Encore une fois tu as tort sur toute la ligne et je te reprend sur le sujet MAINTENANT :
Pendant que P. Reynolds était en état de mort clinique (vidé de sont sang et refroidie à 15 degrés) le personnel médical a effectué des manipulations, des gestes et dis des paroles, je le répète "au moment où elle étais en état de mort clinique (vidé de sont sang et refroidie à 15 degrés).
Une fois revenu "à la vie" elle parla des "manipulations, geste, outils utilisé et paroles prononcé" le docteur Robert Spetzler qui la opéré "confirme" lui même que au moment où tel ou tel manipulation, geste fut effectué elle était en état de mort clinique, le Dr Robert Spetzler affirme lui même que aucune explication "biologique" peut expliquer ça !
Je me souviens avoir vu plusieurs choses dans la salle dopération quand je regardais vers le bas. Jétais beaucoup plus consciente que je ne lai jamais été de toute ma vie... Je masseyais métaphoriquement sur lépaule du Dr. Spetzler. Ce nétait pas comme une vision normale. Cétait plus lumineux, plus précis et plus clair que la vision normale...
Cette sorte de scie, dont jai détesté le bruit, ressemblait à une brosse à dents électrique, elle avait une bosselure et une cannelure au-dessus, là où la scie semblait entrer dans la poignée
Et la scie avait également des lames interchangeables, mais ces lames étaient dans ce qui ressemblait à une caisse de clé à douilles...
Cette description correspondait dans les moindres détails au matériel utilisé par le docteur Spetzler. Un matériel que la patiente navait évidemment jamais vu de sa vie. Sabom lui-même, dont ce nétait pas la spécialité, ne possédait quune vague idée de laspect de ces instruments spécifiques à la neurochirurgie. Sa curiosité ayant été piquée au vif, il sétait rendu sur place, à lhôpital Saint-Joseph, pour les examiner
et constater quils étaient effectivement identiques à ceux que Pam lui avait décrits. Mieux encore, ayant obtenu de léquipe chirurgicale une copie du rapport de lintervention, il avait pu vérifier que le récit de la malade concordait parfaitement, là encore, avec ce que les divers intervenants y avaient noté. Cétait incompréhensible, complètement fou ! Les critères de définition de la mort, tels quils se trouvaient réunis dans ce cas précis, auraient dû interdire toute remémoration. Comment cette jeune femme pouvait-elle se souvenir dun événement dont on est certain quil sest déroulé au moment même où son cerveau ne fonctionnait plus ? Le cardiologue nen revenait pas.
Light and Death, page 41. Traduction par Elodie Maurer.
Le cardiologue Michael Sabom et le chirurgien mondilament connu Robert Spetzler avoue eux même que sont EMI c'est déourlé PENDANT SONT ETAT DE MORT CLINIQUE...
http://adelin.pagesperso-orange.fr/EMI1.htm#_ftnref6
Et ne me sors pas l'excuse habituel du parfait faux *** : ce site n'est pas un site officiel scientifique ! je n'y crois donc pas !