euh c'était de l'humour évidemment, regarde les proportions que prennent un peu d'humour ...
vous théorisez sur la forme, mais dans le fond rien, je te cite "Ce que j'ai souligné néanmoins, c'est qu'il y a certains points au niveau de notre culture, de nos traditions, nos manières de penser et donc au niveau de certains concepts éducatifs.. qui faut essayer de changer et donc d'y remédier. Car il ne sont franchement pas supers mais je préfère ne point détailler là-dessus.. la polémique c'est pas mon Top.."
ce qu'on demande c'est justement de détailler et d'apporter des éléments concrets surlesquelles on peut apporter une réponse, pour éviter de trop écrire pour ne finalement rien dire.
Argumentation contre argumentation c'est simple ...
Cat un dossier qui peut t'ouvrir les yeux Incha'Allah :
Les projets davenir des enfants dimmigrés :
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/Dos1RefImm.pdf
Quelques idées :
-Selon l'insee Au terme de leurs études secondaires, les enfants dimmigrés restent
ainsi en grande partie fidèles aux aspirations élevées de leurs parents et à la volonté
dascension sociale qui est souvent sous-jacente au projet migratoire.
Conclusion : réelle envie des parents de voir leur enfant s'élever a un niveau social supérieur du leur
Encore selon l'Insee : À situation sociale et familiale comparable, les enfants dimmigrés ont des chances au moins
égales à celles des autres élèves de préparer un baccalauréat général
Les plus grandes difficultés scolaires que rencontrent les enfants dimmigrés ne sont pas indépendantes
de leur environnement familial et social. Ainsi, les trois quarts dentre eux appartiennent
à une famille dont la personne de référence est ouvrière, employée de services ou inactive
contre un tiers des jeunes dont aucun des parents nest immigré. Leurs parents sont aussi plus
souvent peu ou pas diplômés : seuls 12%des pères et 14%des mères immigrées possèdent au
moins le baccalauréat.
À caractéristiques sociales et familiales comparables, les enfants dimmigrés, à lexception des
jeunes dorigine turque, ont des chances dêtre lycéen général ou technologique au moins égales
à celles des jeunes dont la famille nest pas immigrée . Si les différences sont faibles
pour laccès au lycée professionnel, ces jeunes, hormis ceux dorigine portugaise ou
espagnole, restent éloignés de lapprentissage. Enfin, les enfants dimmigrés présentent, toujours
à caractéristiques sociales et familiales comparables, un risque moins élevé de sortie précoce
du système éducatif que les autres élèves
Conclusion si égalité sociale et familiale un immigré a autant de chances qu'un français de souche de réussir, conclusion l'inégalité sociale et familiale explique l'échec !
À caractéristiques sociales et familiales comparables, la filière denseignement supérieur souhaitée
dépend avant tout de la situation scolaire du jeune. Le fait dêtre dorigine immigrée a un
impact propre beaucoup plus réduit. Les effets mis en évidence reflètent une certaine hétérogénéité
de comportement selon lorigine géographique.
Pour fini je dirais que la majorité des personnes qui sont intervenus dans ce sujet et qui approuvent les inepties de l'étranger, sont :
-des gens qui n'ont pas grandis en banlieue
-qui habitent en belgique et ne connaissent rien du système communautaire français qui est d'ailleurs plus lié au social qu'a l'origine ethnique bien qu'il existe malheureusement une corrélation entre les 2
donc on va tous arreter de s'improviser sociologues et apporter seulement des éléments concrets.
Bonne soirée.