Non ta démarche est partielle et subjective puisque tu te borne à te focaliser sur l'accessoire alors que l'essentiel est clairement expliqué dans l'article.
Tu es le juge suprême concernant ce qui est accessoire et ce qui est essentiel ? Tu parlais de modestie plus haut ?
Ou alors, tu admettras que ton avis est tout aussi subjectif qu ele mien.
Si tu n'accepte pas l'idée que entre choisir le travail fait par des scientifiques et ta propre expérience subjective je choisis le travail effectué par des experts c'est ton problème.
C'est bien essayé mais ce n'est pas ce que j'ai dit. Relis-moi encore une fois, t'as du manquer l'essentiel (marrant, parce qu'il y a 1 paragraphe, tu disais pouvoir faire la part des choses).
Tu avoues toi-même que tu vas à l'encontre de la position de ton interlocuteur et adopter une attitude radicale simplement pour contredire même si cela va à l'encontre de ta propre opposition ou conviction. Ce genre de comportement ne reflètent aucunement une démarche pédagogique où scientifique mais plutôt le comportement qui tente désespérément de convaincre son interlocuteur alors qu'elle ne crois même pas ses idées...
AH, donc, maintenant, tu possèdes plus de connaissances concernant la pédagogie que moi avec 20 ans d'expérience dnas le domaine (et 5 ans d'étude qu'on peut rajouter). Moui, pourquoi pas.
Mais pourquoi ai-je l'impression que tu n'es pas du tout au courant du processus appelé le "conflit cognitif" ? Pourtant la base de toute pédagogie actuelle. Renseigne-toi sur celui-ci puis relis-moi, tu comprendras peut-être l'essentiel de mon propos (je sais, je me répète, là aussi, il s'agit de pédagogie).
Est-ce vraiment une bonne méthode pédagogique lorsque on est responsable d'une classe que de contredire des élèves alors que le dialogue et l esprit critique reste l attitude privilégiée pour obtenir des résultats...
Tout à fait. C'est même un des moyens les plus efficace pour provoquer des conflits cognitifs. Et comme la résolution d'un conflit cognitif est habituellement appellé "apprendre" dans le langage du profane (non, ce n'est pas une insulte), je te laisse faire la conclusion tout seul (tu vois, encore une méthodologie différente ici).
Au passage, contredire ne signifie pas "clasher" mais bien "montrer un autre point de vue". C'est en ce sens qu'il faut le comprendre.
S'agissant des propos stigmatisant tenue par des hommes politiques il ne s'agit pas seulement que de la NVA mais cela concerne d'autres parties comme mentionné ci avant. De nouveau si ces propos avaient été tenus en France il y aurait des conséquences juridiques.
Mis à part dans la NVA, les autres politiques se sont fait remettre à leur place par les éléments de leur propre parti. Ce qui explique que je ne me focalise pas sur eux.
Tu semble légitimer le fait de laisser tenir des propos haineux de la part de responsable politiques. Or comme l a souligné Mme Viviane teitelbaum, il est dangereux de banaliser la libération de la parole antisémite et raciste.
Je légitime la liberté d'expression afin non pas de la banaliser mais de la combattre avec plus de force encore. Si tu ne connais pas les arguments de ton adversaire, tu n'es pas capable de les contrer. Et, comme c'est souvent le cas avec la pensée simplifiée des lignes politiques des extrêmistes, de les écraser par la simple logique.
Le terme vermine utiliser par la radio 1000 Coline à Kigali été la conséquence d'une libération de la parole raciste pendant de longs mois a l égard des tutsi...
Le Rwanda ne disposait pas, et ne dispose toujours pas, des institutions que l'on retrouve dans la plupart des pays europpéen et qui permettent, entre autre, de créer des "cordons sanitaires" autour de certaines personnalités politiques pour le moins nauséabondes.
Et ceci est encore plus vrai en Belgique, c'est bien pour cela que le gouvernement actuel se prend grève sur grève, critique sur critique : parce qu'il "collabore" avec des éléments qui, s'ils ne s'affichent pas d'extrême-droite, en sont vraiment pas loin dan sles faits.
Évidemment si tu adopte avec tes élèves la même rigidité que tu adopte ici, il y en effet de sérieuse questions a se poser...
La rigidité peut être une autre méthodologie encore à utiliser à bon escient. Certaines barrières sont placées dans le but que l'apprenant les sautent par lui-même. Et quand on fait bien son boulot, il la saute, se rend compte d'où il est (idéologiquement parlant) et revient de lui-même en arrière.
Bref, placer l'apprenant au centre de son propre apprentissage et ce y compris dans d'autres domaines que ceux purement scolaire.
Au passage, en un seul post, deux attaques ad hominem de nouveau. Ca devient lassant de devoir me répéter encore et encore.
S'agissant de la ségrégation à l'école je ne peux que répéter ce que j'ai dit plus haut c'est-à-dire qu il y a des rapports européen qui démontre que la France et la Belgique sont les pays qui sont champions de la ségrégation scolaire...
Ce qui est une réalité. Une réalité qui trouve ses sources dans l'économique essentiellement et non dans l'école en soi. Je pourrais critiquer le système scolaire belge pendant des semaines sans jamais m'arrêter, sauf pour dormir et manger, et y trouver encore à dire dans 5 mois. Que ce soit par des exemples personnels, par le biais de collègues ou de par mes différentes expériences du coté administratif de la barrière.
Mais, non, ce n'est pas le système scolaire en soi qui est inégalitaire. C'est la société toute entière qui l'est. L'école reflète la société dans laquelle elle s'ancre.
Ce n est évidemment pas ces experts qui manque se crédibilité mais bien toi puisque ton expérience outre qu elle est extrêmement limité elle est subjective car non balisé par une démarche scientifique...
Quand tu dis qu il manque de crédit, comment peut on qualifier ce genre de grave accusations si ce n est de la diffamation ?
Il manque de crédit à l'échelle d'une école. Pas à l'échelle des écoles. J'ai pourtant bien spécifié cela deux ou trois fois dans mes messages précédents, non.
Personnellement, je n'ai vu aucune solution concrète ni même début d'explication à l'inégalité scolaire dans le dernier rapport PISA. Pas vu d'explications concernant mon ancienne ville et quartier. Pas vu d'explication pourquoi l'école à 4 rues d'ici obtient de meilleur résultat, précisément.
C'est, encore et toujours, une question d'échelle. Quand tu regardes l'ensemble, tu ne peux voir le détail. Quand tu vis dans le détail, tu te fous complètement de l'ensemble. Je vis dans le détail parce que c'est mon métier de le faire. Et celui qui voit l'ensemble sans me voir moi (comprendre, la situation de mon école) ne m'intéresse pas. Il ne peut rien m'apprendre de concret et ne peut pas m'aider.