Le Coran affirme que Jésus n'est ni dieu ni fils de dieu

Interressant concept.
Donc tu pense que Dieu doit se plié a une justice humaine ?

rappelons au passage qyue Jesus n'est pas mrt... il est ressucité.
Et que la doctrine chretienne comme tu dit prend ce sacrifice du Fils pour ce qu'il est : un acte d'amour.

mais pour cela il faudrais que tu comprenne que la justice Divine chretiennement parlant passe non pa spar le chatiment, mais par le pardon et l'amour.

et prq toute cette gymnastiq?
 
et prq toute cette gymnastiq?

penche toi sur la théologie chretienne un peu plus et tu comprendras.

en gros Dieu a envoyer son fils pour nous montrer la vrai voie, l'amour et le pardon.
le sacrifice de Jesus n'est la que pour nous montrer la voie de l'abnégation, tendre l'autre joue.

ce n'est pa splous un gymnastique que dans d'autre religion, encore faut il comprendre le concept, mais le christiannisme est des religions monothéistes la plus spirituelle et donc la plus difficile a apprendé, en particulier parce qu'elle est non directive ou presque.
 
Interressant concept.
Donc tu pense que Dieu doit se plié a une justice humaine ?

rappelons au passage qyue Jesus n'est pas mrt... il est ressucité.
Et que la doctrine chretienne comme tu dit prend ce sacrifice du Fils pour ce qu'il est : un acte d'amour.

mais pour cela il faudrais que tu comprenne que la justice Divine chretiennement parlant passe non pa spar le chatiment, mais par le pardon et l'amour.

Ah bon? dans le christiannisme il n'y a pas de châtiment? ils ont réussi a supprimer l'enfer?
 
penche toi sur la théologie chretienne un peu plus et tu comprendras.

en gros Dieu a envoyer son fils pour nous montrer la vrai voie, l'amour et le pardon.
le sacrifice de Jesus n'est la que pour nous montrer la voie de l'abnégation, tendre l'autre joue.

ce n'est pa splous un gymnastique que dans d'autre religion, encore faut il comprendre le concept, mais le christiannisme est des religions monothéistes la plus spirituelle et donc la plus difficile a apprendé, en particulier parce qu'elle est non directive ou presque.

les chrétiens sont ils obligés d'adorer Jesus?
 
Yoro Sidibé;2732240 à dit:
Ah bon? dans le christiannisme il n'y a pas de châtiment? ils ont réussi a supprimer l'enfer?

qui parle de cela ?


non il n'y a plus de chatiment physique pour les peché, fouet lapidation etc etc...
comme il y en a dans les autre religion monothéiste.

l'engagement estspirituel, la repentance est spirituelle , et il faut pardonner a celui qui nous a offensé.
 
dieu dit en coran aux gens q croient q jesus est fils du dieu ou c un dieu meme:(jesus est un messager ,sa mere est une sainte qui mangeaient de la nouriture)===>manger de la nouriture ça veut dire aller aux toillettes,et aller aux toillettes ça veut dire q on est p un dieu ou fils de dieu!
A mediter!!

Les Protestants se moquent des Catholiques, qui croient à la transsubstantiation en dépit du témoignage des sens. On peut rétorquer cet argument contre eux ; ceux qui ont vu le Christ n'ont vu en lui qu'un homme comme tous les autres ; c' est donc nier le témoignage le plus véridique de tous les sens, la vue, que de voir autre chose dans Jésus. On ouvre ainsi la porte à mille sophismes, comme dans la doctrine de la transsubstantiation. Le commun des Chrétiens de toutes les sectes ne distinguent pas, ainsi que le font quelques savants, la nature humaine de la nature divine, et croient à la divinité corporelle du Christ.

On raconte que trois individus s'étant convertis au Christianisme, un prêtre fut chargé de leur enseigner les dogmes fondamentaux de leur nouvelle religion. Un des amis du prêtre, étant venu le voir, s'informa des trois néophytes, qui étaient alors au service du prêtre, et demanda à ce dernier s'ils avaient déjà appris quelque chose ; le prêtre répondit affirmativement, et ayant fait venir l'un des néophytes, il l'interrogea sur le dogme de la Trinité. "Tu m'as enseigné", dit le néophyte, "qu'il y a trois Dieux, dont un est au ciel, le second est né de la vierge Marie, et le troisième est descendu, sur le second, sous forme de colombe, quand celui-ci eut atteint sa trentième année". Le prêtre, en courroux, lui coupant la parole, le renvoya et appela le second néophyte, qui, interrogé, répondit : "Tu m'as enseigné qu'il y a trois Dieux ;l'un d'eux ayant été crucifié il en reste deux".

Encore plus irrité, le prêtre le chassa de sa présence plus rudement que le premier, et ayant appelé le troisième néophyte, qui était intelligent par rapport aux autres, et se donnait plus de peine à apprendre ses leçons, et l'ayant interrogé, il répondit : "O mon maître, j'ai bien compris ce que tu m'as dit ; trois et un, et un et trois ; et un étant mort crucifié, tous sont morts à cause de l'unité de la nature divine, de sorte qu'il n'y a plus de Dieu à présent, autrement il faudrait nier l'unité des trois personnes".

On voit combien d'obscurités et d'absurdités présente cette doctrine, que les savants musulmans ont déjà examinée et réfutée, et qui embrasse les savants chrétiens eux-mêmes qui avouent croire sans comprendre. C' est à cause de cela qu'EI-Fakkr Errazy dit dans son commentaire du chapitre des "FEMMES" (Coran) : "Sache que les doctrines chrétiennes sont d'une grande obscurité ;" il ajoute ensuite . "Il n'y a point de doctrine si absurde que celle des Chrétiens". Dans le comme du chap. de la T ABLE, le même savant dit :"Je ne crois pas qu'il y ait au monde de doctrine aussi pernicieuse ni aussi peu raisonnable qui celle des Chrétiens".

La doctrine de la Trinité est inacceptable rationnellement ; s'il y a donc dans les Ecritures quelques passages qui semblent la confirmer, il faut les expliquer d'après les principes rationnels de manière à les mettre d'accord avec notre raison. Les Chrétiens et les Juifs eux-mêmes, emploient souvent cette méthode d'interprétation. Nous avons déjà vu qu'ils l'appliquent aux passages des Ecritures qui semblent établir la nature corporelle de Dieu, et à ceux où on attribue à Dieu la circonscription dans l'espace, bien que les passages, où la nature spirituelle de Dieu est définie, soient bien peu nombreux par rapport à ceux où la doctrine contraire est expressément proclamée.

Il est étrange que les Catholiques repoussent le témoignage des sens et de la raison, comme dans le cas de la transsubstantiation, et qu'ils fassent si peu de compte, aussi, de la raison humaine et de l'évidence au point de soutenir que l'unité et la Trinité peuvent coexister dans le même sujet, et sous le même rapport ; mais il est plus étrange encore que les Protestants, qui repoussent le dogme de la transsubstantiation parce qu'il est contraire au témoignage des sens, n'hésitent pas à adopter celui de la Trinité. Si la tradition devait être supérieure à la raison et aux sens, il est certain que les Catholiques sont de beaucoup plus conséquents que les Protestants, parce qu'ils se soumettent en tout, et sans faire de distinction, à ce qu'ils croient être la parole divine.

Sale, savant anglais, qui connaissait de nos sciences, et qui a même fait une traduction estimée du Quran, a dit dans la préface de cette traduction, à ses compatriotes (édition de 1836) : "Ne faites pas violence aux Musulmans, et surtout ne leur enseignez pas ce qui est contraire à la raison, comme l'adoration des images et la transsubstantiation, car ils ne sont pas sots, et ne se laisseront pas convaincre par nos argumentations, ces propositions leur sont antipathiques ; toute église qui les professe ne pourra jamais les attirer à elle". On le voit ; il dit que l'adoration des images et la transsubstantiation sont contraires à la raison, ce qui prouve que ceux qui croient à cela sont des polythéistes.
 
SAlam,

Comment ca bien trop tard???

la personne disait que le coran est une preuve que jesus n'est pas le fils de dieu.
je lui repond que d'un point de vue historique, il n'y avait pas encore, sauf erreur de ma part, de musulmans a l'epoque de jesus. mahomet qui contrdit la reigion chretienne n'etait pas la il y a 2000 ans.
c'est pour ca que je dis, que pour un non croyant, un musulman ou un chretien, le coran n'est pas une preuve historiquement, il arrive bien trop tard.
quand la personne dit: c'est une preuve, c'est ca foi en ce livre qui parle et uniquemet ca foi. voila pourquoi ce n'est pas credible.
 
la personne disait que le coran est une preuve que jesus n'est pas le fils de dieu.
je lui repond que d'un point de vue historique, il n'y avait pas encore, sauf erreur de ma part, de musulmans a l'epoque de jesus. mahomet qui contrdit la reigion chretienne n'etait pas la il y a 2000 ans.
c'est pour ca que je dis, que pour un non croyant, un musulman ou un chretien, le coran n'est pas une preuve historiquement, il arrive bien trop tard.
quand la personne dit: c'est une preuve, c'est ca foi en ce livre qui parle et uniquemet ca foi. voila pourquoi ce n'est pas credible.

Bonjour,

MOhamed(saw) n'était pas là,certes,mais Dieu,Créateur des Cieux et de la terre,Détenteur de la Royauté Absolue et de la Vérité absolue,L'OMnipotent est là,le même Dieu de Jésus et de MOhamed(saw).Ce même Dieu qui a envoyé Jibril(as) à MOhamed(saw) pour lui révélé le coran!
 
Bonjour,

MOhamed(saw) n'était pas là,certes,mais Dieu,Créateur des Cieux et de la terre,Détenteur de la Royauté Absolue et de la Vérité absolue,L'OMnipotent est là,le même Dieu de Jésus et de MOhamed(saw).Ce même Dieu qui a envoyé Jibril(as) à MOhamed(saw) pour lui révélé le coran!

c'est pa sune preuve, c'est une croyance ce qui est significativmeent différent...

meme joueur joue encore...
 
Yoro Sidibé;2732239 à dit:
Confesser serait il la même chose que repentir?

j'ai pas dis que confesser etait la meme chose que repentir, j'ai dit:
confesser, ca veut dire reconnaitre nos pechés, reconnaitre qu'on est pécheur, on se confesse devant dieu parcequ'on les regrettent.
 
la personne disait que le coran est une preuve que jesus n'est pas le fils de dieu.
je lui repond que d'un point de vue historique, il n'y avait pas encore, sauf erreur de ma part, de musulmans a l'epoque de jesus. mahomet qui contrdit la reigion chretienne n'etait pas la il y a 2000 ans.
c'est pour ca que je dis, que pour un non croyant, un musulman ou un chretien, le coran n'est pas une preuve historiquement, il arrive bien trop tard.
quand la personne dit: c'est une preuve, c'est ca foi en ce livre qui parle et uniquemet ca foi. voila pourquoi ce n'est pas credible.
Notre Prophète nous informe ce qui se passera à la fin des temps

Il sera de plus en plus difficile de pratiquer sa religion. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit en ce sens que, viendra un temps où la condition de celui qui voudra rester ferme sur sa religion sera comparable à celle d'un homme qui tient une braise dans la paume de sa main. (Tirmidhi)

"Quand le croyant au sein de sa tribu sera plus méprisé qu'une brebis chétive." (Tabrâni)


Depuis 14 siecles il y a bien plus d'une théorie esayant de prouver une source du coran autre que Allah ,jusqu'à nos jours on voit un nouveau monsieur qui nous sort : " j'ai trouvé , le coran vient de tel.." , ceci est une preuve qu'ils sont perdus à chercher ce qu'ils ne vont jamais trouvé , ceci est la meme histoire concernant les paiens de la mecque par exemple , ils ne savaient pas quoi dire , parofois ils disaient que le prophéte était fou , parfois qu'il est mage , parfois qu'il est poéte , sachant que chaque propos est contradictoire avec celui qui le précede , c'est ce que rapporte dieu dans le coran :
Plutòt, ils traitent de mensonge la vérité qui leur est venue : les voilà donc dans une situation confuse. Sourat qaf

3:78] La famille d'Imran (Al-Imran) :

Et il y a parmi eux certains qui roulent leur langues en lisant le Livre pour vous faire croire que cela provient du Livre, alors qu'il n'est point du Livre; et ils disent : "Ceci vient de Dieu", alors qu'il ne vient pas de Allah. Ils disent sciemment des mensonges contre Allah.
[5:13] La table servie (Al-Maidah) :

Et puis, à cause de leur violation de l'engagement, Nous les avons maudits et endurci leurs coeurs : ils détournent les paroles de leur sens et oublient une partie de ce qui leur a été rappelé. Tu ne cesseras de découvrir leur trahison, sauf d'un petit nombre d'entre eux. Pardonne-leur donc et oublie [leurs fautes]. Car Allah aime, certes, les bienfaisants
 
c'est pa sune preuve, c'est une croyance ce qui est significativmeent différent...

meme joueur joue encore...

Ce que vous ne voulez pas comprendre toi et tes petits copains chrétiens,le vatican lui a trés bien compris!A savoir,que le même Dieu qui a envoyé Abraham(as), a également envoyé MoIse(as), puis Jésus(as) et enfin MOhamed(saw).C'est cette position d'aveugle que vous allez regretter un jour, et qui vous rabaissera même au yeux de jésus(as) lui-même!Souvenez-vous de ceci et j'en prends Dieu à témoin!
 
Notre Prophète nous informe ce qui se passera à la fin des temps

Il sera de plus en plus difficile de pratiquer sa religion. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit en ce sens que, viendra un temps où la condition de celui qui voudra rester ferme sur sa religion sera comparable à celle d'un homme qui tient une braise dans la paume de sa main. (Tirmidhi)

"Quand le croyant au sein de sa tribu sera plus méprisé qu'une brebis chétive." (Tabrâni)


Depuis 14 siecles il y a bien plus d'une théorie esayant de prouver une source du coran autre que Allah ,jusqu'à nos jours on voit un nouveau monsieur qui nous sort : " j'ai trouvé , le coran vient de tel.." , ceci est une preuve qu'ils sont perdus à chercher ce qu'ils ne vont jamais trouvé , ceci est la meme histoire concernant les paiens de la mecque par exemple , ils ne savaient pas quoi dire , parofois ils disaient que le prophéte était fou , parfois qu'il est mage , parfois qu'il est poéte , sachant que chaque propos est contradictoire avec celui qui le précede , c'est ce que rapporte dieu dans le coran :
Plutòt, ils traitent de mensonge la vérité qui leur est venue : les voilà donc dans une situation confuse. Sourat qaf

3:78] La famille d'Imran (Al-Imran) :

Et il y a parmi eux certains qui roulent leur langues en lisant le Livre pour vous faire croire que cela provient du Livre, alors qu'il n'est point du Livre; et ils disent : "Ceci vient de Dieu", alors qu'il ne vient pas de Allah. Ils disent sciemment des mensonges contre Allah.
[5:13] La table servie (Al-Maidah) :

Et puis, à cause de leur violation de l'engagement, Nous les avons maudits et endurci leurs coeurs : ils détournent les paroles de leur sens et oublient une partie de ce qui leur a été rappelé. Tu ne cesseras de découvrir leur trahison, sauf d'un petit nombre d'entre eux. Pardonne-leur donc et oublie [leurs fautes]. Car Allah aime, certes, les bienfaisants

j'ai simplement dit que le coran ne peut etre credible historiquement, qu'il ne peut etre une preuve que jesus n'est pas le fils de dieu. mais ce n'est pas parcequ'il ne prouve rien historiquement sur jesus qu'il est faux... c'est du domaine de la foi, et la foi ne peut donner aucune preuve objective.
 
Ce que vous ne voulez pas comprendre toi et tes petits copains chrétiens,le vatican lui a trés bien compris!A savoir,que le même Dieu qui a envoyé Abraham(as), a également envoyé MoIse(as), puis Jésus(as) et enfin MOhamed(saw).C'est cette position d'aveugle que vous allez regretter un jour, et qui vous rabaissera même au yeux de jésus(as) lui-même!Souvenez-vous de ceci et j'en prends Dieu à témoin!

mais oui, mais oui...

au fait c'est exactement ton histoire ave cle Vatican ?
 
c'est pa sune preuve, c'est une croyance ce qui est significativmeent différent...

meme joueur joue encore...

Quand on cherche le mot “Jésus” (عيسى) dans le Coran, on trouve qu’il se répète dans tout le Coran 25 fois exactement. Cependant, pour le mot “Fils (إبن)”, il s’est répété dans tout le Coran 35 fois. Quant au mot “Marie” (مريم), il a été répété 34 fois dans le Coran. On écrit ces chiffres en respectant cet ordre et on retrouve le chiffre suivant :
مريم
ابن
عيسى

Marie
Fils
Jésus

34
35
25


Le chiffre qui correspond à la répétition de ces mots est : 343525 et c’est un multiple du chiffre 7 :

343525 = 7 ´49075

L’ordre inclue également les mots de ce saint mot ; en fait, le nombre des caractères du mot “عيسى” (Jésus) est 4, et celui de “ابن” (fils) est 3 et celui de “مريم” (Marie) est 4. Ainsi, en classant ces chiffres, on trouve :

مريم
ابن
عيسى

Marie
Fils
Jésus

4
3
4


Le nombre qui correspond au nombre de caractères de ces mots est 434 et c’est un multiple du chiffre 7 :

434 = 7 ´62

Ce qui est particulièrement exceptionnel c'est le fait que la répétition de ce mot soit liée à ses caractères, écrivons ces chiffres de nouveau :

sa répétition : 343525 = 7 ´49075

ses caractères : 434 = 7 ´62

Quand on place côte à côte les résultats de ces multiplications 62 – 49075, on trouve un nombre qui se compose de sept chiffres divisible par 7 :

6249075 = 892725 ´7

Ce qui est étonnant est que le résultant est également divisible par 25 (qui représente le nombre de fois où le mot “عيسى” (Jésus) a été cité dans le Coran) :

892725 = 25 ´35709

Ainsi, nous avons trouvé un ordre exceptionnel pour le nom de “Jésus filsdeMarie”(عيسى ابن مريم). Cependant, dans le Coran, on trouve d’autres formulations pour ce mot, comme “ ”المسيح ابن مريم(Le Messie fils de Marie), alors existe-t-il un ordre précis ?

Ordre exceptionnel pour la répétition du mot “المسيح ابن مريم” (Le Messie fils de Marie) dans le Coran

Le mot “”المسيح ابن مريم(Le Messie fils de Marie) a été répété dans le Coran 11 fois, le mot “ابن” (fils) 35 fois et le mot “مريم” (Marie) 34 fois. Ecrivons ces répétions sous la forme suivante :



مريم
ابن
المسيح

Marie
Fils
Le Messie

34
35
11
 
c'est pa sune preuve, c'est une croyance ce qui est significativmeent différent...

meme joueur joue encore...

Maintenant, voyons ensemble cette concordance exceptionnelle correspondante à la répétition du mot “مريم” (Marie) avec les deux mots “المسيح” (Le Messie) et “عيسى” (Jésus). La répétition de ces mots est en fait basée sur le chiffre 7. Comme on le sait, Marie est la mère du Messie, paix et bénédiction de Dieu sur lui, écrivons alors la répétition de ces deux mots dans le Coran :

المسيح
مريم

Le Messie
Marie

11
34


Le chiffre qui représente la répétition de ces deux mots, dans cet ordre, est : 1134 et c’est un multiple du chiffre 7 :

1134 = 7 ´162

On applique cette même règle pour le mot “عيسى” (Jésus), on trouve que la même chronologie se répète. Écrivons la répétition de ces deux mots “مريم” (Marie) et “عيسى” (Jésus), on trouve alors :

عيسى
مريم

Jésus
Marie

25
34


Le chiffre 2534 est également un multiple du chiffre 7 :

2534 = 7 ´362

Ce qui surprenant, c’est que la somme des répétitions de ces trois mots : “مريم” (Marie) – “عيسى” (Jésus) – “المسيح” (Le Messie) est :

34 + 11 + 25 = 70 ;

et ce nombre est également un multiple du chiffre 7 :

70 = 7 ´10

De même, on trouve que la répétition des mots “المسيح” (Le Messie) – “ابن” (fils de) – “مريم” (Marie), dans le Saint Coran est :

11 + 25 + 35 + 34 = 105 ;

et ce chiffre est également un multiple du chiffre 7 :

105 = 7 ´15.

Et la question se répète de nouveau :

Est-il possible que le hasard peut être l’origine d’une organisation avec une pareille précision ?

C’est Le Très Haut et Le Très Puissant Dieu, qui a tout crée et qui a tout arrangée, qui est derrière le classement de ces vérités pour témoigner de Son Unicité et du fait que le Messie Jésus fils de Marie est un prophète de Dieu, Sa parole et Son Ordre.

La répétition de ce mot saint dans le livre de Dieu, qui a été trouvée comme étant basée sur le chiffre sept, constitue une preuve irréfutable que ce qui a été apporté par Mohammed, paix et bénédiction de Dieu sur lui, est le même que ce qui a été apporté par Jésus, paix et bénédiction de Dieu sur lui, et que Le Très Haut Dieu a fait que le nom de ce saint prophète s’accorde parfaitement avec le chiffre 7 pour nous prouver que Celui qui a fait descendre le Coran est Le Maître des sept cieux, Louange à Lui de tout ce qu’ils peuvent avancer.
 
Quand on cherche le mot “Jésus” (عيسى) dans le Coran,

toute ta démonstration est fondée sur les ecrits du Coran, hors affirmer que le Coran est oeuvre de Dieu est une croyance, que la majorité des humains ne partage pa save cles musulmans.

Donc je ré-itère mon affirmation ce sont des croyances et non des preuves.
 
La répétition de ce mot saint dans le livre de Dieu, qui a été trouvée comme étant basée sur le chiffre sept, constitue une preuve irréfutable que ce qui a été apporté par Mohammed

Le fait même que tu parles du Coran comme livre de Dieu prouve irréfutablement que ce que tu dis n'est pas une démonstration ;)
 
Le fait même que tu parles du Coran comme livre de Dieu prouve irréfutablement que ce que tu dis n'est pas une démonstration ;)

Professeur à l'université St Thomas, Canada

Les références coraniques à l’atmosphère sont nombreuses, et s’accompagnent souvent de rappels des signes de la sollicitude de Dieu envers les hommes. Ainsi, dans la sourate Al Anbiyaa, Dieu dit : «Et Nous avons fait du ciel (alssamaa) un toit protégé. Et cependant ils se détournent de ses merveilles» (Coran, 21. 32). On sait que le substantif samaa signifie en arabe, non pas uniquement ciel, mais encore tout ce qui est placé à une certaine hauteur par rapport à nous, d’où le verbe samaa, se hisser, se lever, au sens propre comme au figuré. La même idée de protection apparaît, parallèlement à la notion d’une altitude relativement proche du niveau de sol en tant que ciel, dans la sourate Fussilat : «Et Nous avons décoré le ciel le plus proche de la terre(alssamaa alddunya) de luminaires et l’avons pourvu d’une protection» (Coran, 41. 12).

Or, à l’époque de l’apparition de l’Islam, la notion de la protection de la terre par le ciel au sens que nous venons de définir, donc par son atmosphère, non seulement paraissait comme une nouveauté, mais comme un défi lancé aux plus fermes convictions quant à la forme et à la matière du ciel. On ne fera pas grand cas ici des conceptions mythologiques sur une Olympe où régnaient des divinités dont la débauche et le ridicule allaient fournir aux premiers Pères de l’Église naissante de solides armes dans leur polémique contre le paganisme gréco-romain : les esprits graves, qui n’ignoraient pas la critique de l'anthropomorphisme par Xénophane, Aristote, Théophraste et Arcésilas, savaient bien qu’il ne fallait pas prendre au sérieux ces tissus de mensonges poétiques. De même, Platon, s’autorisant des mauvais effets de ces derniers sur les mœurs et l’imagination, avait d’ailleurs décidé d’exclure les poètes de sa République idéale. L’on se fiait plutôt aux doctrines des physiciens grecs, nommés plus tard philosophes : le ciel était alors une voûte solide placée à peine plus haut que les chaînes du Cithéron ou du Parnès en Attique. Cette conception fit longtemps craindre la chute du ciel sur la terre, jusqu’au moment où Anaximandre, disciple du célèbre Thalès, qui faisait flotter la terre sur les Eaux, posa, vers 570 avant J. -C., la sphéricité du ciel : la terre, placée au centre de la sphère du ciel, restait désormais immobile sans s’appuyer sur aucun support. Cette idée fut reprise et développée par les Pythagoriciens, et peu plus tard par Platon et Aristote, qui, tous, multiplieront les sphères autour de la terre non seulement pour faire ressortir la perfection numérique, suivant la tradition pythagoricienne, de l’architecture céleste, mais pour mieux opposer cette même perfection à l’imperfection terrestre, séparer définitivement le ciel de la terre et, du coup, arracher la crainte de la chute de ce qui avait paru comme une voûte solide. De fait, à partir à peu près de 340 avant J.-C., c’est la conception d’Aristote qui dominera sans partage en matière astronomique et ce, jusqu’à la Renaissance : auteur justement du premier traité connu de météorologie (Les Météorologiques), il posera, dans ses traités Du ciel et De la génération et de la corruption, l’immobilité de la terre au centre du monde, niera l’existence du vide et réaffirmera l’unicité et la sphéricité du ciel. Aussi sa cosmologie fondera-t-elle l'assise même du système géocentrique de Ptolémée, qui restera en vigueur jusqu’au triomphe des idées de Copernic.

Dans ce contexte intellectuel, très sommairement schématisé, la révélation coranique vient affirmer non seulement le rôle protecteur de l’atmosphère, mais la division de celle-ci en sept couches, ainsi que le montre ce verset, qui emploie le substantif pluriel taraiqa, couches : «Nous avons créé, au-dessus de vous, sept cieux(taraiqa) [...]» (Coran, 23. 17). Certaines sourates rappellent la même division en employant le substantif samaa au pluriel : «C' est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux(samawatin). Et Il est Omniscient» (Coran, 2. 29) ; «Dieu qui a créé sept cieux (samawatin) et autant de terres [...]» (Coran, 65. 12). Mais d’autres précisent de surcroît la structure superposée des couches et parlent d’un rôle assigné à chacune d’entre elles dès le moment même de leur création à partir de la masse nébuleuse protosolaire : «Il S'est ensuite adressé au ciel qui était alors fumée et lui dit, ainsi qu'à la terre : “Venez tous deux, bon gré, mal gré”. Tous deux dirent : “Nous venons obéissants”. Il décréta d'en faire sept cieux (samawatin) en deux jours et révéla à chaque ciel sa fonction [...]» (Coran, 41.11-12). «Celui qui a créé sept cieux (samawatin) superposés sans que tu voies de disproportion en la création du Tout Miséricordieux [...]» (Coran, 67. 3). «N' avez- vous pas vu comment Dieu a créé sept cieux (samawatin) superposés» (Coran, 71. 15). Donc, l’atmosphère, pour le Coran, est un toit qui protège ; elle est divisée en sept souches, qui sont investies d’un certain nombre de fonctions. Pour comprendre ces attributions et divisions, il faut, bien entendu, dire un mot sur la composition de l’atmosphère. Cette dernière est en effet une enveloppe essentiellement gazeuse qui entoure le globe terrestre. Elle est constituée de 78 % d’azote (N2), 21 % d’oxygène (O2) et 1 % de gaz comme l'ozone (O3), qui est une forme triatomique de l'oxygène, l’argon (Ar), qui est un gaz inerte, et d’autres gaz à l'état de traces, comportant notamment du dioxyde de carbone (CO2) et de la vapeur d'eau. L’ensemble des molécules qui constituent ces gaz est soumis à deux forces : celle de leur vitesse d’environ 500 m/s, qui les porte vers l’espace et celle de l’attraction terrestre, qui les ramène vers le globe. Sans entrer ici dans ce qu’il est convenu d’appeler les variables atmosphériques, dont le vecteur vent, le champ de pression, la masse volumique des particules, la concentration de celles-ci en vapeur d’eau, leur champ magnétique ou leur champ de température, autant de facteurs qui affectent l’état physique des particules atmosphériques, l’on peut observer que la moitié de la masse de l’atmosphère se situe au-dessous de 5 500m, les 2/3 au-dessous de 8 400 m, et qu’il faut s’élever à une altitude de 31 000m environ pour atteindre 99% de la masse atmosphérique. Ainsi, les 9/10 de cette masse, dont la hauteur limite se situe pourtant à près de 1000 Km constituent une pellicule de 13 à 16 Km d’épaisseur à l’équateur et de 7 à 8 Km aux pôles: cette masse prend ainsi la forme d’une sphère aplatie, tout comme la terre, dont la forme ellipsoïdale semble être attestée par le verbe dahaha, étendre ou encore donner une forme ovale, dans le verset 30 de la sourate 79 : «Et la terre, après cela, Il l'a étendue(dahaha)».(a suivre)
 
Le fait même que tu parles du Coran comme livre de Dieu prouve irréfutablement que ce que tu dis n'est pas une démonstration ;)
(SUITE)
recommandation faite en 1960 par l’Union Internationale de Géodésie et de Géophysique à Helsinki, et qui a été renouvelée en 1962 par le Comité Exécutif de l’Organisation Météorologique Mondiale, que la structure de l’atmosphère obéit à une répartition verticale des températures, d’où la distinction de diverses régions ou couches, qui sont, de bas en haut : la troposphère, la stratosphère, la mésosphère et la thermosphère. D’une manière générale, la température décroît en fonction de l’altitude dans la troposphère et la mésosphère ; alors qu’elle augmente à mesure que l’on s’élève dans la stratosphère et la thermosphère. 1.- La troposphère s’étend jusqu’à 16 Km à l’équateur et 10 Km aux pôles. La température y décroît d’environ 6 °C tous les 1000 m : c’est dans cette région que se produisent la plupart des phénomènes météorologiques ; 2.- Dans la stratosphère, la température se met à augmenter à partir d’une altitude de 25 Km et atteint son niveau maximal à une altitude de 50 Km environ : c’est à 30 Km que se trouve le maximum de concentration en molécules d’ozone ; 3.- La mésosphère se situe au-delà de la stratosphère et jusqu’à une altitude d’environ 80 Km, où la température atteint encore une fois son niveau minimal ; 4.- Enfin, dans la thermosphère, au-delà de 80 Km et jusqu’à une altitude de 800 Km environ, la température croît de nouveau et atteint 1000 K à 750 Km. À ces quatre régions de température, les lois de la mécanique des fluides ajoutent trois autres grandes régions suivant le parcours des molécules. L’on distingue ainsi, de bas en haut : 1.- La neutrosphère, qui s’élève jusqu'à 60 Km et qui connaît une faible concentration des électrons ; 2.- L’ionosphère, qui connaît plusieurs niveaux de densité électrique suivant l’altitude et où se distinguent la couche D (à 100 Km), et les couches F1 et F2 (à 180 et à 350 Km) ; 3.- L’exosphère, qui se situe au-dessus de la thermosphère à une altitude de près de 750 Km : les molécules y sont en libre parcours et n’obéissent plus aux lois de la mécanique des gaz. Cela dit, l’ensemble de ces sept régions est couvert par la magnétosphère, placée à une altitude fort élevée aux confins de l’atmosphère (au delà de 1 000 Km), où le champ magnétique terrestre exerce, à défaut de la gravitation, une forte influence sur les particules ionisées.

Donc, les lois de la thermodynamique comme celles de la physique des gaz permettent de distinguer 7 grandes régions dans l’atmosphère. Sans chercher à rapprocher ces régions des sept cieux évoqués plus haut, ce qui serait hors propos, il faut à présent chercher à comprendre pourquoi l’atmosphère, toutes attributions en matière de protection du globe terrestre confondues, est décrite dans le Coran comme un toit qui nous protège. D’abord, cette stratification semble répondre à la volonté divine de la consolidation et de l’équilibre de l’architecture atmosphérique :«Nous avons construit au-dessus de vous sept (cieux) renforcés» (Coran, 78. 12). Les exégètes s’accordent à dire, dans leur commentaire de ce verset, que par «Nous avons construit au-dessus de vous [...]», il faut entendre justement la parfaite consolidation de la construction du ciel. Al Tabari y ajoute que, le toit d’une maison en étant le ciel pour les Arabes, Dieu voulut s’adresser à ces derniers dans leur propre parler, d’où l’assimilation de la construction du ciel par rapport à la terre à celle d’un toit par rapport à une maison. Ce verset, qui rappelle implicitement l’image du toit protecteur évoque ainsi la nécessité d’une fortification qui répondrait à différents niveaux de risques ou de dangers. De fait, la distinction des quatre premières couches suivant le profil de la température correspond à l’absorption sélective du rayonnement solaire. Ainsi, la haute température dans la thermosphère est due à l’absorption de l’ultraviolet lointain (dont les longueurs d’onde sont inférieures à 200 nm) par les atomes d’oxygène. De même, le rayonnement ultraviolet dont la longueur d’onde se situe entre 200 et 300 nm est absorbé par l’ozone, ce qui produit un maximum de température dans la stratosphère. L’action photochimique du rayonnement ultraviolet sur les organismes vivants est évidemment fort dévastatrice et ses effets sont bien connus : suivant la somme de doses d’activité chimique reçue, ces effets peuvent se ranger de la réduction des processus vitaux jusqu’à la destruction pure et simple des tissus. C’est ainsi que l’exposition au rayonnement ultraviolet peut causer des brûlures de peau, accélérer le vieillissement de cette dernière, en provoquer le cancer, entraîner des maladies oculaires, affaiblir le système immunitaire, inhiber la photosynthèse des plantes, entraîner la disparition du plancton marin, etc. Cependant, une certaine partie du rayonnement ultraviolet traverse la couche d’ozone, sous une forme inoffensive appelée ultraviolet A, pour atteindre la surface du globe. Ses effets, quand la dose est minimale, sont au contraire bénéfiques, car une légère dose de ce rayonnement est nécessaire justement à la pigmentation normale de la peau et à la production de la vitamine D dont la carence provoque le rachitisme.
 
Le fait même que tu parles du Coran comme livre de Dieu prouve irréfutablement que ce que tu dis n'est pas une démonstration ;)

(SUITE) D’autre part, et à une échelle plus spectaculaire, la protection contre les rayons cosmiques les plus violents se fait par leur désintégration au moyen d’une interaction entre leurs particules chargées avec le champ magnétique entourant la plus haute atmosphère. Rappelons d’abord que ces rayons constituent un ensemble de particules de très haute énergie pouvant atteindre 1019 eV. Cet ensemble est formé à 90 % de protons, à 9 % de noyaux d'hélium et à 1 % de noyaux d'éléments plus lourds ou d'électrons : parmi les effets d’exposition au rayonnement dit primaire, par opposition aux produits de réaction, qui constituent le rayonnement secondaire (tels que les mésons c et Y), l’on relève les aberrations ou les mutations génétiques ainsi que les déformations chromosomiques, qui sont d’une portée infinie et qui, en l’absence de cet écran protecteur qu’est l’atmosphère, peuvent entraîner l’extinction de la vie sur terre. Les risques d’irradiation en matière de sortie dans l’espace sont par ailleurs au centre des préoccupations des astronautes et posent de sérieuses difficultés en matière de construction de stations spatiales. Cela étant, l’existence dans la magnétosphère de Ceintures dites Van Allen, du nom du chercheur qui en fait a découverte en 1958, permet au double anneau de ces ceintures de piéger les particules sub-atomiques. Ces ceintures ne sont pas tout à fait concentriques à la terre. Mais leurs deux tores forment un bouclier plus ou moins sphérique : la déformation par le vent solaire des lignes de champ de la magnétosphère fait varier l'altitude de la ceinture intérieure de 400 à 1 000 Km ; alors que la ceinture extérieure peut s’élever jusqu'à 64 000 Km. Ainsi, les particules chargées projetées par le vent solaire sont captées par la magnétosphère, qui les force à faire des mouvements hélicoïdaux les déviant vers l’Ouest ou vers l’Est. En outre, la déviation ou le filtrage du rayonnement primaire se fait par une série de collisions nucléaires suite à l’interaction entre les particules chargées provenant du vent solaire (protons, électrons et particules N) et les noyaux de constituants atmosphériques (oxygène, azote, etc.) : sous l’effet du choc, le rayon cosmique se brise en donnant lieu à une série de particules élémentaires (rayonnement secondaires) dont résulte, au terme d’une cascade de collisions et d’interactions, la désintégration en rayons gamma, qui, par la suite, se désintègrent à leur tour pour donner naissance à des mésons et des neutrons : telle est la composante dite dure du rayonnement secondaire. La composante douce, par ailleurs, est celle qui est produite par le passage des électrons dans le champ électriques des noyaux atmosphériques, qui leur permet de rayonner une bonne partie de leur énergie sous forme de rayons gamma. Il faut également évoquer brièvement deux autres phénomènes qui contribuent grandement à la déviation et l’absorption des rayons cosmiques. D’abord, l’irruption d’électrons dans la magnétosphère suite à des éruptions solaires donne naissance à de gigantesques orages magnétiques: piégés dans les lignes de force du champ géomagnétique de la terre, ils subissent, au niveau de l’ionosphère, une polarisation qui génère une forte différence de potentiels, laquelle se traduit justement par ces puissants courants électriques appelés orages magnétiques. Non pas moins impressionnant, ensuite, est le phénomène connu sous le nom d’aurores polaires (ou boréales, suivant l’hémisphère où il se produit), qui correspond à une formidable dynamique des particules chargées du vent solaire au moment également de leur entrée dans la très haute atmosphère. Les Anciens, qui avaient remarqué ce phénomène, y voyaient des présages de mauvais augure et l’attribuaient à une brusque ouverture dans le ciel à travers laquelle celui-ci semblait vomir des flammes. On sait maintenant que les éruptions chromosphériques du soleil sont projetées à des vitesses qui peuvent atteindre 120 000 Km/s. Leur interaction avec la magnétosphère constitue une formidable dynamo magnétodynamique qui se traduit par leur collision avec les constituants atmosphériques et leur capture dans le champ magnétique terrestre: le phénomène lumineux est dû à de monumentales décharges électriques qui résultent de ces collisions.

Autant dire qu’en les déviant, en les désintégrant ou en les absorbant, l’atmosphère empêche les rayons cosmiques primaires d’atteindre le sol. Parallèlement à ces filtrages ou déviations des rayonnements nocifs et incompatibles avec la vie, le maintien de cette dernière dans des conditions d’équilibre thermique assure également un rôle protecteur pour le globe terrestre. À travers la circulation même de l’atmosphère et à travers les mouvements de transferts d’énergie, notre toit protecteur agit en effet en tant que véritable machine thermique asservie au maintien de la vie sur terre. Il faut observer que le flux moyen d’énergie solaire atteignant le sommet de l’atmosphère est de l’ordre de 1380 W par mètre carré. Environ 20 % du rayonnement solaire est absorbé dans l’atmosphère notamment par l’ozone, le dioxyde de carbone et la vapeur d’eau ; alors que près de 30 % de ce rayonnement est réfléchi vers l’espace par les hautes couches atmosphériques. Le restant de l’énergie est absorbé par la terre, qui, après en avoir conservé une somme suffisante à son équilibre thermique, le réémet vers l’espace sous forme de rayonnement infrarouge, qui est à son tour absorbé dans l’atmosphère par le dioxyde de carbone, la vapeur d’eau, le méthane et d’autres gaz, pour être de nouveau renvoyé à la terre. Tel est le célèbre effet de serre, qui maintient de la sorte dans les couches d’air voisines du sol une température moyenne de 15 °C, et sans lequel celle-ci serait de l’ordre de - 18 °C. Cet équilibre thermique est encore maintenu par le mécanisme de la circulation atmosphérique, qui permet des transferts d’énergie compensant la différence de température entre l'équateur et les pôles, comme le montre la force dite de Coriolis, due à la rotation terrestre, qui provoque une déviation des courants aériens dans le sens des aiguilles d'une montre dans l'hémisphère Nord et dans le sens contraire dans l'hémisphère Sud. De fait, et compte tenu des différences de pression, il y a un échange constant entre l’air chaud de l’équateur, qui se dirige vers les pôles à haute altitude, et l’air froid polaire, qui se porte vers l’équateur à basse altitude.
 
Le fait même que tu parles du Coran comme livre de Dieu prouve irréfutablement que ce que tu dis n'est pas une démonstration ;)

(SUITE) Ainsi, l’image du toit placé au-dessus de nous apparaît ici dans son sens le plus familier, qui évoque l’idée d’une maison mettant ses habitants à l’abri des intempéries climatiques : l’équilibre thermique est l’une des formes les plus élémentaires de la protection ou du maintien de la vie. Cette dernière serait d’ailleurs moins concevable encore en l’absence de ce même toit qui constitue également un très solide bouclier contre les divers bombardements provenant de l’espace sous forme de météoroïdes, d’astéroïdes, de grains cométaires, etc. À l’exception d’Io, qui est l’un des satellites de Jupiter, l’on observe l’existence sur l’ensemble des corps solides du système solaire d’énormes dépressions circulaires qui sont dues en effet à la chute de météoroïdes ou autres corps de grandes tailles, comme les astéroïdes ou les noyaux de comètes, dont l’origine est parfois attribuée à l’explosion d’une ancienne planète. La formation des cratères d’impact apparaît d’ailleurs comme le mode essentiel de façonnement de la surface des planètes et des satellites de notre système. Le globe terrestre n’échappa donc pas à ces bombardements, dont les traces ont souvent été effacées au cours de son histoire géologique. C’est ainsi que, grâce aux méthodes de télédétection et vu l’origine de certains minéraux et la nature des déformations dus au choc, l’on put identifier plus de 100 cratères d’impact sur la surface du globe, tel par exemple le célèbre cratère Barringer en Arizona (Meteor Crater), qui a 1, 2 Km de diamètre et 180 m de profondeur. On estime que la masse de météorite qui lui a donné naissance il y a près de 50 000 ans devait être au moins de 60 000 t. C’est dire l’ampleur du danger que peut représenter une chute météoritique sur une planète comme la terre. La formation par ailleurs de l’atmosphère, suite au refroidissement de la terre au cours de la période primitive et à partir des éléments de dégazage conservés, permit, sinon d’en réduire le flux, du moins de détruire la plupart des corps météoritiques les plus dangereux avant leur arrivée au sol : l’histoire récente n’a été témoin d’aucune formation de cratère ; et l’explosion en 1908 du bolide de Toungouska, en Sibérie, provoqua sa complète désintégration dans les couches supérieures de l’atmosphère. C’est ainsi que l’on estime que trois fois par million d’années des météorites dont l’impact est suffisamment fort pour former un cratère de 10 km de diamètre risquent de s’écraser sur la terre : il y a une chance sur 3 pour que la chute se produise sur une surface continentale. De fait, la terre absorbe près de 100 000 t de poussières cosmiques (mesures par stations orbitales ou satellites) par année, qui résultent de la destruction des ces objets naturels. L’on appelle ainsi météores les météoroïdes de petite taille ou les grains cométaires qui, ayant pénétré dans l’atmosphère, sont entièrement pyrolysés : d’une vitesse allant de 10 à 70 Km/s, ces fragments de matière interstellaire s’échauffent au contact de l’atmosphère, ce qui provoque leur volatilisation dans la stratosphère. Leur destruction s’accompagne parfois de traînées lumineuses, qui résulte de l’ionisation de l’air pendant leur passage dans l’atmosphère, d’où l’appellation «étoiles filantes». On les appelle par ailleurs bolides lorsque leur destruction est accompagnée d’un phénomène sonore, qui est lié à l’onde de choc formée à l’avant de leur corps. Au contraire, sont partiellement détruits les grains cométaires dont le diamètre, trop petit, leur permet simplement d’évacuer l’énergie de friction : ils atteignent la surface de la terre, mais ne représentent plus aucun danger pour la vie. Enfin, les météorites dont la taille plus massive ne leur permet pas d’être entièrement consumées sont fragmentées par l’onde de choc produite au moment de leur passage dans l’atmosphère, lequel freine en même temps leur vitesse de rencontre avec le sol
 
Le fait même que tu parles du Coran comme livre de Dieu prouve irréfutablement que ce que tu dis n'est pas une démonstration ;)

(SUITE) Tel paraît être donc le rôle protecteur de ce toit : placé autour de la terre, il met cette dernière à l’abri des rayonnements nocifs, y assure l’équilibre thermique et la protège contre les assauts des corps en provenance de l’espace. Autant de preuves en effet de la sollicitude de Dieu envers les hommes : «Nous avons créé, au-dessus de vous, sept cieux(taraiqa ). Et Nous ne sommes pas inattentif à la création» (Coran, 23. 17). Or, s’il faut observer, d’abord, que ces moyens de protection sont en somme des réactions chimiques ou physiques entre les noyaux de constituants atmosphériques et les particules en provenance soit de la terre soit de l’espace, c’est que la composition gazeuse de l’atmosphère autorise l’ensemble de ces réactions. Donc le maintien en équilibre de cette composition proportionnellement dosée est garant de l’efficace de ces moyens de protection. Ensuite, on vient de voir que la protection prend souvent la forme du renvoi par l’atmosphère de certaines substances soit vers l’espace soit à la terre. Cette activité, qui consiste pour l’atmosphère à réfléchir ou à renvoyer ce qu’elle reçoit, est justement bien exprimée dans ce verset, où il s’agit d’un serment fait par Dieu : «Par le ciel qui fait revenir(thati alrrajAAi)» (Coran, 86. 11). Certes, comme le remarquèrent les commentateurs traditionnels, l’on peut entendre par rajAAi le retour périodique de bienfaits pour l’humanité à travers la pluie, la réapparition cyclique des corps célestes ou encore le retour quotidien dans le ciel des anges chargés des actions des mortels. Mais, aujourd’hui, il suffit de s’autoriser justement des activités chimiques ou physiques se produisant dans l’atmosphère pour se voir porté à prendre le mot rajAAi dans son sens le plus strict, qui veut dire remettre une chose à sa place ou la faire revenir à son lieu d’origine, comme le fait justement l’atmosphère dans le cas des ondes sonores, des rayons nocifs, de la vapeur d’eau, du rayonnement infrarouge, etc. Il est important, en conséquence, de bien noter ce phénomène de réflexion ou de renvoi ; car, associé à l’état d’équilibre initial dans la composition même de l’atmosphère, il assure, ainsi que nous venons de l’écrire, la protection du globe terrestre. Si, au contraire, cet équilibre est rompu, la réflexion ou le renvoi de substances n’en cessera pas moins car tel est l’une des fonctions assignées aux différentes couches de l’atmosphère. Mais la rupture, qui est transgression, est alors grosse de fâcheuses conséquences. Dans un verset qui dit l’harmonie et l’équilibre de la composition atmosphérique, Dieu nous signifie l’ordre de ne pas faire violence à cet équilibre : «Et quant au ciel, Il l'a élevé bien haut. Et Il a établi la balance. Ne transgressez pas dans la balance» (Coran, 55, 7-8). Néanmoins, fort des progrès de sa révolution industrielle, l’homme moderne sonna, plus fort que tous ses ancêtres réunis, le glas de l’équilibre initial : il devra alors se résoudre à recevoir du ciel, sous une forme ou une autre, ce qu’il y dépêche : «La corruption est apparue sur la terre et sur la mer à cause de ce que les hommes ont accompli de leurs propres mains ; afin que Dieu leur fasse goûter une partie de ce qu’ils ont fait. Peut-être reviendront-ils (vers Dieu)» (Coran, 30. 41). Sans entrer ici dans les détails des nombreuses atteintes à l'environnement, qui débordent de loin la seule pollution de l’atmosphère, il suffit d’évoquer brièvement, pour mesurer la portée de la violence faite par l’homme à cet état d’équilibre dans la composition atmosphérique, le célèbre «trou d’ozone», qui fut découvert en 1985 au-dessus de l’Antarctique, et la répercussion de la révolution industrielle sur l’effet de serre. On sait que ce dernier constitue un phénomène naturel d’équilibre thermique. Mais l’augmentation incessante du dioxyde de carbone due et à l’utilisation des combustibles fossiles (charbon et pétrole) et à la déforestation massive, et l’utilisation à une très grande échelle de gaz comme le méthane et les fréons entraînent l'accroissement constant de l'effet de serre, c’est-à-dire une élévation dangereuse de la température globale et, par conséquent, de bouleversements catastrophiques pour l’ensemble de l’écosystème. D’autre part, l’équilibre initial est en outre compromis par la présence dans l’atmosphère de polluants dus aux gaz d’échappement (le dioxyde de soufre, les oxydes d'azote et les hydrocarbures), qui provoquent au contraire des réactions chimiques fort néfastes : le dioxyde de soufre peut se transformer en acide sulfurique formant des smogs dont l’action fort nocive sur les citadins fut souvent relevée dans les rapports médicaux ; le dioxyde de soufre et les oxydes d'azote sont renvoyés à la terre avec les pluies et les neiges après leur transformation au sein de l’atmosphère en des substances acides extrêmement dangereuses ; à très basse altitude de l’atmosphère, les oxydes d’azote et les hydrocarbures se transforment en ozone et en peroxyacyl nitrate entraînant la pollution photo-oxydante, qui provoque la brûlure des végétaux. Ces sont là, décrits trop sommairement, quelques-uns des effets des atteintes faites par l’homme à l’équilibre de l’atmosphère : la découverte par ailleurs de la pollution de l’espace par des débris, des tôles et des fragments de satellites trahit la constante multiplication de ces atteintes et suscite en même temps de nombreuses préoccupations qui se traduisirent récemment par la nécessité de confier les soins d’un scrupuleux suivi de ces objets aux radars du Norad (North American Aerospace Defence) à Colorado Springs.

Le progrès de l’homme doit-il s’accompagner de la démission de son respect envers ce qui est asservi à son seul salut ? À une époque où se multipliaient les affabulations et les explications les plus obscures quant à la nature du ciel ou à celle de l’atmosphère, le Coran vint dire la Vérité tout en annonçant : «Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, afin qu’il leur devienne évident que ceci (le Coran) est la vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute chose?» (Coran, 41. 53).

Bibliographie sélective

I. Sources:

Al QOR'AN EL KARIM. Texte Original.

Le Coran.Essai d’interprétation du Coran Inimitable, trad. D. Masson, rév. S. El-Saleh, Paris, Gallimard, 1967, le Caire, Beyrouth, 1980.

Le saint Coran, trad. et comment. de Muhammad Hamidullah avec la coll. de M. Léturmy
 
la personne disait que le coran est une preuve que jesus n'est pas le fils de dieu.
je lui repond que d'un point de vue historique, il n'y avait pas encore, sauf erreur de ma part, de musulmans a l'epoque de jesus. mahomet qui contrdit la reigion chretienne n'etait pas la il y a 2000 ans.
c'est pour ca que je dis, que pour un non croyant, un musulman ou un chretien, le coran n'est pas une preuve historiquement, il arrive bien trop tard.
quand la personne dit: c'est une preuve, c'est ca foi en ce livre qui parle et uniquemet ca foi. voila pourquoi ce n'est pas credible.

Le Coran est la parole incréée d'Allah, révélée à Son Messager Muhammad (que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui) et destinée à tous les humains conformément à l'enseignement coranique contenu dans ce verset:

"Qu'on exalte la Bénédiction de Celui qui a fait descendre le Livre de Discernement sur Son serviteur, afin qu'il soit un avertisseur à l'univers"
2. Le Coran se reconnaît par ses caractères d'universalité et de perfection. Allah (Qu'Il soit exalté) a dit:

"... Nous n'avons rien omis d'écrire dans le Livre..."

"... Et Nous avons fait descendre sur toi le. Livre, comme un exposé explicite de toute chose, comme un guide une grâce et une bonne annonce aux musulmans".
3. La révélation coranique comporte des commandements destinés à être appliqués et des interdictions de commettre des actes répréhensibles. La récitation à elle seule constitue déjà un acte d'adoration et un moyen d'obtenir une récompense divine.

4. Le Coran est le Livre par lequel Allah a parachevé la religion pour tous les hommes, conformément à cet enseignement coranique:

"... Aujourd'hui, j'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et j'agrée l'Islam comme religion pour vous".
5. Le Coran est demeuré le miracle éternel d'Allah transmis à Son Prophète (que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui) qui de tout temps a fait l'objet du défi divin lancé aux Arabes les plus éloquents en vue de produire un texte similaire, ou dix sourates semblables, voire même une seule sourate pareille au Coran. Les Arabes sont restés impuissants devant le caractère inimitable du Coran et n'ont pu relever le défi qui leur était adressé par les versets suivants:

(Dis: "Quand même les hommes et les djinns s'uniraient pour produire un semblable de ce Coran, ils ne sauraient produire rien de semblable, même s'ils se soutenaient les uns les autres".)

(Disent-ils: "II l'a fabriqué. Dis: "Apportez donc dix sourates semblables à ceci, et fabriqués (par vous). Et appelez qui vous pourrez (pour vous aider) hormis Allah, si vous êtes véridiques.)

(Mais disent-ils: "C'est celui-là (Muhammad) qui l'a inventé? Dis: "Composez donc une sourate semblable à ceci, et appelez à votre aide n'importe qui vous pourrez, à part Allah, si vous êtes véridiques".)
6. Le Coran a été révélé pour exhorter les hommes à vouer la sincérité de leur culte à Allah Seul, sans rien Lui associer comme nous le montrent ces v
 
Haut