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Bah vas-y, balances.
La mere et le pere pour moi c'est 50/50.
Mon pere m'a aussi donne beaucoup d'affection a mon jeune age et encore maintenant ....On oublie pas ca non plus...Les peres sont aussi capables de ca que les meres....
L’éducation et l’environnement te donnent les bases aussi Pas que la mère, le père aussi, l’école, la rue, les amis .... tout ce qui fait partie de ta vie d’une maniere ou d’une autre. Bonne ou mauvaise.La mère te donne les bases...
L’éducation et l’environnement te donnent les bases aussi Pas que la mère, le père aussi, l’école, la rue, les amis .... tout ce qui fait partie de ta vie d’une maniere ou d’une autre. Bonne ou mauvaise.
La mère donne donne l’amour et l’affection mais n'éduque pas seule.
Y’a la personnalité de chacun et sa perméabilité et sa perception des choses reçues. Certains les coïncidèrent comme privilège d’autre comme un tare.
Certains se forgent eux mêmes et leurs faiblesses deviennent leurs forces et d’autres Puisent toutes leurs forces à vouloir s’accomplir mais leurs tares les rattrapent.
Bonjouar
Je suis une preuve scientifique![]()
À sa décharge, le sujet de l'homosexualité est tellement politisé et polarisé depuis une soixante d'années que la recherche a du mal à rester de bonne foi et objective. Les scientifiques sont pas des intellects désincarnés, mais des humains faillibles et biaisés.
Les évaluateurs d'articles vont être moins sévères et pointilleux envers des articles qui confirment leurs préjugés (d'un côté ou de l'autre). Par exemple une partie du succès de la psychanalyse dans l'Église - alors qu'elle est en déclin partout ailleurs - vient de ce que la psychanalyse paraît apporter une caution "scientifique" à la vision traditionnelle des rôles sexuels.
C'est comme les recherches sur l'hérédité de l'intelligence ou l'hérédité de certains traits socialement indésirables!
Tout ça est un cocktail explosif.
On ne parle vraiment pas de recherches sur le métabolisme des amibes.
A partir du moment où tu impliques des milliers de personnes dans le processus et que ces personnes ne proviennent pas de la même culture ou des mêmes écoles (type d'enseignement), tu gommes pratiquement la subjectivité. Assez, en tout cas, pour qu'elle devienne un facteur négligeable.
C'est un peu tout le propos de la science que d'éliminer cette subjectivité individuelle en comptant sur les subjectivités, différentes, des autres chercheurs.
Les scientifiques qui travaillent sur les quarks, c’est une chose.
Ceux qui travaillent en sciences humaines sont sur un terrain miné et fréquemment exposés à diverses contaminations idéologiques et politiques ou à des effets de mode éphémères soutenus par les penseurs vedettes du moment et qu’il faut faire semblant de lire pour être dans le coup (comme le marxisme, le structuralisme, la psychanalyse, la sociobiologie, le relativisme culturel, la philosophie du langage, ce genre de choses).
Il y a beaucoup de chercheurs en sciences humaines qui sont aussi des activistes. Oui il y a des faits mis au jour par les chercheurs. Mais ils sont souvent teintés d’interprétations et d’évaluations
et la méthode de collecte de données est souvent moins objective que dans les sciences de la nature.
Un questionnaire peut orienter les réponses des participants. À fortiori une entrevue.
@Docours
Bonjour, je suis d’accord, mais ça contredit pas forcément tout ce que j’ai dit.
As-tu entendu parler par exemple de l’étude de Margaret Mead sur la puberté à Samoa, qui a égaré les anthropologues pendant 60 ans?