Et à une fille, pour lui suggérer la persévérance, tu lui dit quoi ?
Et bien tu lui dit d'être une femme, c'est simple ? Ou tu veut un dessin?
Et à une fille, pour lui suggérer la persévérance, tu lui dit quoi ?
C’est bien ce que je disais alors, aucune raison de faire une différence. Alors pourquoi en faire une ?Et bien tu lui dit d'être une femme, c'est simple ? Ou tu veut un dessin?
C’est bien ce que je disais alors, aucune raison de faire une différence. Alors pourquoi en faire une ?
Conclusion so far: « c’est normal qu’on répercute une différence dans le langage, pour parler d’une chose au sujet de laquelle il n’y a pas de différence. »Et bien mon (ou ma) cher(e) hibou57 je n'ai pas inventé ces expressions, et c'est naturellement qu'il y a des différences entre l'homme et la femme c'est normal que cela se répercute sur le langage.
Conclusion so far: « c’est normal qu’on répercute une différence dans le langage, pour parler d’une chose au sujet de laquelle il n’y a pas de différence. »
Si c’est pas ramer dans la semoule ça, je sais pas ce que c’est.
On l'entend souvent ....... Mais au fond, ça veut dire quoi ? Qu'il faut être fort ? Qu'il faut savoir se sacrifier ? Qu'il faut gagner à tout prix ?
Peut être que c'est plus simple que ça.............. C'est peut être savoir accepter ses faiblesses......... Parfois, être un homme, un vrai, c'est savoir mettre sa fierté de côté............ reconnaître la défaite et simplement tout recommencer.
Parfois aussi c'est demander pardon quand il faut....Et reconnaître ses torts tout simplement.
Au Maroc ça se dit aussi au féminin "kouni mra" (=soit une femme) et en général ça va dans le même sens que "soit un homme (koun rajel)... En gros "assume tes responsabilitées et /ou fait face a ce que tu dois surmonter etcEt à une fille, pour lui suggérer la persévérance, tu lui dit quoi ?
J’ai dis que les féministes se moquent des discrimination sexistes subies par les hommes.
Puisque tu parle de 14‑18 : les féministes ne sont pas responsables (ou pas seules responsables) de cette guerre, mais elles ne voient aucun sexisme dans le net excès de mortalité masculine pendant cette guerre (et encore, c’est sans parler des conditions de cette mortalité, le plus souvent horrible). Par contre, si les victimes avaient été principalement des femmes, on entendrait les féministes en parler tous les jours.
Concernant les responsabilités des guerres, les féministes n’étant pas moins racistes, pas plus libérales, que le reste de la population, elles en ont au moins autant responsables. D’ailleurs, elles n’ont jamais milité pour la fin du service militaire obligatoire, une question qui même les faisaient bien rigoler.
Tu divagues, on ne parlait pas de ça, on parlait de certaines qualités en particulier, qui ne sont pas liées au sexe ou dont l’attente ne devrait pas être liée au sexe/genre. Pourquoi tu détourne le propos vers un autre sujet qui n’a rien à voir… quelque chose te dérange dans le propos initial ?Tu ne voit pas de différences entre un homme et une femme?
J’ai dis que les féministes se moquent des discrimination sexistes subies par les hommes.
Puisque tu parle de 14‑18 : les féministes ne sont pas responsables (ou pas seules responsables) de cette guerre, mais elles ne voient aucun sexisme dans le net excès de mortalité masculine pendant cette guerre (et encore, c’est sans parler des conditions de cette mortalité, le plus souvent horrible). Par contre, si les victimes avaient été principalement des femmes, on entendrait les féministes en parler tous les jours.
Concernant les responsabilités des guerres, les féministes n’étant pas moins racistes, pas plus libérales, que le reste de la population, elles en ont au moins autant responsables. D’ailleurs, elles n’ont jamais milité pour la fin du service militaire obligatoire, une question qui même les faisaient bien rigoler.
Parce que la paix c’est une affaire spécifiquement féminine ? Ou alors elles se servaient d’une image, d’une mystification, associé à leur sexe ?http://ciera.hypotheses.org/305
Les faits sont connus : la conférence internationale de femmes qui eut lieu à La Haye du 28 avril au 1er mai 1915 marque le point de départ d’un mouvement mondial de femmes pour la paix […]
Et elles leurs disaient « non, n’y va pas, ne fait pas ça » ? Tu rêves, elles disaient « vas‑y, sinon tu va faire honte à la famille » (et j’en ai eu des échos de personnes âgés qui ont connu la deuxième guerre mondiale).Excuse-moi, mais l'immense majorité des guerres ont été causées et entretenues par des MECS, donc les féministes n'ont pas à se lamenter sur le net excès de la mortalité masculine. Les mecs n'ont que ce qu'ils méritent!
Parce que la paix c’est une affaire spécifiquement féminine ? Ou alors elles se servaient d’une image, d’une mystification, associé à leur sexe ?
Tu divagues, on ne parlait pas de ça, on parlait de certaines qualités en particulier, qui ne sont pas liées au sexe ou dont l’attente ne devrait pas être liée au sexe/genre. Pourquoi tu détourne le propos vers un autre sujet qui n’a rien à voir… quelque chose te dérange dans le propos initial ?
Et d’exiger qu’il en soit ainsi, une affaire typiquement féminine.Chose certaine, la guerre, c'est une affaire typiquement masculine!
Et elles leurs disaient « non, n’y va pas, ne fait pas ça » ? Tu rêves, elles disaient « vas‑y, sinon tu va faire honte à la famille » (et j’en ai eu des échos de personnes âgés qui ont connu la deuxième guerre mondiale).
On l'entend souvent ....... Mais au fond, ça veut dire quoi ? Qu'il faut être fort ? Qu'il faut savoir se sacrifier ? Qu'il faut gagner à tout prix ?
Peut être que c'est plus simple que ça.............. C'est peut être savoir accepter ses faiblesses......... Parfois, être un homme, un vrai, c'est savoir mettre sa fierté de côté............ reconnaître la défaite et simplement tout recommencer.
Parfois aussi c'est demander pardon quand il faut....Et reconnaître ses torts tout simplement.
Bon, pour faire simple et revenir au début, la question était simplement ça : pourquoi donner un genre à un concept qui n’en a pas ?Je ne détourne rien c'est toi qui reproche à l'esprit populaire de faire des sentences selon toi mysogine, je te dit seulement qu'il faut en vouloir à la nature des choses elle même
Faut dire qu’il n’y a jamais eu besoin de trop les pousser… les uns en avant, elles planquées derrière, ça leur convenait très bien ainsi, et peu nombreuses étaient celles qui avaient envie que ça change. Ça se voit encore de nos jours, avec les femmes qui vivent planquée derrière leur homme (et souvent au sens propre). D’ailleurs, les féministes prônent‑elles la fin du statut de victimes devant être protégées par les hommes ou la perpétuation de ce principe auquel elles s’accrochent ? Je te laisses chercher…Et n'oublie pas que les femmes du passé ont été savamment conditionnées à soutenir l'idéologie patriarcale
Faut dire qu’il n’y a jamais eu besoin de trop les pousser… les uns en avant, elles planquées derrière, ça leur convenait très bien ainsi, et très peu nombreuses étaient celles qui avaient envie que ça change. D’ailleurs ça se voit encore de nos jours, avec les femmes qui vivent planquée derrière leur homme (et souvent au sens propre).
C'est vrai qu'elles étaient toutes contentes de voir mari et enfants aller se faire tuer ailleurs pour pouvoir piquer leur place aux champs et dans les usines.Et elles leurs disaient « non, n’y va pas, ne fait pas ça » ? Tu rêves, elles disaient « vas‑y, sinon tu va faire honte à la famille » (et j’en ai eu des échos de personnes âgés qui ont connu la deuxième guerre mondiale).
Bon, pour faire simple et revenir au début, la question était simplement ça : pourquoi donner un genre à un concept qui n’en a pas ?
Oulala... quelle vision as-tu des féministes toi?En effet, et on peut ajouter que pour l’hypocrisie féministe, tout ceci n’est pas du sexisme, et c’est juste « normal ».
Peut-être es-tu tombé sur des femmes qui n'ont de féministe que le nom?Et elles leurs disaient « non, n’y va pas, ne fait pas ça » ? Tu rêves, elles disaient « vas‑y, sinon tu va faire honte à la famille » (et j’en ai eu des échos de personnes âgés qui ont connu la deuxième guerre mondiale).
Dans le cas contraire, il faudra expliquer pourquoi elles étaient pliées de rire et pouffaient quand je leur proposais de participer aux manifestations contre le service militaire obligatoire.