Il parle simplement de preuves comme quoi "on" parlerait de sexualité à des bébés ou à des gosses.
Parce que ça fait un moment qu'on a l'impression que c'est la règle alors que, dans les faits, il n'y a rien du tout.
Quand j'officiais au sein des établissements scolaires, on passait les 3/4 du temps à gérer les angoisses de parents qui avaient lus de vagues trucs sur internet. Et, bien sûr, au détriment de la mission handicap dont j'étais mandataire.
Si, maintenant, vous avez des preuves circonstanciées de tels agissements, il faut bien évidemment le signaler aux autorités compétentes.
Personne ne dit le contraire.
Et, au cas improbable, ou vous tenteriez de me faire passer pour le méchant complice de service (Nb : vous avez déjà essayé), on pourra comparer nos expériences de terrain. J'en ai marre cette manie de vouloir faire passer ses détracteurs pour des complices ou pire, des coupables de méfaits fantasmés.