Les professionnels fréquemment au contacte des plantes, comme les agriculteurs, les fleuristes, certains commerçants, ou les gens souvent dans la nature, pourrait trouver un intérêt à lire l’article ci‑dessous.
C’est à propos des différentes réactions cutanées que peuvent produire des plantes. C’est long à lire, mais ça ne peut pas être résumé, comme les détails sont nécessaires pour que ce soit pertinent. Je présente en gros quand‑même : les réactions peuvent être chimiques, physiques, ou par intrusion (comme des épines microscopes, qui peuvent introduire dans la peau des matériaux et organismes pathogènes). Les réactions ne sont pas toujours instantanées, elles peuvent survenir des jours après, même si les expositions ultérieures produisent souvent des réactions plus rapides, en une ou deux journées. Ce décalage dans le temps, fait qu’il est souvent difficile d’identifier la plante en cause. Les réactions peuvent se résorber en quelques jours à quelques semaines. Si ces questions vous intéressent, les détails sont dans l’article.
L’article est sérieux, il est d’un magazine médical Suisse :
Réactions cutanées allergiques et toxiques aux plantes (revmed.ch), 2010.
J’ignore quel est le degré de gravité maximale de ces réactions. Peut‑être que
@ienouchka sait ?
En marge, j’étais en train de me demander si le désherbage dans les jardins, souvent accusé de nuire à la diversité de la flore, n’aurait pas comme raison aussi, d’éviter l’exposition à des plantes pouvant provoquer des réactions cutanées. Il faudrait en tenir compte, quand on critique le désherbage (pas nécessairement aux herbicides, il peut être mécanique) et critique les jardins « trop propres ».