La guerre secrète de l'Algérie contre le Mali

Purs délire et fantasme d'un journaliste marocain qui marine dans sa haine de l'Algerie......ce qui ne nous apprend rien et qui n'est pas nouveau à nos oreilles......en attendant la caravane passe!! aujourd'hui une conférence a eu lieu à Alger, où tous les pays du Sahel et qui comptent etaient presents dont le Mali, sauf le Maroc qui déplore sa non presence!!

A noter au début de cet article "partisan" et anti-algerien ce rappelle dogmatique de l'aide marocaine à l'Algerie pendant la guerre de libération!!!! mezia (comme on dit chez nous) eternelle du Maroc à l'egard d'El Djazair.


Une conférence ministérielle de coordination des pays de la région sahélo-saharienne sur le terrorisme s’est ouverte mardi matin à l'Hôtel Sheraton d’Alger. Le Maroc qui n’a pas été invité, a regretté dans un communiqué, l’attitude des autorités algériennes de "l'exclure" d'une conférence régionale sur la "lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière".

"Le Royaume du Maroc déplore la réaction négative des autorités algériennes et regrette cette attitude d'exclusion face à une menace pourtant commune et identifiée", indique le communiqué du ministère des Affaires étrangères repris par la MAP et l’AFP.

Sachant que "la criminalité transfrontalière dans la région sahélo-saharienne est une menace" qui nécessite "une réponse concertée et collective au bénéfice de la consolidation de la paix et de la sécurité régionales", le Maroc voulait apporter sa contribution. Dans ce cadre, il "avait exprimé, officiellement, sa disponibilité à prendre part à cette réunion et à contribuer activement à son succès et avait saisi, dans ce sens, le pays hôte, l'Algérie", ajoute le communiqué.

A l’ouverture des travaux, le ministre algérien des Affaires étrangères s’exprimait ainsi : "notre rencontre témoigne de notre prise de conscience individuelle et collective de l'importance de sujets qui nous interpellent, en l'occurrence la sécurité, la paix et le développement de notre région". Pour lui, il est nécessaire voire obligatoire de "restaurer la région dans sa vocation d'espace de prospérité et de stabilité, conformément aux règles de bon-voisinage, de solidarité et de coopération sincère". Malgré tout, l’Algérie a décidé de ne pas faire appel à tous les pays intéressés par cette question sécuritaire dans la zone sahelo-saharienne.

Outre l’Algérie, prennent part à la rencontre, les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso, de la Libye, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad.

Pour mémoire, l’Algérie empêchait depuis 2008, la tenue à Bamako (Mali) d’une conférence sur la paix, la sécurité et le développement. A en croire des spécialistes de scène politique régionale, Alger refusait de voir Rabat siéger à la conférence réclamée par le Mali.

Ibrahima Koné
 
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