Bavure policière

dans la nuit du 25 au 26 avril, des flics ont humilié un jeune homme à l’Île Saint-Denis, en banlieue parisienne. Ne sachant pas qu’ils étaient filmés, les policiers l’ont frappé à plusieurs reprises et se sont également permis des remarques racistes.
Il est 1h43 du matin dans la nuit du 25 au 26 avril quand un habitant de l’Île Saint-Denis entend des cris. Il sort alors pour filmer discrètement la scène. Quelques minutes plus tôt, une jeune de Villeneuve-La-Garenne s’est jeté dans la Seine pour échapper à la police. Les flics, qui l’ont repêché, s’en donnent à cœur-joie : le jeune homme est tabassé, humilié et copieusement insulté.
La vidéo, publiée sur Facebook et Twitter par le journaliste Taha Bouahfs, est insoutenable. On entend le jeune hurler de douleur, on entend des bruits de coups, on entend les policiers traiter la mère du jeune homme de ****, on entend les policiers rire en voyant le jeune homme se tordre de douleur, on entend même un policier dire « un bicot [terme raciste pour désigner les personnes d’origine maghrébine NDLR] comme ça, ça nage pas » et son collègue répondre « haha ça coule, tu aurais du lui accrocher un boulet au pied ».
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Cette nouvelle affaire de violence de la part des flics racistes intervient dans un contexte tendu après plusieurs affaires similaires ayant déclenché des révoltes populaires en banlieue parisienne, mais également à Limoges.
 
S

Soomy

Non connecté
C’est reparti avec le jeune de 18 ans qui s’est mangé un poteau et qui ne portait pas de casque
A un moment faut arrêter de jouer les cowboy
Après ça vient pleurer ça vient accuser la police et ça fait des cagnottes Leechi et organise des marches blanches pour des trucs qui auraient pu être évité !!
Ça brûle tout dans la cité et crie à l’injustice mais quand il s’agit de respect les lois ils font les rebelles

 
C’est reparti avec le jeune de 18 ans qui s’est mangé un poteau et qui ne portait pas de casque
A un moment faut arrêter de jouer les cowboy
Après ça vient pleurer ça vient accuser la police et ça fait des cagnottes Leechi et organise des marches blanches pour des trucs qui auraient pu être évité !!
Ça brûle tout dans la cité et crie à l’injustice mais quand il s’agit de respect les lois ils font les rebelles

Tu parles mal comme une banlieusarde et de qui ? Des banlieusards :choqué:
3ajib
 
FAIT DIVERS - La police des polices est saisie après cette nouvelle affaire qui va relancer le débat sur les violences policières. Selon LCI, c’est le parquet de Bobigny qui a décidé, vendredi 29 mai, de saisir l’IGPN après les accusations portées par la famille d’un adolescent défiguré, à l’issue d’un passage au commissariat de Bondy dans la nuit du 25 au 26 mai.
Selon Le Bondy Blog, Gabriel, 14 ans, a été arrêté avec un ami alors qu’ils tentaient de voler un scooter dans une rue de la ville. Le récit qu’il fait de son arrestation est glaçant.
“Il y avait trois garçons et une femme. Ils m’ont plaqué au sol, ils ont mis un genou sur ma tête, un genou sur mes épaules, ils m’ont mis les menottes. La femme qui est blonde tenait mes chevilles pendant qu’un agent barbu, assez gros, me donnait des coups de botte dans la tête”, explique-t-il au média en ligne.
Un appel de la police, puis de l’hôpital
Il est alors emmené au commissariat. Aux alentours de 4h, la police prévient la maman que son fils est en garde à vue pour le vol d’un scooter. L’appel suivant viendra des urgences pédiatriques de l’hôpital de Bondy; les médecins diagnostiquent notamment une fracture de la zone orbitale, raconte Le Parisien. Il a en outre trois dents cassées.
C’est dans cet état que sa famille le retrouve; les photos publiées par le Bondy Blog le montrent en effet le visage tuméfié. “Il était tout gonflé, il n’arrivait pas à parler. Il n’a pas mangé pendant trois jours et pas dormi non plus, comme nous tous. Pourquoi l’ont-ils battu comme un chien?”, se demande sa maman dans Le Parisien.
“A la vue de la police, l’ado s’est enfui, il a fait une chute et s’est rebellé lors de son interpellation”, indique à l’AFP une source policière. La police l’a conduit à l’hôpital “pour vérifier la compatibilité de son état avec une garde à vue”, poursuit cette source.
L’IGPN doit désormais élucider les circonstances de cette interpellation qui intervient quelques jours seulement après la polémique née des...
le Huffington Post
 
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