Liste de films censurés
(Liste non exhaustive)
David Griffith, Intolérance (1916), interdit pendant trois ans.
Armand du Plessy, La Garçonne (1923),
Jean Vigo, Zéro de conduite (1933), censuré jusqu'en 1945.
Gil Joseph Wolman, L'Anticoncept (1951), toujours censuré à l'heure actuelle.
Paul Carpita, Le Rendez-vous des quais (1955), censuré jusqu'en 1990.
Stanley Kubrick, Les sentiers de la gloire (1957), censuré jusqu'en 1987.
Jean-Luc Godard, Le Petit Soldat (1960), censuré jusqu'en 1963.
Gillo Pontecorvo, La Bataille d'Alger (1965), censuré jusqu'en 1971.
Jacques Rivette, Suzanne Simonin, la Religieuse de Diderot (1966), censuré jusqu'en 1967.
Tobe Hooper, Massacre à la tronçonneuse, (1974) interdit de salle jusqu'en 1982
Serge Korber, L'Essayeuse (1975), d'abord autorisé, classé X, puis censuré, le réalisateur et les acteurs condamnés à des amendes de 400 à 10000 francs pour outrages aux bonnes murs ; la condamnation est confirmée et amplifiée en appel le 10 juin 1977, les amendes allant alors de 3000 à 18000 francs et la cour d'appel ordonnant « la saisie et la destruction du négatif et de toutes les copies du film ayant servi à commetre le délit »
(Liste non exhaustive)
David Griffith, Intolérance (1916), interdit pendant trois ans.
Armand du Plessy, La Garçonne (1923),
Jean Vigo, Zéro de conduite (1933), censuré jusqu'en 1945.
Gil Joseph Wolman, L'Anticoncept (1951), toujours censuré à l'heure actuelle.
Paul Carpita, Le Rendez-vous des quais (1955), censuré jusqu'en 1990.
Stanley Kubrick, Les sentiers de la gloire (1957), censuré jusqu'en 1987.
Jean-Luc Godard, Le Petit Soldat (1960), censuré jusqu'en 1963.
Gillo Pontecorvo, La Bataille d'Alger (1965), censuré jusqu'en 1971.
Jacques Rivette, Suzanne Simonin, la Religieuse de Diderot (1966), censuré jusqu'en 1967.
Tobe Hooper, Massacre à la tronçonneuse, (1974) interdit de salle jusqu'en 1982
Serge Korber, L'Essayeuse (1975), d'abord autorisé, classé X, puis censuré, le réalisateur et les acteurs condamnés à des amendes de 400 à 10000 francs pour outrages aux bonnes murs ; la condamnation est confirmée et amplifiée en appel le 10 juin 1977, les amendes allant alors de 3000 à 18000 francs et la cour d'appel ordonnant « la saisie et la destruction du négatif et de toutes les copies du film ayant servi à commetre le délit »