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PureMinded :
Y a deux possibilités à tes questions.
Soit l'armée de l'air ferme une zone précise de l'espace aérien. Dans le cas de manoeuvres à grande échelle. En Europe, ça ne se fait pratiquement pas. En Russie, Chine ou aux USA beaucoup plus. Une plus petite zone, quand il s'agit d'entrainement au combat de chasseur bombardier mono/biplace. Certaines zones sont fermées tout court d'ailleurs, pour permettre à ces chasseurs de s'entrainer aux manoeuvres, au dogfight, à l'acquisition de cible, etc...
Soit c'est un transport. Matériel, troupes, humanitaire. Dans ce cas-là, ils empruntent les mêmes couloirs aériens que les civils. La seule différence, c'est qu'ils sont prioritaires sur tout, en cas de mission de combat ou de ravitaillement de zone de combat. Pour l'humanitaire, sauf catastrophe type Haiti, il me semble que ce ne soit pas le cas.
Dans les deux cas de figure, les avions ne disparaissent pas des radars. Les civils peuvent toujours les suivre. Et comme la plupart des controleurs aériens sont des gens intelligents, très diplomés, ils développent une autre qualité propre à ce type de personnes : la curiosité. C'est cliché mais ça reste vrai. C'est même problématique dans les opérations "noires", il te faut des gens surentrainés mais surtout intelligents. Donc, curieux. Et qui devinent très vite ce que tu veux leur faire faire en réalité.
En ce qui concerne les images de chemtrails diffusées, ce sont majoritairement des avions de ligne civils. Ca signifie qu'il faudrait, en plus des controleurs, corrompre la ou les sociétés dont on emprunte le nom et ce à plusieurs niveau d'opération. Compta, technicien, controleurs aériens, personnel au sol, etc... Mathématiquement improbable qu'il y en ai pas une partie qui se rendent compte d'une couillonade.
Pour ce qui concerne l'influence du climat, c'est du geo-engineering en effet. Sauf que les épandages ne sont pas envisagés autrement que sur papier et tableau noir pour le moment. Toutes les solutions de geo-engineering ne sont d'ailleurs, pour le moment, que des projets sur papier et/ou en laboratoire, à échelle limitée. On en est pas sorti et, vu le cheminement habituel de la science, si les tests sont concluants, on aura peut-être une expérience pratique à plus grande échelle dans une dizaine d'année.
Faut bien comprendre qu'avant d'écarter une solution, on l'étudie à fond. Même si les esprits raisonnables invoquent le "bon sens" et disent que "c'est dangereux". La science voit le "bon sens" comme un frein potentiel à la connaissance (ce qui est le cas 99,99% du temps). Et que tant qu'on a pas prouvé que c'était une mauvaise idée, on continue. Une fois l'échec obtenu (en labo), on décrit l'idée comme étant mauvaise. Et on en est content, puisque la science est composée de 99% d'études qui aboutissent à des résultats "mauvais" ou "faux". Pour une étude qui donne le résultat escompté, on en a au moins 99 qui cherchaient une autre pistes et se sont plantés. Sauf que sans ces 99 là, on aurait jamais eu celle qui donnait la solution.
Le climat est quelque chose de très mal maitrisé, encore aujourd'hui. On sait, de façon scientifique, que le réchauffement du climat est une réalité. On sait que la main de l'homme y a une part non négligeable. Et c'est grosso-modo tout ce qu'on sait. Ah, non, on sait aussi que ça va pas s'arranger. Comment, on sait pas trop, mais pas en bien d'après les estimations.
En ce qui concerne la ligne droite de vapeur qui s'étend, oui, c'est de la condensation. Un phénomène habituel dans les avions quand ils passent dans une zone où le taux d'humidité local est proche de celui de la formation de nuage. Le fonctionnement même d'un avion, et de sa turbine en particulier, fait qu'il accèlère la condensation à un niveau très local. Et si l'humidité de l'air est très très proche de celui nécessaire à la formation de nuage naturels, ils prennent longtemps à se dissiper. Comme je l'ai expliqué avec le sel ou l'aspirine dans l'eau précédemment. Même principe, on change juste de milieu.