En trois semaines, les frappes russes en Syrie ont causé la mort de 370 personnes selon une ONG. parmi eux, 127 civils, dont 36 femmes et 34 enfants.
La ville de Talbisseh, près de Homs, le 30 septembre 2015.
En trois semaines, les frappes russes en Syrie ont causé la mort de 370 personnes selon une ONG. parmi eux, 127 civils, dont 36 femmes et 34 enfants.
Lancée fin septembre, les centaines de frappes russes en Syrie ont tué 370 personnes, "dont 243 combattants parmi lesquels 52 du groupe djihadiste Etat islamique, et 127 civils, dont 36 femmes et 34 enfants", selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
Ces frappes ciblent principalement les provinces d'Alep et d'Idleb, de Lattaquié, de Homs et Hama et la province de Damas, tenues par les rebelles modérés ou islamistes alliés au Front al-Nosra.
Dans la province de Lattaquié, les raids russes ont tué lundi 45 personnes, en majorité des rebelles, dont un commandant, mais aussi des civils, dans la région montagneuse stratégique de Jabal Akrad tenue par les insurgés, selon l'OSDH.
Nouvel exode
En marge de ces frappes aériennes, l'armée syrienne a lancé une offensive au sud de la ville d'Alep le 17 octobre, soutenue au sol par des combattants iraniens et du Hezbollah libanais. L'objectif est de s'emparer de secteurs situés près de la route stratégique reliant Alep à la capitale Damas, bastion du régime. Cette offensive a chassé des dizaines milliers de Syriens hors de leurs foyers. Au moins 70 000 civils, selon la BBC.
Selon (OSDH), le régime a pris cinq villages dans ce secteur depuis le début de l'offensive. Al-Watan, quotidien proche du pouvoir, assure quant à lui que l'armée s'est emparée de 16 villages et sept collines soit 100 km² carrés.
J'avoue attendre avec impatience les commentaire de ceux qui conspuent les bombardement Americains du fait des morts collatérales, et qui ont acclamé l'arrivée des russes qui vont libérer la Syrie.
La ville de Talbisseh, près de Homs, le 30 septembre 2015.
En trois semaines, les frappes russes en Syrie ont causé la mort de 370 personnes selon une ONG. parmi eux, 127 civils, dont 36 femmes et 34 enfants.
Lancée fin septembre, les centaines de frappes russes en Syrie ont tué 370 personnes, "dont 243 combattants parmi lesquels 52 du groupe djihadiste Etat islamique, et 127 civils, dont 36 femmes et 34 enfants", selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
Ces frappes ciblent principalement les provinces d'Alep et d'Idleb, de Lattaquié, de Homs et Hama et la province de Damas, tenues par les rebelles modérés ou islamistes alliés au Front al-Nosra.
Dans la province de Lattaquié, les raids russes ont tué lundi 45 personnes, en majorité des rebelles, dont un commandant, mais aussi des civils, dans la région montagneuse stratégique de Jabal Akrad tenue par les insurgés, selon l'OSDH.
Nouvel exode
En marge de ces frappes aériennes, l'armée syrienne a lancé une offensive au sud de la ville d'Alep le 17 octobre, soutenue au sol par des combattants iraniens et du Hezbollah libanais. L'objectif est de s'emparer de secteurs situés près de la route stratégique reliant Alep à la capitale Damas, bastion du régime. Cette offensive a chassé des dizaines milliers de Syriens hors de leurs foyers. Au moins 70 000 civils, selon la BBC.
Selon (OSDH), le régime a pris cinq villages dans ce secteur depuis le début de l'offensive. Al-Watan, quotidien proche du pouvoir, assure quant à lui que l'armée s'est emparée de 16 villages et sept collines soit 100 km² carrés.
J'avoue attendre avec impatience les commentaire de ceux qui conspuent les bombardement Americains du fait des morts collatérales, et qui ont acclamé l'arrivée des russes qui vont libérer la Syrie.