3 etapes qui bloc : Critique-remise en question-communiquer

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tajali

Déni
VIB
je constate depuis que je suis sur ce forum
toujours le meme schema qui bloque toute discutions saine
ce qui empeche d'echanger nos points de vue de facon sereine et courtoise ...

1/je critique une chose qui pose problème de mon point de vue
1er blocage : rapport malsain à la critique exemple susceptibilité mal placé

2/pour remettre en question cette chose qui pose problème
2eme blocage : incapacité a remettre en question certaine chose

3/afin d'ouvrir une discution pour partager nos point de vue
3eme blocage : incapacité a communiquer et debattre sur le sujet en question

4/pour identifer et cerner le probleme et nos points de desaccord et trouver une reponse

je les toujours dis je suis ouvert a la critique et a la contradiction
donc meme ce schema est critiquable
mais cela doit etre un minimum argumenté
il ne suffit pas de dire tes bete ton schema est nulle
autrement vous entrez dans ce que je decris dans ce schema
votre incapacité à communiquer afin d'echanger nos point de vue de facon courtoise et sereine
 
Dernière édition:
je vous donne un exemple concret

1/je critique une chose de l'islam
1er blocage on evite la question en m'accusant par exemple d'etre islamophobe

2/ok je me remet en question donc je pose la question a mon accusateur c quoi etre islamophobe ?
incapacité a repondre clairement a cette simple question

3/donc ses meme accusateur au lieu d'expliquer en quoi je suis islamophobe
vont saboter la communication avec des reponse absurde sans le moindre argument clair
car il savent que cela ne veut rien dire et que leur but premier est d'eluder la premiere question
à savoir tout debat remettant en question l'islam et tout critique possible a son egard
les gens qui le font le font par conditionnement il repete un schema qu'on leur a appris inconsciement :

1/interdiction de se poser des question ou de critiquer le dogme mal assimiler
2/pour ne pas remettre en question le dogme
3/dissuader tout personne qui ne respecte pas les 2 premier point en sabotant toute tentative de debat
4/repeter sans comprendre et suivre aveuglement ce dogme mal assimiler l'important c de sauvez les apparence
 
Dernière édition:
1/interdiction de se poser des question ou de critiquer le dogme mal assimiler
2/pour ne pas remettre en question le dogme
3/dissuader tout personne qui ne respecte pas les 2 premier point en sabotant toute tentative de debat
4/repeter sans comprendre et suivre aveuglement ce dogme mal assimiler l'important c de sauvez les apparence
Le problème de certains croyants, et j'en connais aussi chez les chrétiens, c'est que le dogme structure leur vie, et toute remise en question les met mal à l'aise parce que leur monde s'écroule.
 
une conversation normal devrait ressemblai a cela :

1/je critique un aspect de l'islam

reponse a ma critique sois sur le fond sois sur la formulation
a/la facon de formuler ma critique manque d'objectivité avec citation à l'appuie
b/ma critique ne tiens pas compte de votre sensibilité en tant que musulmans en expliquant pourquoi
c/ma critique manque de justesse ou de precision parceque argument1 arg2 etc ..
d/etc ...

il y a un million de facon intelligente de me reprendre en retournant ma critique contre moi meme
 
Dernière édition:
Le problème de certains croyants, et j'en connais aussi chez les chrétiens, c'est que le dogme structure leur vie, et toute remise en question les met mal à l'aise parce que leur monde s'écroule.

je sais bien
et c'est cela qui devrait les interpeller pourquoi un tel mal aise ?
leur croyance n'est elle pas sensé leur apporté une forme de serenité ?

si la moindre critique ou objection menace de faire effondrer leur monde
c 'est que leur fondation ne sont pas solide et il en ont conscience mais prefere faire comme si de rien n'etait

pour reprendre la parole des evangiles et du coran :
il ont construit leur demeure sur un sol croulant ...
 
Dernière édition:
Je me suis remis en question plus souvent que toi.

Il y a une différence entre birdman et ebion d'aujourd'hui.

birdman n'encaisse pas la critique
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le mastermind
le role de la peur et la honte dans le deni blocage prison mental
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www.bladi.info/threads/mes-100000-questions.451080/page-2#post-15054840
www.bladi.info/threads/palais-du-mem-plexe.540320/#post-17965365
www.bladi.info/threads/mon-corp-cette-membrane-a-la-fois-ouvert-sur-linfni-et-referme-sur-elle-meme.475181/#post-18372548
www.bladi.info/threads/enterez-la-petite-fille-almaw-udatu-qui-est-en-nous.540510/#post-18070463

www.bladi.info/threads/quel-serie-du-type-westworld-et-mr-robot.481605/#post-18106033
 
Dernière édition:
Le motif « red wheelbarrow » fonctionne comme un pivot narratif :
www.bladi.info/threads/quel-serie-du-type-westworld-et-mr-robot.481605/#post-18100264
  • Elliot : la brouette rouge est son journal, un support fragile de sa subjectivité, puis sa destruction symbolise sa difficulté à maintenir une séparation claire entre lui et Mr. Robot.
  • Tyrell : pour lui, c’est un souvenir paternel mêlé de honte et de rejet, donc un symbole d’identité refusée.
  • Narration : le poème original insiste sur la dépendance à des éléments banals mais essentiels. Dans la série, cela renvoie à la dépendance des personnages à leurs points d’ancrage psychiques, même fragiles.
En somme, la brouette rouge est le symbole d’un poids psychologique : chacun « charge » la brouette de ses souvenirs, illusions ou doubles identités. Sa présence récurrente met en relief la question centrale de la série : sur quoi repose vraiment notre réalité et qui contrôle la narration.

Veux-tu que je développe ce parallèle plus du côté psychologique (Elliot/Mr. Robot) ou plus du côté symbolique/littéraire (poème et mise en scène) ?


Traduction littérale du poème de William Carlos Williams :
tant de choses dépendent d’une brouette rouge
vernissée par l’eau de pluie
auprès des poules blanches

C’est un texte volontairement simple, sans ponctuation, qui juxtapose images concrètes.


Le poème est minimaliste, mais il a suscité beaucoup d’analyses. Points essentiels :
  • Objet banal rendu essentiel : « tant de choses dépendent » affirme qu’un outil rural simple (une brouette) soutient la vie quotidienne. Importance du trivial.
  • Image visuelle : contraste rouge de la brouette / blanc des poules / transparence de l’eau. Pure scène visuelle qui fonctionne comme un haïku occidental.
  • Concrétude : Williams rejetait l’abstraction. Son credo était « no ideas but in things » = pas d’idées sans choses. La vérité passe par l’objet concret.
  • Fragilité et dépendance : l’eau de pluie qui « vernit » la brouette suggère que la vie tient à peu, à des éléments simples et vulnérables.
En résumé, l’interprétation dominante : le poème célèbre la valeur universelle des petites choses matérielles, souvent invisibles, dont dépend toute existence humaine.
Veux-tu que je te montre aussi comment cette lecture s’applique directement à Mr. Robot ?
 
structure dynamique du groupe

www.bladi.info/threads/mascarade-et-honnete-radicale.457832/page-4#post-18393087
www.bladi.info/threads/trouvez-vous-les-autres-interessant.480293/
www.bladi.info/threads/qui-est-responsable-nous-sommes-le-fruit-de-lincompetence-des-parents-imam-etc.541203/page-3#post-18393052
www.bladi.info/threads/de-quel-droit-un-parent-impose-sa-religion-a-son-enfant.556955/#post-18393104

www.bladi.info/threads/combien-de-musulman-le-sont-par-peur-pression-etc-et-non-pas-par-libre-choix.546931/page-8

 
Dernière édition:
 
Plusieurs disciplines étudient le groupe :
  • Psychologie sociale : normes, rôles, influence, conformisme, dynamique de groupe.
  • Sociologie : institutions, hiérarchies, organisation, pouvoir, statut.
  • Anthropologie : rituels, symboles, cohésion culturelle des groupes.
  • Sciences de gestion / management : fonctionnement des équipes, leadership, organisation du travail.
  • Théorie des organisations : structures formelles, bureaucraties, systèmes complexes.
  • Systémique / cybernétique : modèles de rétroaction, équilibre, adaptation des systèmes sociaux.


Cartographie des disciplines qui étudient le groupe :
1. Psychologie sociale
  • Angle : interaction entre individus.
  • Concepts : influence, conformisme, rôles, leadership, dynamique de groupe (Lewin, Tuckman).
2. Sociologie
  • Angle : groupe comme partie d’une société.
  • Concepts : statut, hiérarchie, institution, classes, réseaux sociaux (Durkheim, Weber, Bourdieu).
3. Anthropologie
  • Angle : culture et symboles.
  • Concepts : rites, mythes, structures de parenté, cohésion par tradition (Mauss, Lévi-Strauss).
4. Sciences de gestion / management
  • Angle : efficacité des groupes de travail.
  • Concepts : organisation, performance, leadership managérial, motivation (Taylor, Mayo, Mintzberg).
5. Théorie des organisations
  • Angle : architecture des systèmes collectifs.
  • Concepts : bureaucratie, structure formelle/informelle, contingence, systèmes ouverts (Weber, Crozier, Lawrence & Lorsch).
6. Systémique et cybernétique
  • Angle : groupe comme système régulé.
  • Concepts : rétroaction, homéostasie, entropie, autorégulation (Bertalanffy, Wiener, Morin).
Chaque discipline éclaire une facette.
Veux-tu que je montre comment elles s’articulent ensemble, comme un modèle intégré de la mécanique du groupe ?
 
Modèle intégré des études du groupe :

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1. Base : mécanique interne (psychologie sociale)
  • Forces : attraction, répulsion, influence.
  • Processus : formation, conflit, normalisation, performance.
  • Niveau d’analyse : individus en interaction.

2. Enveloppe : cadre social (sociologie)
  • Statuts, rôles sociaux, hiérarchies.
  • Institutions qui encadrent le groupe.
  • Niveau d’analyse : rapports entre groupes dans la société.

3. Profondeur culturelle (anthropologie)
  • Symboles, rites, mythes.
  • Identité collective, appartenance.
  • Niveau d’analyse : culture, tradition, vision du monde.

4. Fonctionnalité pratique (gestion / management)
  • Organisation du travail.
  • Leadership opérationnel.
  • Performance et adaptation aux objectifs.
  • Niveau d’analyse : équipe, entreprise, organisation concrète.

5. Structure formelle (théorie des organisations)
  • Types d’architecture : hiérarchie, réseau, bureaucratie, matrice.
  • Procédures et règles.
  • Niveau d’analyse : organisation comme entité durable.

6. Vision systémique (systémique / cybernétique)
  • Groupe vu comme système ouvert.
  • Flux d’information et rétroactions.
  • Équilibre entre stabilité et changement.
  • Niveau d’analyse : interaction avec l’environnement.

Ces six angles se superposent :
  • Psychologie sociale = micro.
  • Sociologie / anthropologie = méso et macro.
  • Gestion / théorie des organisations = application.
  • Systémique = intégration.
 
dynamique et structure d’un groupe.

1. Définition du groupe
  • Ensemble d’individus liés par un objectif, une activité, ou une identité commune.
  • Limites claires ou floues (membres, non-membres).

2. Structure
  • Hiérarchie : rôles formels (chef, subordonnés) ou informels (leader d’opinion, bouc émissaire).
  • Normes : règles explicites et implicites qui régulent comportements.
  • Réseau : interactions, alliances, sous-groupes.

3. Dynamique interne
  • Communication : circulation de l’information, transparence ou rétention.
  • Pouvoir et influence : légitime (institution) ou charismatique (personnalité).
  • Cohésion : degré d’attachement au groupe, solidarité vs fragmentation.
  • Conflit : rivalités, tensions productives ou destructives.

4. Processus temporels (Tuckman, modèle classique)
  • Formation → agitation (conflits) → normalisation → performance → dissolution.

5. Facteurs externes
  • Pression sociale, ressources, environnement, culture globale.

Veux-tu que je développe chaque étape avec exemples concrets (entreprise, secte, équipe sportive) ou que je reste théorique ?
 
La « mécanique du groupe » = les forces en jeu qui maintiennent ou transforment sa structure.

Principaux axes :
  1. Forces d’attraction
    • Objectif partagé.
    • Affinités personnelles.
    • Avantages matériels ou symboliques.
  2. Forces de répulsion
    • Conflits d’intérêt.
    • Rivalités de statut.
    • Manque de reconnaissance.
  3. Équilibre interne
    • Distribution des rôles (leader, suiveur, médiateur, opposant).
    • Stabilité des normes et valeurs.
    • Gestion des déviances et sanctions.
  4. Flux d’énergie sociale
    • Motivation collective qui monte ou s’effondre.
    • Investissement des membres (participation, retrait).
  5. Transformation
    • Crises → réorganisation.
    • Entrées/sorties de membres → redéfinition de la cohésion.
C’est proche d’une mécanique physique : forces, résistances, équilibres, ruptures.

Veux-tu que je développe en analogie stricte avec la mécanique (forces, inertie, centre de gravité, entropie),
ou plutôt dans un cadre psychosocial (exemples réels, expériences connues) ?
 
L’organisation est la mise en forme stable de la mécanique du groupe.

Mécanique = forces mouvantes.
Organisation = structure ordonnée qui canalise ces forces.


Éléments de l’organisation :
  1. Division des rôles : qui fait quoi.
  2. Chaîne d’autorité : qui décide, qui exécute.
  3. Procédures : manières convenues d’agir.
  4. Système de communication : flux d’information officiel et officieux.
  5. Rythme : réunions, rituels, routines.
Une organisation agit comme un cadre rigide.
Elle réduit l’entropie des dynamiques, mais peut aussi bloquer l’adaptation.

Veux-tu que j’articule clairement les trois niveaux :
  • mécanique (forces),
  • dynamique (processus),
  • organisation (structure formalisée) ?
 
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