On prend une courbe qui tend vers zéro en approchant de l’infini et qui tend vers l’infini en approchant zéro, une hyperbole. On prend la courbe et on la fait tourner autour de x, ça donne une sorte de trompette qui a été nommée Trompette de Gabriel. Il a été démontré que la surface de cette trompette est infini, mais que son volume est fini. On se demande si on peut peindre l’intérieur de cette trompette. On est tenté de dire non, comme sa surface est infinie, mais on est tenté de dire oui, parce qu’on peut la remplir de peinture comme son volume est fini, et si on la rempli de peinture, on a peint sa surface infinie avec une quantité de peinture finie.
Il y a de quoi devenir broken‑broken‑broken
. J’essaierai de méditer sur ce paradoxe un jour, il doit avoir une solution. Je pressens que la trompette n’est pas réellement peinte sur toute sa surface.
D’autres dans la vidéo ci‑dessous. @Ebion, @typologie
Il y a de quoi devenir broken‑broken‑broken
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