droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Extrait Amnesty International : le lien n'est pas fourni en respect de la charte
Les autorités soudanaises doivent libérer immédiatement 10 femmes arrêtées dans la capitale, Khartoum, pour "tenue indécente". Les charges retenues contre elles doivent être abandonnées.
Au moment de leur arrestation, ces femmes chrétiennes et étudiantes, originaires des monts Nouba du Kordofan du Sud, déchiré par la guerre, portaient des pantalons ou des jupes. La police de l'ordre public a arrêté 12 femmes en face de l'église évangélique baptiste où elles avaient assisté à une cérémonie, le 25 juin.
Il est scandaleux que ces femmes risquent d'être battues pour avoir choisi de porter une jupe ou un pantalon. Le Soudan doit abandonner les poursuites et libérer ces femmes immédiatement. Un ourlet n’est pas un crime.
10 FEMMES, ÂGÉES DE 17 A 23 ANS, RISQUENT D'ÊTRE FLAGELLÉES
Deux d’entre elles ont été libérées. Les 10 autres ont été inculpées et comparaîtront devant un tribunal la semaine prochaine. Si elles étaient reconnues coupables, chacune d’elles pourrait recevoir 40 coups de fouet.
À l'exception de l’étudiante de 17 ans dont le cas sera examiné par un tribunal pour mineurs, les autres femmes devraient comparaître les 13, 16 et 17 juillet.
UNE LOI QUI BAFOUE LE DROIT DES FEMMES
La loi sur l'ordre public est imposée de façon extrêmement discriminatoire et totalement inappropriée au Soudan. Elle porte atteinte aux droits des femmes.
Nous appelons également les autorités soudanaises à abroger le « crime » de « tenue indécente » inscrit dans l'article 152 du Code pénal (1991) du Soudan. Cet article donne à la police de l'ordre public une grande latitude pour arrêter toute personne portant une « tenue indécente ». Si la personne est déclarée coupable, elle peut recevoir 40 coups de fouet ou une amende, voire les deux.
Les autorités soudanaises doivent libérer immédiatement 10 femmes arrêtées dans la capitale, Khartoum, pour "tenue indécente". Les charges retenues contre elles doivent être abandonnées.
Au moment de leur arrestation, ces femmes chrétiennes et étudiantes, originaires des monts Nouba du Kordofan du Sud, déchiré par la guerre, portaient des pantalons ou des jupes. La police de l'ordre public a arrêté 12 femmes en face de l'église évangélique baptiste où elles avaient assisté à une cérémonie, le 25 juin.
Il est scandaleux que ces femmes risquent d'être battues pour avoir choisi de porter une jupe ou un pantalon. Le Soudan doit abandonner les poursuites et libérer ces femmes immédiatement. Un ourlet n’est pas un crime.
10 FEMMES, ÂGÉES DE 17 A 23 ANS, RISQUENT D'ÊTRE FLAGELLÉES
Deux d’entre elles ont été libérées. Les 10 autres ont été inculpées et comparaîtront devant un tribunal la semaine prochaine. Si elles étaient reconnues coupables, chacune d’elles pourrait recevoir 40 coups de fouet.
À l'exception de l’étudiante de 17 ans dont le cas sera examiné par un tribunal pour mineurs, les autres femmes devraient comparaître les 13, 16 et 17 juillet.
UNE LOI QUI BAFOUE LE DROIT DES FEMMES
La loi sur l'ordre public est imposée de façon extrêmement discriminatoire et totalement inappropriée au Soudan. Elle porte atteinte aux droits des femmes.
Nous appelons également les autorités soudanaises à abroger le « crime » de « tenue indécente » inscrit dans l'article 152 du Code pénal (1991) du Soudan. Cet article donne à la police de l'ordre public une grande latitude pour arrêter toute personne portant une « tenue indécente ». Si la personne est déclarée coupable, elle peut recevoir 40 coups de fouet ou une amende, voire les deux.