Malheureusement le mouvement féministe, tel qu'il s'est constitué et se perpétue, semble mériter, à mes yeux, le discrédit que je tente de lui jeter à travers ce post.
En effet, ce féminisme ne se trouve être, ni plus ni moins, qu'un sexisme qui dessert grandement la cause des femmes en servant grandement la cause des marchés et des classes sociales supérieures qui trouvent quelques intérêts communs avec ces hystériques qui s'expriment au nom des femmes qu'elles entendent voir libres à leur image.
De plus, la misandrie qui caractérise les féministes se trouve être profondément boiteuse puisqu'ils (les hommes, ces affreux monstres) leur sont indispensables pour mettre en place le programme, anti-hommes, qu'elles visent à instaurer. En effet, l'homme étant le garant de la sécurité intérieure, celui qui fait respecter les lois et permet une paix sociale (de par sa force physique), il ne reste qu'à se réduire au constat que ce seront les hommes qui seront, seuls, capables de faire respecter les lois que ces féministes aimeraient voir s'appliquer.
La femme n'est dans l'autorité que par la volonté, plus ou moins manifeste, des hommes. Tout à l'heure je voyais un reportage où une responsable d'un salon se chargeait de rabrouer des commerciaux qui ne respectaient par certaines règles instaurée par l'organisation du salon. Mais quelle serait son autorité et le degré de soumission à celle-ci sans la force physique qu'exerceront des hommes pour donner un sens à cette autorité.
Il en est de même dans tout un tas d'autres situations. Une policière seule ou un groupe composée uniquement de femmes n'ont aucune chance de faire respecter la loi auprès de tous sans la force physique de leurs collègues masculins. L'homme est dépendant de la femme dans tout un tas de domaines, de même que la femme est dépendant de l'homme dans tout un tas d'autres domaines à commencer par sa propre sécurité qu'elle ne pourra jamais assurer seule.
En ce sens, les hommes et les femmes sont différents, sont programmés pour des rôles différents, se trouvent être complémentaires, égaux en valeur et en dignité mais naturellement différents. Nier cette évidence comme tentent maladroitement de le faire certains mouvements féministes ou certains faux avant gardiste partisans de la théorie du genre, c'est fourvoyer les gens en les conduisant dans des sentiers dangereux.