Actualité de l'extrême droite en France
- Initiateur de la discussion Personne2
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Président du Parti national breton, un groupuscule d’extrême droite réunissant à peine quelques dizaines de militants, Erwan Pradier a eu les honneurs ce week-end de la télévision d’État algérienne
www.20minutes.fr
Pour la télévision algérienne, la Bretagne est « sous occupation française »
Président du Parti national breton, un groupuscule d’extrême droite réunissant à peine quelques dizaines de militants, Erwan Pradier a eu les honneurs ce week-end de la télévision d’État algérienne
Aigleloyal
VIB
Président du Parti national breton, un groupuscule d’extrême droite réunissant à peine quelques dizaines de militants, Erwan Pradier a eu les honneurs ce week-end de la télévision d’État algérienne
Pour la télévision algérienne, la Bretagne est « sous occupation française »
Président du Parti national breton, un groupuscule d’extrême droite réunissant à peine quelques dizaines de militants, Erwan Pradier a eu les honneurs ce week-end de la télévision d’État algérienne
La junte fait la pub pour les groupuscules d'extreme-droite identitaire en France.
Plus logique qu'il n'y paraît, ils ont tellement en commun...
Et puisque la TV algérienne s'intéresse aux indépendantistes en France (Bretons, Kanaks, Basques...) et au Maroc (Polisario), il serait intéressant qu'ils donnent également la parole au MAK
Personne2
VIB
Défilé néonazi à Paris : le récit d’un incroyable laisser-faire
17 mai 2025La justice a donné son feu vert pour qu’un millier de néonazis paradent dans Paris le 10 mai. Mediapart a eu accès au rapport de la préfecture de police qui demandait l’interdiction de la manifestation. Et a enquêté sur des membres du cortège ainsi que sur deux incidents antisémites. L’ensemble rend l’autorisation peu compréhensible.
Au premier rang, deux hommes cagoulés en chemise blanche rythment la marche à l’aide de tambours identiques à ceux de la Jeunesse hitlérienne. À leurs côtés, deux autres militants portent des drapeaux ornés de la rune Algiz, symbole employé notamment dans les codes funéraires nationaux-socialistes.
Comme tous les ans, une armada de néonazi·es a paradé samedi 10 mai dans les rues de la capitale, sous la surveillance bienveillante des forces de l’ordre. Et comme tous les ans, le défilé du Comité du 9-Mai (C9M), qui vise à commémorer la mort d’un activiste d’extrême droite, Sébastien Deyzieu, a été inondé de références au Troisième Reich.
Sans que cela justifie, aux yeux du tribunal administratif de Paris, l’interdiction de la manifestation, en dépit des arguments déployés par la préfecture de police de Paris, auxquels Mediapart a eu accès, et qui demandait à ce que le rassemblement ne puisse pas se tenir.
Le défilé a été rythmé par des tambours identiques à ceux de la Jeunesse hitlérienne. Les organisateurs s’en sont défendus dans un communiqué, expliquant que ces instruments étaient en fait des « tambours lansquenets », du nom de ces mercenaires germaniques qui opéraient aux XVe et XVIe siècles, porteurs selon eux d’un « imaginaire d’honneur, de fidélité et de résistance ». Tout à gauche de l’image, un drapeau orné d’une rune Algiz, symbole du mysticisme nazi.