Qu'est-ce que le mal et d'où vient-il ?

  • Initiateur de la discussion AncienMembre
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Un chat n'est pas un agent moral, puisqu'il n'est ni libre ni doué de raison! Donc ça ne compte pas! :eek:

en réalité rare sont les personnes qui savent ce qu'est le bien ... donc pour eux savoir ce qu'est le mal est très difficile vu qu'ils n'ont pas de repère et ne font que se les imaginer ...
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Ah bon un chat n'est pas libre ?

Il n'est pas doué de raison non plus ?

Il suit ses instincts, ses pulsions et ses émotions. Il ne peut s'arrêter et réfléchir à ce qu'il fait... Il "raisonne" dans une certaine mesure pour résoudre des problèmes de chat, comme attraper une souris, mais ça n'en fait pas un agent moral au sens de la philosophie et de la Loi.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
en réalité rare sont les personnes qui savent ce qu'est le bien ... donc pour eux savoir ce qu'est le mal est très difficile vu qu'ils n'ont pas de repère et ne font que se les imaginer ...

Ben la plupart se plient aux exigences de leur milieu, de leur religion, de ce qu'on attend d'eux. Mais il y a aussi des instincts "moraux" qui sont inscrits dans la nature humaine. Par exemple la réciprocité ou l'empathie. Les gens comprennent intuitivement la règle d'or, par exemple, ou les notions de mérites, de récompense et de châtiment.

Mais parfois l'égoïsme prend le dessus et les personnes chutent.
 
bah forcement s'il n'y a pas un rapport a l'autre alors le bien et le mal qu'on peut faire a l'autre n'ont plus de sens

mais tu peux aussi te faire du mal a toi meme non? meme tout seul sur une ile

meme seul le mal existe

Oui j'ai jamais dit ça n'existait pas mais ce n'est pas une notion absolue comme la loi de la gravité.
 
Ben la plupart se plient aux exigences de leur milieu, de leur religion, de ce qu'on attend d'eux. Mais il y a aussi des instincts "moraux" qui sont inscrits dans la nature humaine. Par exemple la réciprocité ou l'empathie. Les gens comprennent intuitivement la règle d'or, par exemple, ou les notions de mérites, de récompense et de châtiment.

Mais parfois l'égoïsme prend le dessus et les personnes chutent.

Il y a des gens qui se moquent éperdument de la réciprocité et de l'empathie.

Et ils sont comme ça, sont ils mauvais dans l'absolu ? Non. Dans la société ? Oui.

Le mal c'est pas quelque chose de défini par la physique, ça varie selon les lieux, les craintes et les espérances des gens c'est tout.
 
en réalité rare sont les personnes qui savent ce qu'est le bien ... donc pour eux savoir ce qu'est le mal est très difficile vu qu'ils n'ont pas de repère et ne font que se les imaginer ...

Donc selon toi le bien est une notion absolue ? Elle transcende le contexte et s'applique partout dans l'Univers ?
 
Donc selon toi le bien est une notion absolue ? Elle transcende le contexte et s'applique partout dans l'Univers ?
ce n'est pas selon moi, mais selon l'essence même de notre existence.

la recherche du bien et du beau n'est pas anodine chez les vrais philosophes ... les autres ne sont que des sophistes ...

a ton avis est ce qu'il peut y avoir d'autre résultat que 4 pour l'addition de 2 + 2 ?? donc pourquoi croire que le véritable bien pourrait avoir des plusieurs définition selon celui qui donne son opinion ?

car pour le moment ce ne sont que des opinions que l'on lis sur le bien et le mal, et comme une opinion n'est pas un science mais juste une idée que l'on se fait, il est donc impossible de bien cerner le mal et le bien avec autant de hasard dans les réponses ...
 
Ben la plupart se plient aux exigences de leur milieu, de leur religion, de ce qu'on attend d'eux. Mais il y a aussi des instincts "moraux" qui sont inscrits dans la nature humaine. Par exemple la réciprocité ou l'empathie. Les gens comprennent intuitivement la règle d'or, par exemple, ou les notions de mérites, de récompense et de châtiment.

Mais parfois l'égoïsme prend le dessus et les personnes chutent.

ces instincts moraux comme tu les nommes sont les opinons vrai qu'ont beaucoup de personne mais ces personnes sont moins nombreuse que la majorité qui est dans l'ignorance ou au mieux dans la foi ...

beaucoup croient faire du bien en faisant en réalité du mal sans le savoir et en cela ils ignorent les conséquence de leur actes ...
 
ce n'est pas selon moi, mais selon l'essence même de notre existence.

la recherche du bien et du beau n'est pas anodine chez les vrais philosophes ... les autres ne sont que des sophistes ...

a ton avis est ce qu'il peut y avoir d'autre résultat que 4 pour l'addition de 2 + 2 ?? donc pourquoi croire que le véritable bien pourrait avoir des plusieurs définition selon celui qui donne son opinion ?

car pour le moment ce ne sont que des opinions que l'on lis sur le bien et le mal, et comme une opinion n'est pas un science mais juste une idée que l'on se fait, il est donc impossible de bien cerner le mal et le bien avec autant de hasard dans les réponses ...

Justement, ce que je dis c'est que le bien et le mal ne sont pas absolus à l'inverse de l'addition 2 + 2 = 4.

Comment tu pourrais démentir ça ? C'est quoi ta science du beau, comment tu la définis ?
 
A

AncienMembre

Non connecté
Salam @Saytham

Ta question me fait penser au paradoxe de l’omnipotence....
Question qui très certainement restera ainsi sans réponse unanime et vérifiée , puisqu'elle fait partie d'une complexité qui nous dépasse.... car divine.;)


Pour commencer avec des versets je pense c'est intéressant :


41. La corruption est apparue sur la terre et dans la mer à cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains;
afin qu'[Allah] leur fasse goûter une partie de ce qu'ils ont oeuvré; peut-être reviendront-ils (vers Allah).
Sourate 30 Verset 41.

" Tout bien qui t'atteint vient de Dieu, et tout mal qui t'atteint vient de toi-même".
Sourate 4 verset 79.



Je pense qu'on est à peu prés tous d'accord pour reconnaitre la toute puissance de Dieu.... et donc qu'il est l'UNIQUE créateur de toute chose.... pour moi ce serait donc incohérent d'attribuer quoi que ce soit, dont le mal, (en terme de création) à autre que Lui....


C'est comme lorsque harut et marut enseigne la magie.... ils ne le font qu'en ayant au préalable prévenu les gens du mal qu'elle renferme.....

Ça peut donc paraître "incohérent", de vouloir le bien pour les autres en leur laissant la possibilité du mal...
Mais quand on sait qu'on est soumis à des lois temporaires, dans un monde éphémère, le mal peut être relativisé je pense.....


Et Dieu sait le mieux .

Je suis d'accord avec pour dire, au final, que rien n'a d'origine en dehors de Dieu. Toute chose qui est a son Être en Dieu, et toute autre chose n'est pas.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Bonsoir,

1/ D'un point de vue spirituel:

Qu'est-ce que le mal ?
On le définit surtout par opposition au bien.
Car c'est le Bien qui fût d'abord.
Qu'est-ce que le bien ?
Tout ce qui Emane de la Source Créatrice.
Qu'est donc le mal par opposition au bien ?
Une déformation, une antithèse de la création parfaite et primordiale.

D'où vient le mal ?
De l'absence du bien.
Je ne crois pas qu'il n'existe en tant que tel, mais il découle de la perte de lumière, de la déconnexion d'avec la Source Créatrice Authentique.
Et c'est un choix que l'on fait grâce au libre-arbitre que nous a consenti le Créateur.
C'est comme ça que Satan, dès qu'il a été privé de lumière divine, est devenu sa propre antithèse et avant-gardiste du Mal.
Cette dualité existe partout dans la création, car elle est parfaite, le vide n'existe pas et en l'absence du bien, apparaît le mal.

C'est bien dit, et j'entends ce point de vue. Il est conforme à l'idée qu'exposait @Ebion (sans y adhérer), selon laquelle le bien est une présence et le mal rien d'autre que son absence. Mais dans ce cas, je te retourne sa propre conclusion :

On peut bien rebaptiser tous les maux "privations" : privation d'ordre, de santé, d'harmonie, de perfection", mais finalement, on en reste là au langage, et le mal ne nous apparaît pas toujours comme une privation. La douleur notamment, surtout quand elle est disproportionnée, ne ressemble pas à une privation, mais plutôt à un excès... Et si vous dites qu'il s'agit ici d'une privation de mesure, vous parlez abstraitement, loin de l'expérience vécue.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Qu'est ce que le mal ? D'après le premier dictionnaire qui a apparu sur un célèbre moteur de recherche le mal est défini comme étant ce qui est contraire au bon, à la vertu ; ce qui est condamné par la morale. Ou encore ce qui est susceptible de nuire, de faire souffrir, ce qui n'est pas adapté.

D'après ces définitions, on remarque d'abord que le mal ne peut être défini sans son contraire, il est donc une négation du bon, du bien, de la vertu. Il me semble donc nécessaire de définir également le bien, le bon ou encore la vertu, mais puisqu'ils ont une connotation « religieuse », je pense donc qu'il serait plus cohérent avec le sujet de retenir la définition du mal comme ce qui est susceptible de nuire, de faire souffrir, ce qui n'est pas adapté. Je commence par la dernière partie « ce qui n'est pas adapté ». On peut comprendre qu'est mal tout ce qui n'entre pas dans la « norme », ce qui est différent. Mais ce serait malhonnête de s'arrêter là ( dommage:D ). L'autre définition, ce qui est susceptible de nuire, de faire souffrir, nous apporte un autre élément, c'est l'effet que ce qui est qualifié de mal a, ou plutôt peut avoir sur une personne ou un groupe de personnes.

Ce que toutes ces définitions nous apporte, c'est qu'il y a indéniablement quelque chose de relatif dans le mal, puisqu'il est le contraire de quelque chose. On suppose donc qu'il n'est pas absolu.

Jusque là, si j'ai bien compris, je dirais que je suis d'accord ! :) Il y a donc une antériorité du bien par rapport au mal, et ce dernier ne fait que réagir négativement à ce qui est avant lui.

Je reformule ta question, si les Ecritures nous permettent de nommer le mal, l'aurions nous nommé quand même, même sans Elles ?

Cette question est en effet très importante, abordée d'ailleurs par saint Paul dans l'Epître aux Romains (7 : 7-11) :

« [...] La Loi est-elle péché ? Pas du tout ! Mais je n’aurais pas connu le péché s’il n’y avait pas eu la Loi ; en effet, j’aurais ignoré la convoitise si la Loi n’avait pas dit : Tu ne convoiteras pas. Se servant de ce commandement, le péché a saisi l’occasion : il a produit en moi toutes sortes de convoitises. Sans la Loi, en effet, le péché est chose morte, et moi, jadis, sans la Loi, je vivais ; mais quand le commandement est venu, le péché est devenu vivant, et pour moi ce fut la mort. Il se trouve donc que, pour moi, ce commandement qui devait mener à la vie a mené à la mort. En effet, le péché a saisi l’occasion ; en se servant du commandement, il m’a séduit et, par lui, il m’a tué. »

Il aurait donc plutôt tendance à y répondre par la négative.

Si le mal est relatif, la réponse est oui. L'être humain, vivant en groupe, met en place des règles, un code de conduite que les individus d'un même groupe doivent suivre, auxquels ils doivent se soumettre pour qu'une vie en communauté soit possible. Le fait que ces règles changent d'une zone géographique à une autre, d'une époque à une autre montre que ce concept peut en effet être contextuel.

Ce qui rend la chose plus complexe, c'est le fond même de ces règles ou règlements. On remarque souvent qu'ils ont des choses en commun, pas uniquement entre elles, mais aussi avec la religion. Je citerai, à titre d'exemple, la condamnation du meurtre ou de la violence. Pourquoi ? Cela signifie-t-il que l'homme a quelque chose en lui, autre que la foi ou ses croyances, qui lui permet de distinguer le mal ?

Eh oui, là encore, je suis d'accord avec toi ! Il me paraît évident que toutes les cultures morales du monde, en dépit des barrières du temps et de l'espace, ont un fond commun même quand elles s'ignorent les unes et les autres. Cela pourrait venir du fait qu'il y a peut-être quelque chose d'incréé et d'incréable dans l'âme humaine qui n'est pas sensible aux variations du monde (le contexte)... je le crois.

Si le mal est extérieur à Dieu mais identifiable par l'homme, est ce que cela ne voudrait il pas dire que le mal est en l'homme ?

Oui. Mais si l'Être de l'homme ne provient que de Dieu, d'où provient le mal qui est en lui ?
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Bonjour 7orra @hakkai ! :timide:

Les catastrophes naturelles ne seraient pas maux? o_O Tu crois que les victimes de l'ebola ne souffraient pas physiquement et psychologiquement? Ou les victimes du tsunami en 2004? Et comment prétendre que ces pauvres méritaient ce qui leur est arrivé? Dans certains cas, ce sont des enfants qui sont morts! Ou des enfants ont été laissés orphelins par la mort de leurs parents! Et que dire des maladies génétiques? Comme la schizophrénie, la fibrose kystique, et ce genre de plaies?

Ton opinion va à contre-courant de presque toute l'humanité et de la plupart des philosophes...
 
Bonjour 7orra @hakkai ! :timide:

Les catastrophes naturelles ne seraient pas maux? o_O Tu crois que les victimes de l'ebola ne souffraient pas physiquement et psychologiquement? Ou les victimes du tsunami en 2004? Et comment prétendre que ces pauvres méritaient ce qui leur est arrivé? Dans certains cas, ce sont des enfants qui sont morts! Ou des enfants ont été laissés orphelins par la mort de leurs parents! Et que dire des maladies génétiques? Comme la schizophrénie, la fibrose kystique, et ce genre de plaies?

Ton opinion va à contre-courant de presque toute l'humanité et de la plupart des philosophes...


Je pense que la nature, la Terre nous rend ce qu'on lui donne, ce qu'on en fait. Si on la souille, si on dérègle son cycle et son bon fonctionnement, un déséquilibre apparaîtra. On trouve cela aberrant parce que ce n'est pas forcément ceux qui la souille qui subissent les conséquences désastreuses de ces déséquilibres. Mais pour moi, ça ne l'est pas parce que l'humanité est une, c'est juste nous qui l'avons oublié. C'est pour cela que je ne pense absolument pas que les gens méritent de mourir dans un tsunami, je n'ai pas dit ça, j'ai dit que des fois l'homme est inconscient et il sous estime la force de la nature.
D'un autre côté, si ces catastrophes naturelles nous permettent de prendre conscience de l'autre, de sa souffrance, de voir certains élans de solidarité, je dis que c'est tant mieux, peut être que ça nous fera réfléchir. L'homme n'a jamais autant vécu dans le confort et en a oublié sa nature, son essence.

Pour les maladies, je suis incapable de te donner une réponse. Personnellement, si j'ai un cancer je ne me soignerai pas, je fumerai du cannabis ( pour des raisons thérapeutiques, hein :D ) et je profiterai des jours qui me resteront. Je n'ai jamais compris cette envie de vivre le plus longtemps possible, l'immortalité n'en parlons pas, pour moi c'est de la pure folie que de ne point vouloir mourir !
 
Si nos mauvaises actions proviennent également de Dieu, alors, ça voudrait dire que Dieu est la source du Mal.
DIEU n est pas la source du mal!!!!! mais l'homme depuis la nuit de temps a toujour eu le libre arbitre
tout le mal qui a pu se répendre sur terre n'est que les conséquences des actes de chacun
chacun est résponsable de ces actes nous avons été crée ainsi par notre Créateur
l'obscurité n'est plus si la lumière de dieu rentre dans les coeurs
 
DIEU n est pas la source du mal!!!!! mais l'homme depuis la nuit de temps a toujour eu le libre arbitre
tout le mal qui a pu se répendre sur terre n'est que les conséquences des actes de chacun
chacun est résponsable de ces actes nous avons été crée ainsi par notre Créateur
l'obscurité n'est plus si la lumière de dieu rentre dans les coeurs


Dans ce cas, relis toi et arrête de dire que tout vient de lui, même nos mauvaises actions
 
Salut à tous,

Je partage avec vous une question, finalement classique, que nous nous sommes posés ensemble, ce soir, avec un ami musulman : qu'est-ce que le mal et d'où vient-il ?

Si l'on part d'une hypothèse religieuse et monothéiste, soit l'on considère que rien n'existe en dehors de Dieu, et dans ce cas la différence de nature entre le bien et le mal perd de son évidence ; soit l'on considère qu'un principe mauvais préexiste à toute chose, à l'égal de Dieu, et l'on risque dans ce cas d'admettre que ce dernier n'est pas tout à fait seul à l'origine.

En gros, soit la frontière entre bien et mal devient flou, et dans ce cas on risque le panthéisme ; soit elle est bien radicale, originelle, et dans ce cas c'est le manichéisme qui nous guette.

Enfin, si je partage cette question dans la section Islam, c'est bien parce que je compte avant tout la voir abordée d'un point de vue croyant et majoritairement musulman... mais ce n'est pas pour autant que les avis des athées, agnostiques et bouddhistes (#cc @Yamantaka ) ne m'intéressent pas ! Selon vous, sans l'hypothèse divine, est-ce que le concept même de "mal" a un sens ? Et si oui, n'est-il alors que purement contextuel, seulement déterminé par le temps et le lieu où on lui donne la définition de mal ? Et si non, si vous lui donnez valeur d'absolu, alors la question redevient la même qu'au débat : qu'est-il et d'où vient-il ?

Si la question a déjà été posée avant, alors je vous présente mes excuses... en même temps, peut-être n'est-il pas mauvais de revenir sans cesse sur quelque chose d'aussi fondamental (me semble t-il) ?
je vais repondre a ta question si il y avait que le bien c est comme tu regardais une tv en noir et blac ca serait terne mais le melange du bien et du mal te permet de regarder une tv en couleur, n oublie pas que tu mange du salé et du sucrer, l existance meme se fait par paire, disons que les choses ont ete decider comme ca par le createur y aura deja intelligent pour s en sortir et y aura des ânes qui vont couler, une question ne se pose pas a partir du moment ou on ne peut rien y changer, la vie est faite de comparaison et de son contraire, il faut du froid et du chaud,
 
DIEU n est pas la source du mal!!!!! mais l'homme depuis la nuit de temps a toujour eu le libre arbitre
tout le mal qui a pu se répendre sur terre n'est que les conséquences des actes de chacun
chacun est résponsable de ces actes nous avons été crée ainsi par notre Créateur
l'obscurité n'est plus si la lumière de dieu rentre dans les coeurs
disons que l homme au niveau cerveau malheureusement est un peu raté, faible, ***, etc..... bourré de defaut, et tout le monde sais que l inperfection ne peut pas donner du parfait
 
C'est bien dit, et j'entends ce point de vue. Il est conforme à l'idée qu'exposait @Ebion (sans y adhérer), selon laquelle le bien est une présence et le mal rien d'autre que son absence. Mais dans ce cas, je te retourne sa propre conclusion :

On peut bien rebaptiser tous les maux "privations" : privation d'ordre, de santé, d'harmonie, de perfection", mais finalement, on en reste là au langage, et le mal ne nous apparaît pas toujours comme une privation. La douleur notamment, surtout quand elle est disproportionnée, ne ressemble pas à une privation, mais plutôt à un excès... Et si vous dites qu'il s'agit ici d'une privation de mesure, vous parlez abstraitement, loin de l'expérience vécue.

C'est pour ça que j'ai tout de suite distingué dans ma réponse initiale l'aspect spirituel, la cause abstraite mais néanmoins révélant la naissance du mal; et l'aspect terrestre (souffrance, douleur, malheur, épreuve) qui en est la conséquence et qui lui est vécu matériellement.

L'expérience vécue à elle seule ne suffirait jamais à expliquer le mal; il paraît aléatoire, injuste, excessif si on ne se penche pas sur son côté abstrait. Dans un monde psychiquement limité au cartésien c'est effectivement très abstrait d'expliquer le mal par la privation de mesure, car il n'y a déjà aucune conscience de cette "mesure".

Quelqu'un qui éprouve une douleur/souffrance intense sur terre, donc confronté au mal, l'appréhendera différemment selon ses croyances : pour les uns ce sera excès et injustice, pour d'autres cela peut-être une découverte du sens de l'épreuve et l'occasion d'une formidable avancée spirituelle et un gain de qualités profondes : patience, endurance, sagesse, force ..

A noter que de toutes manières chez le croyant comme chez l’athée, on s'accorde à constater que les douleurs forgent l'être et l'élèvent, donc si le mal n'existe pas en tant qu'absolu, il reste même dans l'excès un salut pour l'homme par la Grâce et la Miséricorde de Dieu.
 
A

AncienMembre

Non connecté
je vais repondre a ta question si il y avait que le bien c est comme tu regardais une tv en noir et blac ca serait terne mais le melange du bien et du mal te permet de regarder une tv en couleur, n oublie pas que tu mange du salé et du sucrer, l existance meme se fait par paire,

Admettons ! Même si je pense que les paires sont loin d'être aussi bien séparées que cela la plupart du temps...

disons que les choses ont ete decider comme ca par le createur y aura deja intelligent pour s en sortir et y aura des ânes qui vont couler, une question ne se pose pas a partir du moment ou on ne peut rien y changer, la vie est faite de comparaison et de son contraire, il faut du froid et du chaud,

Là, je ne suis pas d'accord avec toi : c'est justement lorsqu'on ne peut rien y changer qu'une question doit se poser avec le plus de vigueur. Là où on ne peut rien changer, c'est là qu'on touche au plus profond de la nature humaine, à la part de sa nature qui échappe au monde visible.
 
Admettons ! Même si je pense que les paires sont loin d'être aussi bien séparées que cela la plupart du temps...



Là, je ne suis pas d'accord avec toi : c'est justement lorsqu'on ne peut rien y changer qu'une question doit se poser avec le plus de vigueur. Là où on ne peut rien changer, c'est là qu'on touche au plus profond de la nature humaine, à la part de sa nature qui échappe au monde visible.
en general quand quelque chose tu peut y rien y changer y a pas beaucoup de reponse pour ne pas dire pas du tout, inutile de perdre son energie a ca et concentrons sur ce que on peut changer, je parle au niveau psychologique et pas technologique qui est ko generalisé
 

Ruh75

VIB
Salut à tous,

Je partage avec vous une question, finalement classique, que nous nous sommes posés ensemble, ce soir, avec un ami musulman : qu'est-ce que le mal et d'où vient-il ?

Si l'on part d'une hypothèse religieuse et monothéiste, soit l'on considère que rien n'existe en dehors de Dieu, et dans ce cas la différence de nature entre le bien et le mal perd de son évidence ; soit l'on considère qu'un principe mauvais préexiste à toute chose, à l'égal de Dieu, et l'on risque dans ce cas d'admettre que ce dernier n'est pas tout à fait seul à l'origine.

En gros, soit la frontière entre bien et mal devient flou, et dans ce cas on risque le panthéisme ; soit elle est bien radicale, originelle, et dans ce cas c'est le manichéisme qui nous guette.

Enfin, si je partage cette question dans la section Islam, c'est bien parce que je compte avant tout la voir abordée d'un point de vue croyant et majoritairement musulman... mais ce n'est pas pour autant que les avis des athées, agnostiques et bouddhistes (#cc @Yamantaka ) ne m'intéressent pas ! Selon vous, sans l'hypothèse divine, est-ce que le concept même de "mal" a un sens ? Et si oui, n'est-il alors que purement contextuel, seulement déterminé par le temps et le lieu où on lui donne la définition de mal ? Et si non, si vous lui donnez valeur d'absolu, alors la question redevient la même qu'au débat : qu'est-il et d'où vient-il ?

Si la question a déjà été posée avant, alors je vous présente mes excuses... en même temps, peut-être n'est-il pas mauvais de revenir sans cesse sur quelque chose d'aussi fondamental (me semble t-il) ?
Salam alaykoum,

Je pense que le mal ne découle que de notre faiblesse (nos peurs, nos doute qui provoque jalousie et envie de supériorité), d'ailleurs le diable lui même essaye seulement de prouver que l'homme est faible et qu'il agit faiblement.
La meilleur image que l'on puisse donner est celle de l'homme qui rêve d'être riche et qui est prêt à tout pour l'être, il va faire du mal (bien sur les mécanismes de protections psychologique feront qu'il arrivera à se persuader qu'il ne fait rien de mal mais ça c'est un autre débat) mais finalement bien qu'il fasse des choses peu recommandable, peu compassionnel, la source de cela a était la peur d'être celui qui serait exploité et à décidé d'être l'exploiteur.
Donc le mal n'est pas un moteur, comme peu l'être le bien, mais la conséquence de nos faiblesses
 
en general quand quelque chose tu peut y rien y changer y a pas beaucoup de reponse pour ne pas dire pas du tout, inutile de perdre son energie a ca et concentrons sur ce que on peut changer, je parle au niveau psychologique et pas technologique qui est ko generalisé
Salam alaykoum,

Je pense que le mal ne découle que de notre faiblesse (nos peurs, nos doute qui provoque jalousie et envie de supériorité), d'ailleurs le diable lui même essaye seulement de prouver que l'homme est faible et qu'il agit faiblement.
La meilleur image que l'on puisse donner est celle de l'homme qui rêve d'être riche et qui est prêt à tout pour l'être, il va faire du mal (bien sur les mécanismes de protections psychologique feront qu'il arrivera à se persuader qu'il ne fait rien de mal mais ça c'est un autre débat) mais finalement bien qu'il fasse des choses peu recommandable, peu compassionnel, la source de cela a était la peur d'être celui qui serait exploité et à décidé d'être l'exploiteur.
Donc le mal n'est pas un moteur, comme peu l'être le bien, mais la conséquence de nos faiblesses
C est faux, le mal existe même chez les animaux qui vivent paisiblement, meme ton propre estomac peut te faire mal si tu le remplie pas, donc je dirai que tant que l electron tourne autour du noyau y aura de la souffrance,
 

Ruh75

VIB
C est faux, le mal existe même chez les animaux qui vivent paisiblement, meme ton propre estomac peut te faire mal si tu le remplie pas, donc je dirai que tant que l electron tourne autour du noyau y aura de la souffrance,
Je ne suis pas d'accord.
Tu confonds faire le mal et avoir mal, je sais qu'on utilise le même mot en français mais ça n'a pas le même sens.
La douleur n'est pas forcément un mal, au contraire c'est un avertisseur pour que tu puisses te soigner, imagine un instant qu'un homme ne ressente plus de douleur. Tout d'un coup il s'écroulerait.
 
Le mal si on peut l'appeler comme ça, c'est nos Intentions lorsqu'elles sont injustent je dirais.

Ça provient du démon.

Le reste ce n'est que le destin
 
Dernière édition:
Je ne suis pas d'accord.
Tu confonds faire le mal et avoir mal, je sais qu'on utilise le même mot en français mais ça n'a pas le même sens.
La douleur n'est pas forcément un mal, au contraire c'est un avertisseur pour que tu puisses te soigner, imagine un instant qu'un homme ne ressente plus de douleur. Tout d'un coup il s'écroulerait.
Le mal si on peut l'appeler comme ça, c'est nos Intentions lorsqu'elles sont injustent je dirais.

Ça provient du démon.

Le reste ce n'est que le destin
c est pas faux ce que tu dis
 
Dans ce cas, relis toi et arrête de dire que tout vient de lui, même nos mauvaises actions
toute chose sur cet terre a été créer par ALLAH AZAWAJELLE
L'eau a été créer par ALLAH AZAWAJELLE
Tu prend cet eau et tu la souille ou la salis ALLAH AZAWAJELLE est il responsable de l'eau qui est devenu impure?
NONNNNNNNNNNNNNNNNN
Mais il t'a donné tout les instruments pour salir cet EAU OU NAN c est se qu on apel le libre arbitre
si tu ne comprend pas sa je peus rien faire pour toi......
 
toute chose sur cet terre a été créer par ALLAH AZAWAJELLE
L'eau a été créer par ALLAH AZAWAJELLE
Tu prend cet eau et tu la souille ou la salis ALLAH AZAWAJELLE est il responsable de l'eau qui est devenu impure?
NONNNNNNNNNNNNNNNNN
Mais il t'a donné tout les instruments pour salir cet EAU OU NAN c est se qu on apel le libre arbitre
si tu ne comprend pas sa je peus rien faire pour toi......


LOL, je n'ai fait que souligner l'incohérence de tes propos.
 
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