fut forcé d’en réaliser pour le compte d’autres exploitants. Certaines sont à ce jour toujours fonctionnelles.

Depuis, nous avons nos propres dattiers. C’est cet héritage que ma famille a voulu perpétuer en alliant nos acquis et les moyens modernes à notre disposition.

Al-Kanz : Qu’avez-vous entrepris personnellement depuis que vous avez décidé de porter ce projet ?
Atmane Idrissi :
Je me suis appliqué à moderniser la ferme familiale, la ferme El Amine, aujourd’hui équipée des dernières technologies en matière d’irrigation. 95 % de notre énergie est produite grâce à des panneaux solaires. Enfin, nos installations et nos process ont été mis aux normes voilà un an et demi dans le but d’être prochainement certifié Agriculture biologique (AB).

Al-Kanz : Pourriez-vous nous indiquer les principales étapes entre la plantation de dattiers à Boudnib et la vente par votre entreprise en Ile-de-France ?
Atmane Idrissi :
Les étapes sont les suivantes :

  • Il faut tout d’abord faire le bon choix de la parcelle, qui doit être adaptée à la culture du palmier dattier. Si cet arbre supporte assez bien l’eau salée du désert, il est préférable de le planter non loin d’une source d’eau douce.
  • Ensuite, on procède au terrassement des sols, avant de planter les jeunes pousses en les espaçant d’une dizaine de mètres, afin de favoriser leur ensoleillement.
  • Sept à huit ans plus tard, les premiers fruits apparaissent. C’est là et seulement là que débutent véritablement les récoltes et la commercialisation des dattes.
 
Si nous avons repris en main l’activité familiale en 2014, nous avons obtenu nos premières récoltes significatives qu’en 2022. Autant dire que la culture des dattes requiert de la patience. Je rappellerai à cet égard le hadith du Prophète ﷺ dans lequel il compare le croyant au palmier, cet arbre patient face à la brise violente et persistant face à l’adversité.


Aujourd’hui, nous sommes à la recherche de marchés locaux, au Maroc, et de clients à l’exportation, notamment en France.


Al-Kanz : Nous avons pu goûter vos dattes medjool. Si leur texture, leur taille, leur forme s’apparente à leurs cousines palestiniennes, leur goût est plus proche de celles de la variété bien connue deglet nour. Comment l’expliquer ?
Atmane Idrissi : Je ne voudrais pas trop m’avancer, je ne suis pas agronome. On peut toutefois expliquer cela du fait d’abord par la variété choisie par le cultivateur, mais aussi de l’eau utilisée pour irriguer les palmeraies. Enfin, le type de terre est à prendre en considération.

Il faut ajouter que des oasis au Maghreb, d’Errachidia au Maroc à Biskra en Algérie, jouissent d’un climat identique. Peut-être que les dattes nous rappellent à leur manière que l’Algérie et le Maroc ne font au fond qu’un (ndlr N IMPORTE QUOI :D)


Al-Kanz : Pour finir, comment les lectrices et les lecteurs d’Al-Kanz peuvent-ils se procurer vos dattes ?
Atmane Idrissi : Le plus simple est de nous contacter directement :
– par WhatsApp au numéro suivant : +33 06 29 64 80 53
– par email à l’adresse : commande@centralefood.com
– ou encore via notre site www.centralefood.com.



Nous répondrons aux consommateurs qui nous contacteront, tout comme aux professionnels et autres commerçants qui souhaitent devenir revendeurs de nos dattes.
 

Les dattes marocaines à la conquête du marché belge​



Depuis 2016, Enabel travaille en étroite collaboration avec les producteurs de dattes dans les zones oasis de Mezguita et Ferkla au Maroc pour améliorer durablement leurs revenus.​


Enabel a facilité une collaboration entre les membres du Groupe d’Intérêt Economique (GIE) Mezguita et Colruyt Group. Cet accord garantit aux producteurs de dattes affiliés un marché stable de 60 tonnes par an en Belgique pendant trois ans.
Le groupe Mezguita réunit 10 coopératives regroupant au total 152 agriculteurs, dans la province de Zagora, située au sud-est du Maroc. Il s’agit de la première palmeraie du fleuve Draâ, qui serpente dans le désert marocain et irrigue une dizaine de palmeraies traditionnelles. Les agriculteurs de cette région ont choisi de s’unir pour augmenter leur capacité financière et professionnaliser ensemble leurs petites entreprises.

A travail égal, salaire égal


Colruyt Group paie le kilogramme de dattes au groupe d’intérêt 15 % de plus que ce qu’il gagnerait sur le marché marocain. Ce surplus assure un revenu stable aux agriculteurs et peut être réinvesti par les coopératives pour l’achat de matériel, par exemple.
Abdelaziz Lajwad, producteur de dattes et membre du GIE Mezguita, témoigne : « En vendant une grande partie de notre récolte à un prix équitable et de manière durable, nous sommes en mesure d’améliorer nos revenus. Cela nous permet par exemple d’offrir à nos enfants une éducation de qualité, mais également de leur garantir un accès à une meilleure protection sociale. »
Environ 1/8 du volume total produit par le GIE Mezguita, soit 400 tonnes par an, est acheté par Colruyt Group. Une relation saine, tant pour les agriculteurs – qui ne deviennent pas trop dépendants d’un seul gros acheteur – que pour le groupe Colruyt Group.
« En travaillant en étroite collaboration avec les agriculteurs, l’Agence marocaine pour le Développement Agricole et Enabel, nous avons mis en place une chaîne de production durable pour les dattes qui garantit aux agriculteurs un débouché stable. Dans nos projets de chaînes internationales, tous les partenaires travaillent en étroite collaboration. La réflexion à long terme et les solutions gagnant-gagnant pour tous les partenaires de la chaîne sont essentielles. De cette façon, nous mettons en pratique les achats durables, d’une manière qui va beaucoup plus loin que ce que vous pouvez obtenir grâce à la certification ou aux audits,» déclare Karen Janssens, membre du Product Sustainability Team de Colruyt Group.

Depuis le début du partenariat, le GIE a généré 2000 jours de travail par an pour les jeunes agriculteurs et agricultrices.
 
Il est souvent difficile pour les petits producteurs de satisfaire aux exigences d’exportation européennes. Les normes techniques, sanitaires et d’hygiène imposées par l’Union européenne étant nombreuses. Enabel soutient ses partenaires au Maroc pour les aider à démêler cette complexité administrative et les accompagne afin qu’ils puissent obtenir les certificats nécessaires pour exporter vers l’UE.


Cela ouvre également d’autres possibilités pour les producteurs de dattes. Une fois qu’ils satisfont aux conditions d’exportation, ils peuvent chercher un marché dans d’autres pays membres de l’UE. C’est un avantage commercial important pour les acheteurs potentiels, dont ils tiennent compte.


Si exporter un produit est une chose, le commercialiser en est une autre. Pour assurer le succès et la pérennité du projet, Colruyt Group et Enabel accompagnent le GIE à différents niveaux :


  • la professionnalisation de l’aspect et la valorisation des dattes (packaging, conditionnement, standards qualité) ;
  • la professionnalisation de la chaîne d’exportation (transport, logistique, dédouanement, planning, gestion des contentieux) ;
  • le marketing (techniques de négociation et de promotion des dattes en Europe, contrats de vente) ;
  • le montage et la gestion du projet social (gestion des bénéfices, des actions sociales).
Le GIE Mezguita souhaite également pratiquer une agriculture respectueuse de l’environnement. Enabel a soutenu les agriculteurs en finançant l’installation de panneaux solaires et la plantation de 300 palmiers dattiers supplémentaires.

Grâce aux panneaux solaires, le groupe d’intérêt a pu réduire sa facture d’électricité de 70 % dans son unité de production, tout en évitant la production de 70 tonnes de CO2 par an.

Aucun pesticide, herbicide ou produit chimique n’est utilisé dans les vergers de dattes. Le système d’irrigation modernisé est basé sur des pratiques traditionnelles respectueuses de l’environnement.
 
Sensible à l’égalité de genres, le GIE implique de plus en plus de femmes dans les organes de gouvernance, les organisations d’actions de sensibilisation sur les pratiques environnementales, et la contribution au rajeunissement de la palmeraie en plantant des palmiers.


La Fondation Collibri de Colruyt Group, qui soutient des jeunes en situation difficile, s’inscrit également dans cette démarche sociale. “Dans le cadre de ce partenariat, un programme de formation sera élaboré pour les jeunes”, explique Abdelaziz Lajwad. Les jeunes de la région de Mezguita pourront y participer. L’objectif est également de les sensibiliser à divers métiers agricoles, mais également aux métiers numériques ou en lien avec l’adaptation au changement climatique.


Il est désormais possible d’acheter les dattes en question dans plus de 400 magasins Colruyt, Okay et 30 magasins Bio-Planet en Belgique.



Un peu d’histoire







  • Le GIE Mezguita n’est qu’un des 25 GIE dans la zone des oasis du Maroc avec lesquels Enabel collabore. Nous soutenons le développement de leur organisation et le renforcement de la croissance professionnelle des agriculteurs grâce à des formations et un accompagnement.
  • Les 25 GIE représentent un total de 7939 agriculteurs affiliés, dont 1774 femmes et 2678 jeunes.
  • Par le biais de la coopération belge, nous collaborons depuis 10 ans avec des partenaires du secteur des palmiers dattiers dans différentes zones oasis marocaines.
  • Depuis 2021, nous mettons également l’accent sur l’entrepreneuriat rural, en mettant l’accent sur la commercialisation (numérique) des produits à base de dattes par les femmes et les jeunes.
 
ça date de 2022...

Le Maroc, nouvel eldorado de la Medjool ?

Mais un nouvel acteur pourrait venir tirer les prix un peu plus à la baisse sur le marché européen : il s’agit du Maroc qui vient d’envoyer pour ce ramadan deux conteneurs tests sur le marché parisien de Rungis. Ces dattes ont été produites dans la plus grande ferme du pays dans la région d’Errachidia. À l’origine, le groupe Saham, qui a planté 55 000 palmiers dattiers et vise une production de 7 500 tonnes par an. Cet immense projet agricole s’appuie sur un processus de tri par traitement optique pour une qualité et un calibre optimal, mais aussi sur une unité d’emballage ultra-moderne.

 

tizniti

Soyons sérieux .
Sensible à l’égalité de genres, le GIE implique de plus en plus de femmes dans les organes de gouvernance, les organisations d’actions de sensibilisation sur les pratiques environnementales, et la contribution au rajeunissement de la palmeraie en plantant des palmiers.
Le GIE fait un travail admirable.
L'égalité des genres fait référence à l'égalité des droits, des responsabilités et des opportunités entre les genres en prenant en considération les différents intérêts, besoins et priorités et en reconnaissant la diversité des différents groupes de femmes et d'hommes.
 

Izaia

Heal the World.....
VIB
Je me réjouis de déguster vos véritables dattes en espérant pouvoir en acheter en Suisse. Ici j'ai goûté une fois une californienne mais la plupart viennent de la colonie sioniste donc on mange les Deglet Nour de chez nous ou dz.
La datte Medjoul mérite à être connue et dégustée, elle est très différente en saveur
 
Les producteurs marocains de Mejhoul ont boudé les exportations en raison de la forte demande sur le marché intérieur, et sont maintenant confrontés à la concurrence de pays qui ont adopté la variété comme Israël, la Jordanie, les États-Unis ou l'Égypte. Medjool Star veut récupérer le patrimoine marocain et s'est donné pour mission de « porter la bannière de la promotion du Mejhoul dans le monde », selon M. Reda Bennani, directeur général de la société.


« Le marché marocain est toujours fort et en forte demande de dattes de bonne qualité. Avec l'entrée en production de nouvelles plantations modernes et surtout celle de Medjool Star, les consommateurs redécouvrent une variété locale haut de gamme qui stimule la demande et les fait se détourner des dattes importées. »

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Cette tendance reste valable en cette saison, et dans un contexte d'inflation qui perturbe le comportement des consommateurs. « Bien que le marché de l'exportation soit un peu moins dynamique en ce début de saison du fait de l'inflation galopante en Europe, une forte tendance prend racine : celle de la consommation de produits sains et nutritifs, et elle stimule la consommation de Mejhoul. A ces consommateurs, nous voulons rappeler qu'au départ, la Mejhoul est marocaine. »

« En tant que première marque d'exportation de Mejhoul, nous nous efforçons de promouvoir l'origine marocaine de ce produit exceptionnel. Mais il ne s'agit pas uniquement d'histoire : la datte Mejhoul marocaine est différente des autres pays. La variété marocaine est de couleur brun rougeâtre, avec un goût sucré et un arrière-goût caramélisé. Nous avons la particularité de produire des dattes avec un taux d'humidité compris entre 22 et 27 %, ce qui donne un fruit juteux, doux et sucré. Un taux d'humidité inférieur donnerait une datte plus sèche et plus fibreuse et donc moins agréable en bouche - complètement éloigné de son goût original. » En parlant de fruits littéralement plus secs, le producteur marocain fait référence aux dattes issues de la production des pays du Moyen-Orient.

« Nous disposons de l'une des exploitations les plus avancées au niveau technologique, avec un système de code QR unique pour chacun de nos 55 000 palmiers. Cela nous permet de suivre en détail tous les intrants, la main d'œuvre et le rendement. Grâce à cette approche axée sur les données, nous pouvons optimiser le rendement et les spécifications des fruits. « L'entreprise a également investi dans des installations de séchage pour fournir différents niveaux d'humidité selon les normes d'exportation de chaque marché de destination. »
 
Quant aux débouchés, Medjool Star renforce sa position de leader sur le marché de détail marocain tout en répondant activement à une demande croissante des marchés d'exportation. « À terme, notre potentiel de production est de 6 500 tonnes par an, dont 80 % seront exportés. Nous exportons actuellement vers l'Europe et nous nous étendons vers l'Amérique du Nord et le Moyen-Orient. Avec les gros volumes que nous prévoyons dans les années à venir (environ 5000 tonnes dans les 5 à 6 prochaines années), nous envisageons de conquérir le monde entier. »


Pour se démarquer de la concurrence mondiale, l'entreprise s'appuie sur ses avantages concurrentiels : « Notre entreprise est infiltrée dans l'ensemble de la chaîne de valeur ajoutée, nous possédons et gérons la production, le conditionnement et l'exportation, nous avons donc un contrôle total sur la qualité sans qu'aucun intermédiaire n'intervienne. Nous prévoyons également d'investir dans une centrale solaire afin de réduire nos coûts énergétiques et notre impact environnemental. »

« Au-delà du contrôle des coûts et de l'offre d'une qualité élevée tout en conservant des prix abordables pour les consommateurs finaux, nous sommes toujours à l'écoute de nos marchés et adaptons rapidement nos possibilités de conditionnement à la demande. Ainsi, nous proposons des emballages de 5kg, 1kg ou 500 grammes adaptés aux familles et aux fêtes, comme nous pouvons également proposer des colis à unités uniques ou multiples adaptées à la consommation quotidienne. »

La production marocaine de Mejhoul, et le secteur agricole en général, sont confrontés à la sécheresse persistante. Une préoccupation qui reste au centre de l'attention de Medjool Star. « Nous effectuons une série d'essais pour des solutions innovantes visant à optimiser notre utilisation des ressources en eau dans les années à venir. Nous combinons déjà les données de notre station météorologique locale avec l'analyse d'images satellites ainsi que l'analyse de l'absorption du sol pour fournir les besoins en eau les plus adéquats pour nos palmiers. D'autres solutions innovantes sont également testées en vue d'un déploiement futur. »

Pour plus d'informations :
Reda Bennani
Mejdool Star
Tél. : +212 682 96 50 03
reda.bennani@medjoolstar.com
www.medjoolstar.com

Date de publication: lun. 28 nov. 2022
 

mioulo

VIB
Je me réjouis de déguster vos véritables dattes en espérant pouvoir en acheter en Suisse. Ici j'ai goûté une fois une californienne mais la plupart viennent de la colonie sioniste donc on mange les Deglet Nour de chez nous ou dz.
La datte Medjoul mérite à être connue et dégustée, elle est très différente en saveur
C'est une bonne datte,.malheureusement elle fait l'objet de beaucoup de trafic au point que perso je vois medjoul ça me fait penser direct aux sionistes et leurs magouilles.
Mais je vais voir sur Tanger on peut trouver peut être de la marocaine pour la famille, j'en rafole pas des masses.
 

Les dattes marocaines à la conquête du marché belge​



Depuis 2016, Enabel travaille en étroite collaboration avec les producteurs de dattes dans les zones oasis de Mezguita et Ferkla au Maroc pour améliorer durablement leurs revenus.​


Enabel a facilité une collaboration entre les membres du Groupe d’Intérêt Economique (GIE) Mezguita et Colruyt Group. Cet accord garantit aux producteurs de dattes affiliés un marché stable de 60 tonnes par an en Belgique pendant trois ans.
Le groupe Mezguita réunit 10 coopératives regroupant au total 152 agriculteurs, dans la province de Zagora, située au sud-est du Maroc. Il s’agit de la première palmeraie du fleuve Draâ, qui serpente dans le désert marocain et irrigue une dizaine de palmeraies traditionnelles. Les agriculteurs de cette région ont choisi de s’unir pour augmenter leur capacité financière et professionnaliser ensemble leurs petites entreprises.

A travail égal, salaire égal


Colruyt Group paie le kilogramme de dattes au groupe d’intérêt 15 % de plus que ce qu’il gagnerait sur le marché marocain. Ce surplus assure un revenu stable aux agriculteurs et peut être réinvesti par les coopératives pour l’achat de matériel, par exemple.
Abdelaziz Lajwad, producteur de dattes et membre du GIE Mezguita, témoigne : « En vendant une grande partie de notre récolte à un prix équitable et de manière durable, nous sommes en mesure d’améliorer nos revenus. Cela nous permet par exemple d’offrir à nos enfants une éducation de qualité, mais également de leur garantir un accès à une meilleure protection sociale. »
Environ 1/8 du volume total produit par le GIE Mezguita, soit 400 tonnes par an, est acheté par Colruyt Group. Une relation saine, tant pour les agriculteurs – qui ne deviennent pas trop dépendants d’un seul gros acheteur – que pour le groupe Colruyt Group.


Depuis le début du partenariat, le GIE a généré 2000 jours de travail par an pour les jeunes agriculteurs et agricultrices.
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Le Maroc a intérêt a bien indiquer partout sur les boîte MADE IN MOROCCO et PRODUIT AU MAROC pour éviter toute confusion avec les produits des colonies illégales.

Marquer uniquement Madjoul va lui faire manquer des parts de marché vu la tromperie israelienne qui indique Madjoul pour masquer la provenance et entretenir la confusion.

Il devrait même se payer une petite pub durant une semaine pour encore faire promouvoir le produit national question de se faire mieux connaître et evacuer toute confusion dont les faussaires israeliens ont profité


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Le Maroc a intérêt a bien indiquer partout sur les boîte MADE IN MOROCCO et PRODUIT AU MAROC pour éviter toute confusion avec les produits des colonies illégales.

Marquer uniquement Madjoul va lui faire manquer des parts de marché vu la tromperie israelienne qui indique Madjoul pour masquer la provenance et entretenir la confusion.

Il devrait même se payer une petite pub durant une semaine pour encore faire promouvoir le produit national question de se faire mieux connaître et evacuer toute confusion dont les faussaires israeliens ont profité


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Il n'y a pas tromperie en étiquetant leur produit Medjool puisque c'est (malheureusement - voir les raisons plus haut) bien la variété dont il est question.
La tromperie consisterait à indiquer que le produit est cultivé au Maroc alors qu'il proviendrait d’Israël...rappelons au passage qu'en matière de fraude alimentaire, qu'elle soit à l'initiative du fabricant/producteur, du distributeur ou du commerçant, Israël n'invente rien...et comme je te le disais sur un autre fil de discussion, c'est bien d'appeler les gens à la vigilance....en ce qui me concerne pas de boycott aveugle....à chacun de bien s'informer....les marocains souffrent déjà des appels récurrents au boycott de la part des européens sur leurs fruits et légumes, on va pas ajouter une couche sous prétexte qu’Israël est susceptible de surfer sur l'origine Marocaine pour éconduire les consommateurs...chacun doit s'informer....et j'espère que les dattiers Israéliens ne font pas vivre des familles Palestiniennes.....
 

mioulo

VIB
Il n'y a pas tromperie en étiquetant leur produit Medjool puisque c'est (malheureusement - voir les raisons plus haut) bien la variété dont il est question.
La tromperie consisterait à indiquer que le produit est cultivé au Maroc alors qu'il proviendrait d’Israël...rappelons au passage qu'en matière de fraude alimentaire, qu'elle soit à l'initiative du fabricant/producteur, du distributeur ou du commerçant, Israël n'invente rien...et comme je te le disais sur un autre fil de discussion, c'est bien d'appeler les gens à la vigilance....en ce qui me concerne pas de boycott aveugle....à chacun de bien s'informer....les marocains souffrent déjà des appels récurrents au boycott de la part des européens sur leurs fruits et légumes, on va pas ajouter une couche sous prétexte qu’Israël est susceptible de surfer sur l'origine Marocaine pour éconduire les consommateurs...chacun doit s'informer....et j'espère que les dattiers Israéliens ne font pas vivre des familles Palestiniennes.....
Ces dattiers, les anciens, appartenaient aux palestiniens et ils possèdent toujours environt 20 ha de dattiers ce qui n'est pas grand chose. Faut pas pousser en affirmant que les israéliens font vivre mes palestiniens, ils vivaient bien avant la colonisation, ils ne les sauvent de rien du tout bien au contraire, ils font de leur vie un enfer.

Par contre les seuls à cacher la provenance de leur produit ce sont les israeliens, si il étaient sur d'être aussi soutenu comme ils le prétendent, il ne le ferait pas.
 

mioulo

VIB
Oui...ça m'a fait penser à la marque soin des cheveux " Moroccanoil" qui est israélienne, même si les produits ont de l'argan marocain comme ingrédient phare....c'est un peu du vol et il y a même un peu tromperie
Ils s'approprient tout ce qui peut leur faire faire de l'argent, la tromperie c'est leur fond de commerce,on a quand même à faire aux pires voleurs de l'histoire.
 
Il n'y a pas tromperie en étiquetant leur produit Medjool puisque c'est (malheureusement - voir les raisons plus haut) bien la variété dont il est question.
La tromperie consisterait à indiquer que le produit est cultivé au Maroc alors qu'il proviendrait d’Israël...rappelons au passage qu'en matière de fraude alimentaire, qu'elle soit à l'initiative du fabricant/producteur, du distributeur ou du commerçant, Israël n'invente rien...et comme je te le disais sur un autre fil de discussion, c'est bien d'appeler les gens à la vigilance....en ce qui me concerne pas de boycott aveugle....à chacun de bien s'informer....les marocains souffrent déjà des appels récurrents au boycott de la part des européens sur leurs fruits et légumes, on va pas ajouter une couche sous prétexte qu’Israël est susceptible de surfer sur l'origine Marocaine pour éconduire les consommateurs...chacun doit s'informer....et j'espère que les dattiers Israéliens ne font pas vivre des familles Palestiniennes.....
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C la seconde fois que tu me dis qu'il ne faut pas de boycott aveugle alors qu'au contraire j'ai dit que j'avais fait plusieurs magasins pour avoir des dattes maghrébines pour éviter les dattes israeliennes.
Et que j'ai dit que le Maroc doit bien indiquer la provenance bien visible des dattes en mettant Produit au Maroc et Made in Morocco pour que les gens ne se fassent pas avoir par les magouilles israeliennes qui sèment le doute.

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Ces dattiers, les anciens, appartenaient aux palestiniens et ils possèdent toujours environt 20 ha de dattiers ce qui n'est pas grand chose. Faut pas pousser en affirmant que les israéliens font vivre mes palestiniens, ils vivaient bien avant la colonisation, ils ne les sauvent de rien du tout bien au contraire, ils font de leur vie un enfer.

Par contre les seuls à cacher la provenance de leur produit ce sont les israeliens, si il étaient sur d'être aussi soutenu comme ils le prétendent, il ne le ferait pas.

J'émets simplement des réserves sur l'efficacité/la pertinence d'un boycott aveugle des produits notamment ceux en provenance d’Israël puisque les fermes agricoles font vivre des palestiniens (en concurrence avec d'autres nationalités) et je le dis sans emphase, il est évident que les Palestiniens vivraient mieux sans le joug colonial.

J'ai l'impression que les gens perdent toute objectivité quand il s'agit de ce conflit. Comment on peut être à l'aise avec l'idée de priver un palestinien d'un revenu sous prétexte que ça enrichit un israélien alors que de l'autre côté, on observe que Facebook est la plateforme préférée des Marocains (même si un peu perte de vitesse ces derniers temps)....on enrichit bien plus israel en surfant sur le net qu'en achetant une fois l'an un paquet de dattes.

Il est évident qu'ils cachent la provenance de leurs produits. Ils ont peut-être le soutien des états mais pas celui des consommateurs. Est-ce que ce-sont les seuls ? Pas certaine. Par contre eux c'est bien visible parce que ça concerne (quasiment) l'ensemble de leur production. En début d'année, il y a eu un sujet sur les poulets ukrainiens vendus sous étiquette UE en France.

Après faut pas perdre de vue que certains profitent de ces campagnes de boycott pour nuire au Maroc...
 
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C la seconde fois que tu me dis qu'il ne faut pas de boycott aveugle alors qu'au contraire j'ai dit que j'avais fait plusieurs magasins pour avoir des dattes maghrébines pour éviter les dattes israeliennes.
Et que j'ai dit que le Maroc doit bien indiquer la provenance bien visible des dattes en mettant Produit au Maroc et Made in Morocco pour que les gens ne se fassent pas avoir par les magouilles israeliennes qui sèment le doute.

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J'ai toujours vu la datte Algérienne Deglet Nour disponible sur le marché.
Je veux bien croire que j'ai toujours eu de la chance (pour les dattes s'entend)...et qu'ailleurs, ça ne soit pas le cas.
Et, j'ai pas l'impression que les dattes Marocaines souffrent d'insuffisance d'étiquetage. Après, on est pas un grand exportateur de dattes bien au contraire, on en importe beaucoup.

Je t'ai également donné raison quand il s'est agi d'appeler les gens à la vigilance, que chacun puisse faire un achat éclairé selon ses convictions.

A ma façon, à travers nos échanges, je contribue à remettre la datte Marocaine sous les feux des projecteurs :p en attendant qu'elle reprenne sa place sur le haut du podium.
 
J'ai toujours vu la datte Algérienne Deglet Nour disponible sur le marché.
Je veux bien croire que j'ai toujours eu de la chance (pour les dattes s'entend)...et qu'ailleurs, ça ne soit pas le cas.
Et, j'ai pas l'impression que les dattes Marocaines souffrent d'insuffisance d'étiquetage. Après, on est pas un grand exportateur de dattes bien au contraire, on en importe beaucoup.

Je t'ai également donné raison quand il s'est agi d'appeler les gens à la vigilance, que chacun puisse faire un achat éclairé selon ses convictions.

A ma façon, à travers nos échanges, je contribue à remettre la datte Marocaine sous les feux des projecteurs :p en attendant qu'elle reprenne sa place sur le haut du podium.
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C pour cela que j'avais préconisé une petite campagne de pub dans la foulée afin de faire connaître le produit dattier marocain qui est moins connu à l'étranger.

Une petite semaine suffit.

Mais il est vrai aussi que le Maroc exporte moins de dattes.

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tizniti

Soyons sérieux .
A ma façon, à travers nos échanges, je contribue à remettre la datte Marocaine sous les feux des projecteurs :p en attendant qu'elle reprenne sa place sur le haut du podium.
En plus, elle est très bonne.
Lorsque je vivais avec mes parents à Tiznit, on avait dans notre propriété, entre autres, plusieurs palmiers dattiers.
C'était une époque bénie .
 

mioulo

VIB
J'émets simplement des réserves sur l'efficacité/la pertinence d'un boycott aveugle des produits notamment ceux en provenance d’Israël puisque les fermes agricoles font vivre des palestiniens (en concurrence avec d'autres nationalités) et je le dis sans emphase, il est évident que les Palestiniens vivraient mieux sans le joug colonial.

J'ai l'impression que les gens perdent toute objectivité quand il s'agit de ce conflit. Comment on peut être à l'aise avec l'idée de priver un palestinien d'un revenu sous prétexte que ça enrichit un israélien alors que de l'autre côté, on observe que Facebook est la plateforme préférée des Marocains (même si un peu perte de vitesse ces derniers temps)....on enrichit bien plus israel en surfant sur le net qu'en achetant une fois l'an un paquet de dattes.

Il est évident qu'ils cachent la provenance de leurs produits. Ils ont peut-être le soutien des états mais pas celui des consommateurs. Est-ce que ce-sont les seuls ? Pas certaine. Par contre eux c'est bien visible parce que ça concerne (quasiment) l'ensemble de leur production. En début d'année, il y a eu un sujet sur les poulets ukrainiens vendus sous étiquette UE en France.

Après faut pas perdre de vue que certains profitent de ces campagnes de boycott pour nuire au Maroc...
L'argument de dire que ça faire vivre des palestiniens est éculé. Toutes les terres exploitées sont à l'origine palestiniennes.
Mettre dans la balance la vie d'enfants, de civils massacrés et l'argent faut pas exagérer.
Se rendre complice d'un génocide c'est hors de question.

Les dattes sont produites en Cisjordanie, ce sont de terres occupées selon le droit internationale et je doute fort qu'on y trouve des ouvriers palestiniens. C'est sur des cadavres que sont produites ces dattes.

Je boycott absolument tout ce qui est israélien et même au delas, qu'on me traite de ce qu'on veut.

Je ne vois pas comment boycotter les produits israéliens peut nuir au Maroc.
 
L'argument de dire que ça faire vivre des palestiniens est éculé. Toutes les terres exploitées sont à l'origine palestiniennes.
Mettre dans la balance la vie d'enfants, de civils massacrés et l'argent faut pas exagérer.
Se rendre complice d'un génocide c'est hors de question.

Les dattes sont produites en Cisjordanie, ce sont de terres occupées selon le droit internationale et je doute fort qu'on y trouve des ouvriers palestiniens. C'est sur des cadavres que sont produites ces dattes.

Je boycott absolument tout ce qui est israélien et même au delas, qu'on me traite de ce qu'on veut.

Je ne vois pas comment boycotter les produits israéliens peut nuir au Maroc.

Dans les colonies la main d'oeuvre est thaïlandaise désormais.

Et les palestiniens ne peuvent acceder à leurs champs..du moins pour ce qu'il reste.

Les affamer les tuer...c du nettoyage ethnique.

Tout ceci pour pousser les autochtones à partir.

Tout ceci est appliqué depuis 1948...c donc la

poursuite du nettoyage ethnique pour le

grand Israel.

Ce qui se passe n'est que l'application du plan

Dalet de Ben Gourion appliqué en 1947.

Mais pour ne pas devoir mettre en accusation

Israel on préfère accabler les victimes de

l'occupation en reprenant la propagande

néo nazie de l'occupation.

Honte à eux.

.
 

mioulo

VIB
Dans les colonies la main d'oeuvre est thaïlandaise désormais.

Et les palestiniens ne peuvent acceder à leurs champs..du moins pour ce qu'il reste.

Les affamer les tuer...c du nettoyage ethnique.

Tout ceci pour pousser les autochtones à partir.

Tout ceci est appliqué depuis 1948...c donc la

poursuite du nettoyage ethnique pour le

grand Israel.

Ce qui se passe n'est que l'application du plan

Dalet de Ben Gourion appliqué en 1947.

Mais pour ne pas devoir mettre en accusation

Israel on préfère accabler les victimes de

l'occupation en reprenant la propagande

néo nazie de l'occupation.

Honte à eux.

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Nous, nous savons ce qu'ils sont depuis longtemps. L'histoire regorrge de leurs exploits.

Néanmoins on ne peut que constater l'incapacité voir le jumenfoutisme des pays musulmans à arrêter ce génocide. J'ai même l'impression que certains s'en délectent.
J'ai croisé des musulmans, bien sous tout rapport supporter les israéliens, il y a quelque chose qui m'échappe et je n'arrive pas encore à identifier les raisons de cette haine qu'ont certains envers les palestiniens.
Peut être à cause de l'attention et la compassion énorme qu'ils attirent, il y a comme une forme de jalousie ou de complexe d'infériorité.

Je peux t'assurer que même si les juifs sionistes jettaient à la mer, brûlaient ou gazaient les palestiniens, aucun musulmans ne bougerait. Ce génocide m'a ouvert les yeux sur qui dirigent les pays musulmans.
Des lâches.
 

tizniti

Soyons sérieux .
J'ai croisé des musulmans, bien sous tout rapport supporter les israéliens, il y a quelque chose qui m'échappe et je n'arrive pas encore à identifier les raisons de cette haine qu'ont certains envers les palestiniens.
Peut être à cause de l'attention et la compassion énorme qu'ils attirent, il y a comme une forme de jalousie ou de complexe d'infériorité.
Je pense que les musulmans ont un énorme complexe d'infériorité envers les palestiniens et c'est pour cela qu'ils les jalousement.
Je dirais qu'ils les envient même.
 
Nous, nous savons ce qu'ils sont depuis longtemps. L'histoire regorrge de leurs exploits.

Néanmoins on ne peut que constater l'incapacité voir le jumenfoutisme des pays musulmans à arrêter ce génocide. J'ai même l'impression que certains s'en délectent.
J'ai croisé des musulmans, bien sous tout rapport supporter les israéliens, il y a quelque chose qui m'échappe et je n'arrive pas encore à identifier les raisons de cette haine qu'ont certains envers les palestiniens.
Peut être à cause de l'attention et la compassion énorme qu'ils attirent, il y a comme une forme de jalousie ou de complexe d'infériorité.

Je peux t'assurer que même si les juifs sionistes jettaient à la mer, brûlaient ou gazaient les palestiniens, aucun musulmans ne bougerait. Ce génocide m'a ouvert les yeux sur qui dirigent les pays musulmans.
Des lâches.
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Et le comble tu as certains juifs activistes occidentaux de gauche qui sont choqués de ce qui se passe et refusent ce génocide en leur nom.
Il y'a un membre du Congrès qui a vertement critiqué Israel.
De même qu'un réalisateur juif americain qui a fait un discours admirable lors de sa remise de son oscar.
Evidemment le lobby israelien US l'a lynché disant que c un traître.

Il y'a aussi des jeunes juifs américains démocrates qui font pression sur Biden pour que génocide s'arrête en multipliant les manifs.

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« Tous nos choix ont été faits pour nous refléter et nous confronter au présent, non pas pour dire 'regardez ce qu'ils ont fait à l'époque', mais plutôt 'regardez ce que nous faisons aujourd'hui' », a déclaré le réalisateur britannique Jonathan Glazer à propos de son drame sur le génocide des communautés juives d'Europe durant la seconde guerre mondiale, dans son discours d'acceptation des Oscars.


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tizniti

Soyons sérieux .
J'ai croisé des musulmans, bien sous tout rapport supporter les israéliens, il y a quelque chose qui m'échappe et je n'arrive pas encore à identifier les raisons de cette haine qu'ont certains envers les palestiniens.
Ce que tu décris s'observe même chez certains musulmans de bladi.
La liberté d'expression sur bladi est sans limite.
 
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