je men fous de ses histoire je voit qune chjose tu put le deux poid deux mesur etu veut pas denoncer les juif monstrueux des baratd qui jeter des hommes par la mere
James Dewolf, le faux « négrier juif » (1764-1837)
Sénateur américain du Rhode Island, « Captain Jim » est un des plus grands marchands desclaves de sa génération. Financier de la traite, propriétaire de navires et grand planteur, sa famille possèdait cinq plantations de canne à sucre en Floride et dautres plantations de coton où cravachaient des dizaines desclaves. En 1791, James Dewolf a été poursuivi en justice par le Grand Jury pour le meurtre dune esclave africaine qui, atteinte de la variole, avait été ligotée et jetée par-dessus bord afin de ne pas contaminer le reste de ses esclaves.
En 1803, James et son frère William créèrent la Bank of Bristol avec les capitaux de plusieurs membres de sa famille. Les Dewolf fondèrent aussi la Mount-Hope Insurance Co, une compagnie dassurance qui assurait tous les navires négriers de la famille ainsi que ceux de Bristol à hauteur de 7 000 dollars par bateau. Cest sous limpulsion des Dewolf, cousins des Collins, une autre famille de négriers du Rhode Island, que Bristol surpassa Newport dans les exportations négrières entre 1784 et 1807. La famille finança 88 expéditions négrières, soit le quart des expéditions négrières de Bristol de cette période faste. Sur le plan international, 60% des voyages Bristol-Afrique de cette période sont le fait de navires appartenant à la famille Dewolf. En 1803, en cadeau de Noël à sa femme, James Dewolf offra une petite africaine et un petit africain tirés de son stock desclaves.
Le nom de James Dewolf apparait sur plusieurs sites dans une liste de « négriers juifs » tirée du livre « The secret relationship between blacks and jews » écrit par le département histoire de la Nation of islam. Dans ce livre, page 164, les auteurs expliquent que les historiens juifs nont pas explicitement identifié les Dewolf comme étant de leur race mais que certains lont fait :
« The Jewish historians have not explicitly identified the de Wolfs as members of their "race" though others have traced them to apparently Jewish mots. In James Pope-Hennessy's, Sins of the Fathers : A Study of the Atlantic Slave Traders 1441-1807, he states the following : "Miss Abigail married one of her brother's supercargoes, Marc Antoine de Wolfe, a Jew from the French island of Guadeloupe. De Wolf settled down in his wife's home town of Bristol, Rhode Island, and sent several of their eight sons into the slave trade"».
La source de la citation de Pope-Hennessy renvoie à la note 896 du livre de Nation of islam où il est écrit ceci : « McLoughfin (sic), p. 107. »
La suite dans le lien, le frère Piankhy n'autorise pas qu'on rapporte en entier ses articles!
http://www.piankhy.com/modules/newbb/viewtopic.php?post_id=4580