Tu sais le concept qui consiste à désigner le football comme un sport pratiqué et adulé par les "sauvageons" (en gros, où les fils d'immigrés excellent) en comparaison avec un sport populaire majoritairement apprécié par des prolétaires français "de souche", le rugby en l'occurrence, où soi-disant le fair-play et le bon état d'esprit prévalent, est une forme de racisme qui ne dit pas son nom. Et je ne parle parle même pas du tennis, sport de bourgeois, qui se doit d'être la quintessence de l'esprit du sport soi-disant. Voir des fils d'immigrés dont hier encore les parents travaillaient comme des esclaves à la chaine à Renault-Billancourt brasser des millions ne fait évidemment pas plaisir à beaucoup. Et la racaille prend selon ma conception plusieurs formes : on connait les donneurs de leçons en costard le lundi qui s'adonnent aux parties fines, aux plans à plusieurs, à l'échangisme, qui copulent comme des bêtes, qui spéculent comme des usuriers et qui viennent essayer donner des leçons de morale aux "racailles". Quand Nikola Karabatic est impliqué dans un scandale de paris truqués, condamné par la justice, quand Giroud trompe sa femme en direct, ça passe crème, quand Benzema faute, il est désigné comme l'ennemi public numéro 1 avant même d'avoir été jugé. Donc leurs valeurs du sport et leur esprit de Coubertin à géométrie variable, je leur propose de se les enfoncer bien profondément si je peux me permettre.