Débat : amazighs

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gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
si nous sommes integralement chez nous

ce sont les arabistes qui occupent l'espace lol:D
Répond à ce quizz :

1) Quel est la langue la plus parlé en Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

2) Quel est la culture la plus présente en Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

3) A quel peuple s'identifient le plus les habitants en Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

4) Quel est le peuple emblématique de l'Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

:)
 

Slavanitch

la terre est plate
D'avoir une épicerie à deux mais seulement une paire de babouche pour être sur que l'un d'entre nous soit toujours dans la boutique.
D'avoir un miroir dans la caisse pour être sur que c moi qui prend l'argent.
D'avoir un crayon derriere l'oreille et un calepin pourri dans la poche pour noter les crédits.
d'avoir des article périmés dans la Bisserie


sors un peu de ta ville polluée

99.9 % des amazighs sont loin de chez toi lol:D
 

Slavanitch

la terre est plate
Répond à ce quizz :

1) Quel est la langue la plus parlé en Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

2) Quel est la culture la plus présente en Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

3) A quel peuple s'identifient le plus les habitants en Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

4) Quel est le peuple emblématique de l'Afrique du Nord ?
- a) arabe
- b) amazigh

:)

a toutes les reponses je reponds amazigh

l'arabe n'est la langue de personne
elle est juste apprise a l'ecole


dans la vie quotidienne les maghebins parlent le darija qui est une langue composée de diverses apports linguistiques:)
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
ah ça commence a devenir interesant :D

tu parle de melange

donc les arabes ne sont plus arabes

donc tu n'est plus arabe depuis des lustres


tu vois quand tu veux
La pureté ethnique n'existe pas ;)

Génétiquement nous sommes un mélange comme les autres peuples du globe mais culturellement nous sommes arabes et la culture qui domine n'est pas celle de ceux qui sont les plus nombreux mais celle de ceux qui sont les plus riches culturellement.
 

boudinar

ⴱⵓⴷⵉⵏⴰⵔ
VIB
1) Quel est la langue la plus parlé en Afrique du Nord ?
Darija (un mixte d'arabe,amazigh et autre)

2) Quel est la culture la plus présente en Afrique du Nord ?
(amazigh,arabe,africaine,méditerranéenne )

3) A quel peuple s'identifient le plus les habitants en Afrique du Nord ?
ça dépend la région

4) Quel est le peuple emblématique de l'Afrique du Nord ?
arabe et amazigh (plus amazigh)[/QUOTE]
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
1) Quel est la langue la plus parlé en Afrique du Nord ?
Darija (un mixte d'arabe,amazigh et autre)
La darija reste un dialecte arabe

2) Quel est la culture la plus présente en Afrique du Nord ?
(amazigh,arabe,africaine,méditerranéenne )
C'est la culture arabe (c-à-d celle des arabes du Maroc)

3) A quel peuple s'identifient le plus les habitants en Afrique du Nord ?
ça dépend la région
On s'identifie le plus aux Arabes

4) Quel est le peuple emblématique de l'Afrique du Nord ?
arabe et amazigh (plus amazigh)
Comment dire que les amazighs seraient le peuple emblématique de l'Afrique du Nord alors qu'énormément de personnes ignorent qui il sont, notamment en France ?
Je parle en majorité. :)
 
@Slavanitch, en effet j'avais pas vu pour Tanger qui est une ville appartenant ethniquement au Rif .

Pour moi Tipaza en Algérie est plus rifaine que Tanger ! Dans le dialecte tangerois j'ai remarqué que les mots amazighs utilisé au quotidien étaient très proche des Masmouda (Chleuh) !

Ou sinon les jbalas commencent à se réveiller tout doucement...
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
tribus bédouines d'algérie
 

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gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
Selon al-Idrici, vers l’année 1160, dans la régence de Tripoli, les tribus Arabes hilallienne et sulaymite occupaient presque toute la cote : les territoires de Telmîta ou de la Cyrénaïque, de Sort, de Tripoli, de Lebda, étaient en leur pouvoir.

Dans quelques parties du rivage, la race berbère avait entièrement disparu.

Dans l’intérieur, la plaine de Barka était peuplée de villages arabes.

Les solitudes d’Adjedabîa étaient parcourues par un grand nombre d’Arabes et de Berbers(9).

Le désert et l’oasis de Zouîla étaient habités par des Arabes.

Au reste, tout l’intérieur du pays deTripoli, le désert de Barka et les oasis d’Audjila, d’Adjedabia et de Zouîla leur obéissaient.

Dans la régence de Tunis, ils occupaient presque toutes les plaines.

Quelques montagnes et particulièrement le Djebel-Ouslât avaient seuls conservé leur population berbère.

Sur le territoire d’El-Orbès, les deux races vivaient côte à côte, mais dans un état permanent d’hostilité.

Dans la province de Constantine, les hilaliens et solaymites étaient beaucoup plus avancés au nord qu’au sud.

C’est même par la région septentrionale (nord), par le massif méditerranéen

qu’ils avaient pénétré dans cette partie du Maghreb.

Ainsi à Mîla, toute la campagne était au pouvoir des Arabes.

Ils dominaient aussi dans tout, le pays compris entre al-Koll’ (Collo) et Constantine, et étaient en relations de commerce avec les habitants de cette dernière ville.

On voit que les Arabes avaient abordé la province de Constantine par le côté le moins accessible ; mais il est extrêmement probable, qu’ils y avaient été bien accueillis, peut-être même appelés par le reste des Ketâma, dignes de la sympathie des tribus arabes que le khalife du Caire avait lâchées sur le Maghreb.

L’établissement des Arabes dans le sud de la province de Constantine était beaucoup plus récent que dans le nord.

Au moment où al-Idrissi écrivait son ouvrage, il y avait peu de temps qu’ils s’étaient emparés de Ngaous, belle ville située au pied du mont Aourès, et de Bâcher, place forte de la dépendance de Biskra.

Ils dirigeaient sur Bar’aï (Baghaie) des incursions répétées qui avaient déterminé l’abandon du faubourg par ses habitants.

A l’époque qui nous occupe, l’irruption arabe atteignait à l’ouest le défilé du Bibân, mais ne le dépassait pas.

Al-idrissi signale ce passage comme dangereux à cause des fréquentes incursions des Arabes.

Il mentionne aussi sur la route de Bougie à Kala’at-Benou-H’ammâd, et non loin du Bibân, une ville appelée Souk’-el-Khemis, assez forte pour rendre vains les efforts des Arabes qui voudraient s’en emparer, et un château fort appelé Souk’-el-Tneïn, autour duquel rôdent continuellement les Arabes.

Sortie de l’Égypte, en 1048, elle avait atteint, en 1160, le centre de la province de Constantine. »

Fin de citation

al-Bakri, al-Kairouani et al-Idrissi dans Recherches sur l’origine et les migrations des principales tribus de l’Afrique septentrionale et particulièrement de l’Algérie / par E. Carette ; p.408-09 et 410

Al-Idrissi (1100-1165) reviens sur les arabes hilaliens vivant entre Collo et Constantine dans l’actuel wilaya de Skikda

« De Constantine .. Au port d’al-Collo, 2 journées, en traversant une contrée fréquentée par les Arabes.

Voici l’itinéraire qu’on suit en se rendant de Constantine à Bougie: De Constantine on passe à an-Nahr; de là à Fahs Fâra ; de là au village des Banou Khalaf; de là à Hisn Caldis, place forte sur un rocher qui domine les bords de la rivière de Constantine, ensemble 20 milles. Il n’y a , entre Constantine et Hiçn Caldîs , ni montagne , ni ravin. (..) De Kaldis à la montagne de Sahaw y~^, 8 milles. « Au haut de cette montagne, remarquable par sa hauteur, « est une citadelle ; on monte durant 5 milles environ , avant d’en atteindre le sommet qui forme un plateau dont l’étendue est de 3 milles. Les Arabes qui l’habitent sont pacifiques;.

Les Arabes ne passent jamais cette montagne qui est comme une limite de leur territoire. En descendant, on arrive au pied de la montagne à une rivière appelée Wâdi Châl, dont on suit les bords à Souc Yousof, bourg situé sur le flanc d’une montagne es carpée d’où jaillissent diverses sources d’eau douce, 12 milles.

(..) De Djîdjil à al-Coll , située à l’extrémité du pays compris dans la présente section, 70 milles. Al-Coll, autrefois une ville petite, mais florisante, n’est actuellement qu’un port avec quelques habitations et champs cultivés. Du côté de la terre elle est fermée par des montagnes.

D’al-Coll à Constantine , on compte 2 journées, en se dirigeant vers le sud et en traversant un pays occupé par les Arabes (un pays soumis au pouvoir des Arabes).

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.113

La tribu de souche omeyyade qurayshite Oumeia, Umaya, ou Mouiah de la région de Mila et Skikda en Algerie :

« A dix lieues au nord ouest de Constantine on rencontrait la petite ville de Milah qui comptait 15 à habitants elle était administrée par un kaïd Les personnes qui labouraient dans la banlieue et les de Milah payaient l’achour et deux charges de paille par djebdah mise en culture. La ville elle même une contribution annuelle de 1,000 boudjoux Le kaid tenait deux marchés par semaine le mercredi et le samedi il percevait les droits à son profit marchés étaient très fréquentés par les Kabyles. Le kaïd de Milah administrait deux tribus établies à peu distance de la ville :

1 Beni Aroun

2 Mouïah

Les Mouïah sont issus de la tribu arabe des Quraysh qui donna le jour au prophète Mohammed. Cette origine leur assure une grande prépondérance sur leurs voisins. Ils avaient pris une part active à la conquête de l’Espagne par les Arabes »

Fin de citation


Le géographe et Historien arabe andalous al-Bakri (1014- 1094) reviens sur les arabes Qurayshite de Sidi Okba, Biksra en Algerie dans sa Description de l’Afrique septentrionale ( les pré-Hilaliens de Téhouda) et ces affrontement arabes qurayshite malikites contre les berbères miknaça et Houara Ibadite kharijites (11eme siècle) :

« Biskra, ville dont nous avons déjà parlé, et de là il ce dirige vers Téhouda (*) , ville nommée aussi « Madinat as-Sihr » la ville de la magie ».

Ce grand centre de population est entouré de champs cultivées, de dattiers et d’arbres fruitiers. (..)

Les Habitant sont des Arabes, dont quelques-uns appartienne à la tribu de Quraysh.

Lorsque la guerre éclate entre eux et leurs voisins, ils sont couler l’eau de la rivière dans le fossé qui entoure la ville, et, de cette manière, ils ce garantissent contre le manque d’eau et contre les attaques ennemies.(…)

Les Habitants de Téhouda ont pour ennemies les Houara et les ibadite Miknaça (berbères) ils professent la doctrine des habitants de l’irak. »

Fin de citation

al-Bakri (1014- 1094) op.171

Al-Idrissi (1100-1165) reviens sur les arabes hilaliens vivant à Belezma à l’Est de l’Algérie situé dans la wilaya de Batna, :

« A 2 journées de cette dernière ville on trouve Bilizma, petite forteresse avec un faubourg et un marché; on y trouve des puits abondants.

Bilizma est située dans une vaste plaine et bâtie en grandes pierres, comme on en employait aux anciens temps.

Les gens du pays disent que sa construction date du temps du Messie. Vu du dehors, le mur de cette ville paraît très élevé ; mais , comme le sol intérieur est encombré de terre et de pierres jusqu’au niveau des créneaux, dès qu’on est entré dans la place, on n’aperçoit plus aucun mur, ce qui est très remarquable.

Hisn Bichr est un château peuplé dépendant de Biscara ; c’est une 100 place très forte, environnée de champs cultivés, mais elle se trouve actuellement au pouvoir des Arabes. »

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.116

Al-Idrissi (1100-1165) reviens sur les arabes bédouins de Cherchell

« Cherchâl est une ville de peu d’étendue, mais bien peuplée ; on y trouve des eaux courantes et des puits d’eau douce et limpide, beaucoup de fruits et notamment des coings d’une grosseur énorme, comme si c’étaient de petites courges ; ce sont vraiment des merveilles dans leur espèce.

On y cultive aussi des vignes et quelques figuiers ; du reste, la ville est entourée de familles bédouines qui élèvent des bestiaux et recueillent du miel en abondance ; le gros bétail forme leur principale ressource ; ils sèment de l’orge et du blé, et ils en récoltent plus qu’ils ne peuvent en consommer »

Fin de citation

Al-Idrissi (1100-1165), 1er section op.

Le géographe abbasside al-Ya‘qûbî, reviens sur les arabes du Diyar Tabi’a de Medjana entre Baghai et Tebessa Algerie (9eme siècle) au temps des aghlabides:

« De Kairouan à une ville appelée Majjâna, 4 étapes.
Dans cette ville se trouvent des mines d’argent, d’antimoine, de fer, de litharge et de plomb, situées entre des monts et des ravins.
Ses habitants sont un groupe (qawm) qu’on nomme les Sanâjira (arabe).
On dit que leur origine est de Sinjâr, dans le Diyâr Rabî‘a.
Ils servent comme jund pour le pouvoir aghlabide.
Elle est habitée également par des ‘ajam (non arabes) parmi lesquels des Berbères et d’autres .. »
al-Ya‘qûbî (‘-?-995), Kitāb al-buldān (Livre des Pays).: 349

Le géographe et Historien arabe andalous al-Bakri (1014- 1094) dans sa Description de l’Afrique septentrionale reviens sur l’histoire des arabes de Sétif venu avant les Hilaliens et la prospérité de sa population :

» La ville de Setif est à deux journées d’El-Mecila (Msila).(..) ont arrive à Setif, ville grande et importente, dont l’origine remonte aux temps antiques.

La muraille qui l’entourait fut détruite par les ketama, partisans d’Abou Abd’Allah ash-Shi’i , et cela pour la raison que les arabes (Aghlabides et des Banu Assad ibn Khozaima voire al-Yaqubi du Buldan sur les arabes de Sétif) leur avaient enlevé cette ville et les avaient obligés à payer la dime chaque fois qu’ils voulaient y enter. Elle est maintenant sans murs; mais elle n’en est pas moins bien peuplée(1) et très florissante.

Les bazars sont en grand nombre, et toutes les denrées sont en grand nombre, Setif est a dix journées de Kairouan, à dix journées de gazrouna et a une journée de Tanaguelalt situé dans le voisinage de Mila. »

Fin de citation.

Al-Bakri (1014- 1094) op cit. p.178
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
Al-Idrissi (1100-1165) reviens sur les arabes de Bedja

« A peu de distance sur le chemin qui conduit de Tabarca à Tunis, on trouve Bàdja , jolie ville , bâtie dans une plaine extrêmement fertile en blé et en orge , en sorte qu’il n’est pas dans le Maghrib de ville de l’importance de Bâdja qui soit plus riche en céréales.

Le climat y est sain , les commodités de la vie abondantes et les sources des revenus productives pour celui qui la gouverne ; les Arabes sont maîtres de la campagne et de ce qu’elle produit. »

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.135

Al-Bakri (1014- 1094) reviens sur la population arabe et afarik de Gabès en Tunisie :

Gabes’, grande ville ceinte par une muraille de grosses pierres et de construction antique, possède une forte citadelle, plusieurs faubourgs, bazars et caravansérails , un djamê magnifique et un grand nombre de bains.

Le tout est entouré d’un large fossé que l’on peut inonder en cas de besoin et rendre in franchissable.

Cabes a trois portes ; les faubourgs sont à l’est et au sud de la ville.

La population se compose d’Arabes et d’Afarecs«

Fin de citation

al-Bakri op cit. p44

Al-Bakri (1014- 1094) reviens sur les Qurayshite de Monastir en Tunisie :

» A six journées 1 de kairouan se trouve Monestîr- Othman , bourg gros et bien peuplé , qui renferme un djamê, plusieurs caravansérails, bazars et bains, un puits qui ne tarit jamais et un grand château construit par les anciens avec des pierres et de la chaux.

'''Les seigneurs de cette ville sont des Qoreïchides et descendent d’Er-Rebiâ ibn Soleiman , qui colonisa cette place lors de son arrivée en Ifrîkiya.

On trouve dans Monestîr des Arabes , des Berbcrs et des Afarec'''. »

Fin de citation

Al-Bakri (1014- 1094) op cit. p.135-6

Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) reviens sur les qahtanites Lakhmides de Benzert Bizerte et les Hilaliens :

« A l’époque où El-Moëzz le Ziride quitta Kairouan pour se réfugier dans El-Mehdïa, tout le pays fut embrasé par la guerre que les Arabes (hilaliens et sulaylmite) avaient allumée.

Un membre de la tribu de Lakhm, appelé El- Ouerd, se tenait alors dans Carîcha, château situé sur le Mont- Chaîb.

Cet aventurier rassembla une troupe de gens sans aveu et força les habitants des villages aux environs de Benzert à lui payer tribut pour se garantir contre ses incursions.

Pendant un temps considérable, on eut à subir sa domination ; on avait même perdu tout espoir de délivrance quand les habitants de Benzert, qui s’étaient partagés en deux factions dont l’une se composait de Lakhmides, membres de la même tribu qu’El-Ouerd, résolurent de mettre fin à leurs dissentions. Ils prirent donc le parti de confier le commandement à ce chef, l’admirent dans la ville et le reconnurent pour souverain.

El-Ouerd les protégea, eux et leur territoire, contre les Arabes ‘(bédouins) et, comme les (arabes) Mocaddem, branche des Athbedj, et les Dehman, fraction de la tribu arabe rîahide des Beni-Ali, s’étaient emparés des plaines qui avoisinaient la ville, il fit la paix avec eux moyennant tribut et mit ainsi un terme à leurs brigandages.

Ayant raffermi sa puis sance dans Benzert, il prit le titre d’émir et s’occupa, jusqu’à sa mort, à élever des bâtiments d’utilité publique et à faire croître la prospérité de la ville. »

Fin de sitation

Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) op cit 39

al-Bakri (1014- 1094) reviens sur les arabes hadramites et Sehmites de Ouaddan (waddan) en Libye dans le Fezzan ver la Tripolitaine :

« La ville de Holl contient une nombreuse population ; elle possède une grande quantité de dattiers et plusieurs sources d’eau vive.

Dans l’espace d’une journée l’on se transporte de Holl à Oueddan, ville qui a un château fort et plusieurs rues qui se ferment au moyen de portes.

Elle est composée de deux quartiers séparés et a pour habitants deux tribus arabes : l’une sehmide et l’autre originaire du Hadramaut.

La ville des Sehmides se nomme Dilbak et celle des Hadramites Bousa.

Ils n’ont qu’un seul djamê , lequel est situé entre les deux villes. La jalousie et l’inimitié que chacune de ces tribus ressent pour l’autre les portent très-souvent à des actes de violence et à la guerre.

Les habitants de Oueddan ont chez eux des docteurs de la loi , des hommes habiles dans la lecture du Coran (..).

Les dattes font leur principale nourriture; le peu de grains qu’ils cultivent devant être arrosés par le moyen de chameaux. »

Fin de citation

al-Bakri op cit. p.30

Le géographe al-Idrissi (1100-1165) parle de la main mise totale des arabes Hilaliens entre la Qala des Banu Hamad et Bejaia

« De Tāwurt jusqu’à al-Bāb (« la porte »), qui correspond à des montagnes traversées par une rivière salée dans un défilé dangereux. C’est là que parviennent les incursions et les méfaits des Arabes.(..).

Ce dernier est un fort pourvu d’eau courante, au sommet d’une montagne, si bien défendu que les Arabes ne peuvent l’atteindre, mais ses terres de culture et ses ressources sont infimes.

Tout ce territoire est parcouru par les Arabes dont les déprédations nuisent aux habitants.
Et de là jusqu’à Ṭamāma qui est une plaine située sur les hauteurs d’une montagne, jusqu’au Sūq al-itnayn(« marché du lundi »), qui est un relais.

Il y a un site fortifié autour duquel rôdent continuellement les Arabes mais qui est défendu par des hommes (..) .

Tous ces forts sont occupés par des garnisons qui vivent en état de trêve avec les Arabes. Mais des méfaits sont souvent commis, de part et d’autre, avec la différence que les troupes de la garnison ont les mains liées tandis que les Arabes se livrent, impunément, aux pires exactions en vertu d’une règle qui veut qu’ils ont le droit au prix du sang des leurs, mais qu’ils ne sont pas tenus de payer celui de leurs victimes. »

Fin de Citation .

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.. 262

Je vais poster 2 fois ce témoignage de Ibn Khaldoun (il parle de ma region d'origine) pour que l'autre kabyle comprenne bien

L’ouest de l’Ifriqiya, le Constantinois selon l’historien arabe maghrébin Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) :

Lorsque Ibn Khaldoun nous décris le Maghreb et ses habitants au 14eme siècle, il nous indique que la province de Bougie et de Constantine « appartenaient autrefois au tribus Zwawa, Kutama, Adjissa et Huwara, mais elles sont maintenant toute habitées par les Arabes, qui en occupent toutes les parties à l’exception de quelques montagnes d’accès difficile ou l’on trouve encore plusieurs fractions de ces tribus ».

Fin de citation

Ibn Khaldoun, (1332- 1406) op cit, p147

L’ouest de l’Ifriqiya, le Constantinois selon l’historien arabe maghrébin Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) :

Lorsque Ibn Khaldoun nous décris le Maghreb et ses habitants au 14eme siècle, il nous indique que la province de Bougie et de Constantine « appartenaient autrefois au tribus Zwawa, Kutama, Adjissa et Huwara, mais elles sont maintenant toute habitées par les Arabes, qui en occupent toutes les parties à l’exception de quelques montagnes d’accès difficile ou l’on trouve encore plusieurs fractions de ces tribus ».

Fin de citation

Ibn Khaldoun, (1332- 1406) op cit, p147

Le géographe et Historien arabe andalous al-Bakri (1014- 1094) dans sa Description de l’Afrique septentrionale reviens sur les deux communautés arabes pré-hilalienne venu lors des Futuhat Omeyyade, Qahtanites et Qaysite-Adnanites de Tolga dans la wilaya de Biskra

» Tolga située au nord de Bentious, ce compose de trois villes, entourées chacune d’une muraille de briques, et d’un fossé.

Au alentours on remarque plusieurs ruisseaux et un grand nombre de jardins remplis d’oliviers, de vignes, de dattiers et de toute les autres espèce d’arbres fruitiers .

Une de ces villes est habitée par des gens de sang mêlé, l’autre par des Arabes d’origine yéménite, et la troisième par une peuplade appartenant à la tribu arabe de Qais »

Fin de citation.

Al-Bakri op. cit p.170

La suprématie des Arabes Hilaliens dans la région de Annaba par le géographe arabe maghrébin al-Idrissi (1100-1165):

Entre Marsâ ‘l‑Kharaz et Bone (Bouna), on compte 1 journée faible ; et par mer, 24 milles en ligne directe.

Bone est une ville de médiocre étendue. Elle est comparable sous le rapport de la grandeur à Laribus (Alorbos). Elle est située sur les bords de la mer. Il y avait autrefois de beaux bazars et son commerce était florissant. On y trouvait beaucoup de bois d’excellente qualité, quelques jardins, 117 et diverses espèces de fruits destinés à la consommation locale, mais la majeure partie des fruits provenait des campagnes environnantes.

Le blé y est abondant, ainsi que l’orge, quand les récoltes sont favorables, comme nous l’avons dit. Il s’y trouve des mines de très bon fer, et le pays produit du lin, du mil, du beurre ; les troupeaux consistent principalement en boeufs. Cette ville a diverses dépendances et un territoire considérable où les Arabes dominent.

Bone fut conquise par un des lieutenants du grand roi Roger, en 548 (1153) ; elle est actuellement pauvre, médiocrement peuplée, et administrée par un agent du grand roi Roger, issu de la famille des Hammâdites.

Cette ville est dominée par la Djabal Yadough, montagne dont les cimes sont très élevées, et où se trouvent les mines de fer dont nous venons de parler. «

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.262

Al-Idrissi (1100-1165) reviens sur les arabes Marsa al-Kharaz

Marsà ‘1-Kharaz est une petite ville , entourée d’une forte muraille et munie d’une citadelle ; les environs sont peuplés d’Arabes. Les habitants vivent de la pêche du corail.

Cette pêche est très abondante , et le corail qu’on trouve ici est supérieur à tous les coraux connus , no tamment à celui qu’on pêche en Sicile et à Ceuta (Sabta). (…) .

Les marchands de divers pays viennent à Marsâ ‘1-Kharaz pour y faire des achats considé rables de corail destiné pour l’exportation à l’étranger. »

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.135
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
a toutes les reponses je reponds amazigh

l'arabe n'est la langue de personne
elle est juste apprise a l'ecole


dans la vie quotidienne les maghebins parlent le darija qui est une langue composée de diverses apports linguistiques:)
Nous nous exprimons en dialectes hilaliens d'origine bédouine et influencé par la langue française, notre dialecte est parfaitement arabe comme celui de l'Irak, du Qatar ou du Liban.

Si ils ne nous comprennent pas, c'est parce qu'ils n'ont pas l'habitude de nous entendre par contre nous nous comprenons l'ensemble des dialectes arabes.
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
a toutes les reponses je reponds amazigh
donc l'amazigh est la langue la plus parlé ? la culture amazigh est la plus présente ? les maghrébins s'identifient le plus aux amazighs ? le peuple emblématique c'est les amazighs ?

COMMENT SE FAIT-IL QUE 5 PERSONNE SUR 10 NE VOUS CONNAISSENT PAS ?
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
1- L'amazighité ne se transforme pas par le sang

2- L'identité ne se définit pas par la race et la descendance ethnique, mais par le territoire qui donne son identité à ceux qui l'habitent et dont les ancêtres ont appartenu à ce même territoire, d'où ils tiraient leur identité, qu'ils soient d'origine autochtone ou allochtone.

3-La terre est le critère fondamental et permanent qui fonde l’identité d’un peuple et la langue née sur cette terre est le critère secondaire qui la renforce et la consolide. Ainsi donc dans le cas de Maroc La terre Marocaine est amazighe et la langue née sur cette terre est amazighe, donc l’identité du Maroc et des marocains est amazighe.
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
L’identité s’acquiert principalement par la terre et secondairement par la langue née (et de manière générale la culture née) sur cette terre. Par exemple ,l’Arabie Saoudite est cette terre (territoire) dont la quelle vit un peuple qui a donné naissance à une langue. Cette terre est arabe, le peuple est arabe et la langue créée sur cette terre est arabe.

Les arabes qui ont émigré de l’Orient vers la terre amazighe où ils se sont installés depuis des siècles de façon définitive et irrévocable, tous leurs descendants, sont devenus, donc, amazighs dans leur identité en raison de la terre amazighe sur laquelle ils sont nés et vivent pour toujours .
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
1- L'amazighité ne se transforme pas par le sang
Et l'arabité ?

L'identité ne se définit pas par la race
Les races n'existent pas

et la descendance ethnique
La c'est mieux

mais par le territoire qui donne son identité à ceux qui l'habitent et dont les ancêtres ont appartenu à ce même territoire, d'où ils tiraient leur identité, qu'ils soient d'origine autochtone ou allochtone.
C’est le patrimoine culturel et l’auto-identification qui fait l’ethnie :
« Nous appellerons ethnie ces groupes humains qui entretiennent une croyance subjective dans leur ascendance commune en raison de similarités d'apparence, de coutumes, ou des deux, ou en raison de mémoires de colonisations et migration ; cette croyance doit être importance pour la propagation de la formation du groupe ; cependant, peu importe s'il existe effectivement un lien de sang objectif. »
Max Weber, Economie et Société.

3-La terre est le critère fondamental et permanent qui fonde l’identité d’un peuple et la langue née sur cette terre est le critère secondaire qui la renforce et la consolide. Ainsi donc dans le cas de Maroc
Lorsque les omeyyades ont conquit le sud de l'Europe, l'Hispanie wisigoth est-elle rester wisigoth ou est-elle devenu arabe?
Lorsque les romains ont conquit l'Afrique du Nord, le Maroc carthaginois est-il rester carthaginois ou est-il devenu romain?
Lorsque les français ont conquit l'Afrique du Nord, l'Algérie arabe est-elle rester arabe ou est-elle devenu française?
Lorsque les arabes ont conquit le Proche-Orient, la Syrie romaine est-elle rester romaine ou est-elle devenu arabe?

La terre Marocaine est amazighe et la langue née sur cette terre est amazighe, donc l’identité du Maroc et des marocains est amazighe.
Il serait "amazigh" si ethniquement il serait "amazigh" (ethniquement parlant : patrimoine culturel - auto-identification). Il n'est pas rare de voir un amazigh s'identifier aux arabes. :)
 

Slavanitch

la terre est plate
Nous nous exprimons en dialectes hilaliens d'origine bédouine et influencé par la langue française, notre dialecte est parfaitement arabe comme celui de l'Irak, du Qatar ou du Liban.

Si ils ne nous comprennent pas, c'est parce qu'ils n'ont pas l'habitude de nous entendre par contre nous nous comprenons l'ensemble des dialectes arabes.

C'est quoi un dialecte hilalien ?
Fait une démonstration pour voir ?:)
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Et l'arabité ?

L'arabité aussi .


Les races n'existent pas

Il existe un seul race humain





C’est le patrimoine culturel et l’auto-identification qui fait l’ethnie :
« Nous appellerons ethnie ces groupes humains qui entretiennent une croyance subjective dans leur ascendance commune en raison de similarités d'apparence, de coutumes, ou des deux, ou en raison de mémoires de colonisations et migration ; cette croyance doit être importance pour la propagation de la formation du groupe ; cependant, peu importe s'il existe effectivement un lien de sang objectif. »
Max Weber, Economie et Société.

L’identité n’est pas la race ou l’ethnie


Lorsque les omeyyades ont conquit le sud de l'Europe, l'Hispanie wisigoth est-elle rester wisigoth ou est-elle devenu arabe?
Lorsque les romains ont conquit l'Afrique du Nord, le Maroc carthaginois est-il rester carthaginois ou est-il devenu romain?
Lorsque les français ont conquit l'Afrique du Nord, l'Algérie arabe est-elle rester arabe ou est-elle devenu française?
Lorsque les arabes ont conquit le Proche-Orient, la Syrie romaine est-elle rester romaine ou est-elle devenu arabe?


Il serait "amazigh" si ethniquement il serait "amazigh" (ethniquement parlant : patrimoine culturel - auto-identification). Il n'est pas rare de voir un amazigh s'identifier aux arabes. :)

Je ne parlais pas des colonialistes mais des gens qui ont choisi de vivre définitivement dans un pays , par exemple la terre de la France est une terre française, c’est la patrie d’un peuple qui y vit depuis des siècles et qui est appelé peuple français et de tous les émigrés qui l’ont choisie, à différentes époques de l’histoire, comme patrie pour y vivre volontairement et définitivement à côté de ceux qui y sont déjà. Cette terre a été le berceau d’une langue qui y est créée. Elle prend le nom de la terre qui lui a donné naissance: la langue française. Ainsi, est français aujourd’hui, toute personne née d’ancêtres français et/ou qui choisit la France comme patrie, indépendamment de ses origines ethniques, de sa langue d’origine, de sa couleur et de sa religion. Les émigrés amazighs, arabes, sénégalais, gabonais, turcs, portugais, espagnols, chinois, japonais, anglais, hongrois, etc. qui ont choisi de vivre définitivement avec le peuple français et sur la terre française acquièrent l’identité de la terre d’accueil. Ils ont l’identité française ...

Est Arabe aujourd’hui, toute personne qui choisit la terre d’un des pays de la péninsule arabique comme patrie, pour y vivre définitivement, indépendamment de ses origines ethniques, de sa couleur, de sa langue d’origine et de sa religion. Un arabe est fier de son identité arabe malgré le sang turc, perse ou kurde etc. qui coule dans ses veines.
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
Par exemple ,l’Arabie Saoudite est cette terre (territoire) dont la quelle vit un peuple qui a donné naissance à une langue. Cette terre est arabe, le peuple est arabe et la langue créée sur cette terre est arabe.
Ex : L'armée américaine envahi l'Arabie Saoudite, elle est américaine et plus saoudienne.

Les arabes qui ont émigré de l’Orient vers la terre amazighe où ils se sont installés depuis des siècles de façon définitive et irrévocable, tous leurs descendants, sont devenus, donc, amazighs dans leur identité en raison de la terre amazighe sur laquelle ils sont nés et vivent pour toujours.
J'utilise l'appellation "Afrique du Nord" et pas "Maghreb" car c'est une appellation neutre (le post du dessous est repris d'un autre site) :

Les peuples amazighs sont en réalités des envahisseurs venu de la Corne de l'Afrique qui ont massacrés et assimilés les capsiens habitant alors en Afrique du Nord (1)(2)(3). Pourquoi ne pas dire que les amazighs sont en réalité des capsiens génétiquement ? Mais quand est-il des Ibéromaurusiens, le peuple là avant les Capsiens (4) ? On se retrouve avec des Ibéromaurusien caspianisé puis amazighisé puis arabisé ?

Pourquoi restez sur l'Afrique du Nord ? les égyptiens ne seraient pas des égyptiens arabisés, les palestiniens des cananéens arabisés, les libanais des phéniciens arabisés, les irakiens des sumériens arabisés, les yéménites conquis par les éthiopiens à plusieurs reprises des éthiopiens ou somaliens arabisés, les omanais et qataris des indiens arabisés ? Quand ont voit que la moitié des bédouins saoudiens sont dit adnanite, c-à-d descendent d'Ismaël qui était lui même mi-chaldéen mi-égyptien arabisé et qu'ils sont dit dans la généalogie arabe traditionnelle "arabe arabisé", ont se demande bien qui est arabe ou pas pour les amazighistes (5)(6).

Références
(1) Technological and Cultural Change Among the Last Hunter-Gatherers of the Maghreb : The Capsian (10,000–6000 B.P.), Noura Rahmani.
(2) African Languages : An Introduction, Bernd Heine et al.
(3) The Origins of Afroasiatic a response to Diamond and Bellwood in Science (Letters 306) 5702 pg 1680. Ehret, Keita et Newman.
(4) Technological and Cultural Change Among the Last Hunter-Gatherers of the Maghreb : The Capsian (10,000–6000 B.P.), Noura Rahmani.
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
L’identité n’est pas la race ou l’ethnie
Qu'entend-tu par "identité" alors ?

Je ne parlais pas des colonialistes mais des gens qui ont choisi de vivre définitivement dans un pays , par exemple la terre de la France est une terre française, c’est la patrie d’un peuple qui y vit depuis des siècles et qui est appelé peuple français et de tous les émigrés qui l’ont choisie, à différentes époques de l’histoire, comme patrie pour y vivre volontairement et définitivement à côté de ceux qui y sont déjà. Cette terre a été le berceau d’une langue qui y est créée. Elle prend le nom de la terre qui lui a donné naissance: la langue française. Ainsi, est français aujourd’hui, toute personne née d’ancêtres français et/ou qui choisit la France comme patrie, indépendamment de ses origines ethniques, de sa langue d’origine, de sa couleur et de sa religion. Les émigrés amazighs, arabes, sénégalais, gabonais, turcs, portugais, espagnols, chinois, japonais, anglais, hongrois, etc. qui ont choisi de vivre définitivement avec le peuple français et sur la terre française acquièrent l’identité de la terre d’accueil. Ils ont l’identité française ...

Est Arabe aujourd’hui, toute personne qui choisit la terre d’un des pays de la péninsule arabique comme patrie, pour y vivre définitivement, indépendamment de ses origines ethniques, de sa couleur, de sa langue d’origine et de sa religion. Un arabe est fier de son identité arabe malgré le sang turc, perse ou kurde etc. qui coule dans ses veines.
Les byzantins aussi pensait vivre la-bas définitivement jusqu'à ce que les arabes arrivent, le problème est que personne n'a mis les arabes dehors :ange: Je reconnais que l'Afrique du nord est amazigh à l'origine, mais est-ce qu'elle l'est encore ? c'est ça la question, peut-on dire qu'elle l'est encore malgré que chez eux leur culture et leur langue est minoritaire ?
 

Slavanitch

la terre est plate
Est Arabe aujourd’hui, toute personne qui choisit la terre d’un des pays de la péninsule arabique comme patrie, pour y vivre définitivement, indépendamment de ses origines ethniques, de sa couleur, de sa langue d’origine et de sa religion. Un arabe est fier de son identité arabe malgré le sang turc, perse ou kurde etc. qui coule dans ses veines.

Je n'ai jamais vu un kurde un perse ou un turc se prendre pour un arabe
Même les yéménites ne sont pas des arabes

L'arabe s'est propagée parce que c'est la langue du coran

Mais propagée en tant que langue
Pas en tant que culture

Est ce qu'au Maghreb on s'habille comme les saoudiens ? Dansent comme les saoudiens ? Non

Au Maghreb on est amazighs
 

Slavanitch

la terre est plate
K
Pas vraiment puisque quand un étranger parle d'Afrique du Nord il dit "les arabes" :)

Oui je sais :)

Autrefois on disait les hachichins puis les sarrasins puis les mahométans
Puis les arabes les bougnoules les rebeus :D

Mais ça n'a aucun intérêt les gens font la différence entre un marocain et un émirati par exemple
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
Même les yéménites ne sont pas des arabes
In Arabic countries, J1 climaxes among the Marsh Arabs of South Iraq (81%), the Sudanese Arabs (73%), the Yemeni (72%), the Bedouins (63%), the Qatari (58%), the Saudi (40%), the Omani (38%) and the Palestinian Arabs (38%). High percentages are also observed in the United Arab Emirates (35%), coastal Algeria (35%), Jordan (31%), Syria (30%), Tunisia (30%), Egypt (21%) and Lebanon (20%). Most of the Arabic J1 belongs to the J1c3 variety (1)

L'arabe s'est propagée parce que c'est la langue du coran
L'arabe classique est le dialecte des Quraysh mais ça n'était pas le seul dialecte parlé en Arabie. Mais le dialecte des Banu Hilal est un des dialectes d'Arabie qui à connu des modifications la-bas et une contribution ici.

Est ce qu'au Maghreb on s'habille comme les saoudiens ? Dansent comme les saoudiens ? Non
Des différences culturelles, bien sure qu’il y en a, mais ils ne sont pas très grandes – ce ne sont que des différences de détails – je compare ces différence encore une fois avec les différences qu’il y a entre les berbères : y a-t-il partout la même façon de chanter, de danser, de s’habiller, de se nourrir, de construire des maisons ? – non – cela voudrait-ils dire qu’il n y a pas un peuple berbère uni ?

Au Maghreb on est amazighs
Je ne suis pas amazigh

Références
(1) Eupedia.com
 

gas3a

Anti-sanglier et anti-berbériste
Mais ça n'a aucun intérêt les gens font la différence entre un marocain et un émirati par exemple
Ils considèrent les deux comme arabe, c'est même une source de fierté pour les maghrébins et les levantains, la différence qu'ils font entre marocain et émorati c'est riche/pauvre.
 

Slavanitch

la terre est plate
Ils considèrent les deux comme arabe, c'est même une source de fierté pour les maghrébins et les levantains, la différence qu'ils font entre marocain et émorati c'est riche/pauvre.

En Europe la majorité des gens savent qu'une grande partie des maghrébins sont berbère et non arabes

Ne prends pas les gens pour plus bêtes qu'ils ne sont

Aux pays bas et Belgique tamazight est parle par près d'1 million de personne

En France rien que le kabyle est parle par plus de 800 000 personnes sans parler du rifain et du chleuh
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Ex : L'armée américaine envahi l'Arabie Saoudite, elle est américaine et plus saoudienne.
L'armée américaine a choisi de vivre définitivement en Arabie Saoudite ?Non donc ils reste des colonialistes .


J'utilise l'appellation "Afrique du Nord" et pas "Maghreb" car c'est une appellation neutre (le post du dessous est repris d'un autre site) :

Les peuples amazighs sont en réalités des envahisseurs venu de la Corne de l'Afrique qui ont massacrés et assimilés les capsiens habitant alors en Afrique du Nord (1)(2)(3). Pourquoi ne pas dire que les amazighs sont en réalité des capsiens génétiquement ? Mais quand est-il des Ibéromaurusiens, le peuple là avant les Capsiens (4) ? On se retrouve avec des Ibéromaurusien caspianisé puis amazighisé puis arabisé ?

Pourquoi restez sur l'Afrique du Nord ? les égyptiens ne seraient pas des égyptiens arabisés, les palestiniens des cananéens arabisés, les libanais des phéniciens arabisés, les irakiens des sumériens arabisés, les yéménites conquis par les éthiopiens à plusieurs reprises des éthiopiens ou somaliens arabisés, les omanais et qataris des indiens arabisés ? Quand ont voit que la moitié des bédouins saoudiens sont dit adnanite, c-à-d descendent d'Ismaël qui était lui même mi-chaldéen mi-égyptien arabisé et qu'ils sont dit dans la généalogie arabe traditionnelle "arabe arabisé", ont se demande bien qui est arabe ou pas pour les amazighistes (5)(6).

Références
(1) Technological and Cultural Change Among the Last Hunter-Gatherers of the Maghreb : The Capsian (10,000–6000 B.P.), Noura Rahmani.
(2) African Languages : An Introduction, Bernd Heine et al.
(3) The Origins of Afroasiatic a response to Diamond and Bellwood in Science (Letters 306) 5702 pg 1680. Ehret, Keita et Newman.
(4) Technological and Cultural Change Among the Last Hunter-Gatherers of the Maghreb : The Capsian (10,000–6000 B.P.), Noura Rahmani.

Rien ne prouve que les amazighs sont venu de la corne de l'Afrique , les seuls envahisseurs connus historiquement sont les Romains , les vandales , les arabes .
 
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