Être un homme est une affaire d'homme

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Pour l'affection bien sûr....mon père travaillait beaucoup...il ne pouvait pas s'occuper autant de nous que notre mère...ma mère était avec nous du matin au soir....premiers pas...premières dents...premières maladies infantiles...premières rentrée des classes ...

La mere et le pere pour moi c'est 50/50.
Mon pere m'a aussi donne beaucoup d'affection a mon jeune age et encore maintenant ....On oublie pas ca non plus :)...Les peres sont aussi capables de ca que les meres....
 
La mère te donne les bases...
L’éducation et l’environnement te donnent les bases aussi Pas que la mère, le père aussi, l’école, la rue, les amis .... tout ce qui fait partie de ta vie d’une maniere ou d’une autre. Bonne ou mauvaise.

La mère donne donne l’amour et l’affection mais n'éduque pas seule.
Y’a la personnalité de chacun et sa perméabilité et sa perception des choses reçues. Certains les coïncidèrent comme privilège d’autre comme un tare.
Certains se forgent eux mêmes et leurs faiblesses deviennent leurs forces et d’autres Puisent toutes leurs forces à vouloir s’accomplir mais leurs tares les rattrapent.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Je parlais de la primo enfance...bien sûr quand l'enfant devient autonome en France l'école à 3 ans par exemple...ailleurs l'enfant est auprès de sa mère jusqu'à l'âge de 6/7ans après les hommes sont plus impliqués nous dirons donc le socle ou la base c'est la mère ...celà été pour moi et ma génération enfin tous ceux avec qui j'ai grandi et celà à été avec mes enfants malgré que je travaillais j'étais la base et encore aujourd'hui malgré qu'ils soient adultes...

L’éducation et l’environnement te donnent les bases aussi Pas que la mère, le père aussi, l’école, la rue, les amis .... tout ce qui fait partie de ta vie d’une maniere ou d’une autre. Bonne ou mauvaise.

La mère donne donne l’amour et l’affection mais n'éduque pas seule.
Y’a la personnalité de chacun et sa perméabilité et sa perception des choses reçues. Certains les coïncidèrent comme privilège d’autre comme un tare.
Certains se forgent eux mêmes et leurs faiblesses deviennent leurs forces et d’autres Puisent toutes leurs forces à vouloir s’accomplir mais leurs tares les rattrapent.
 
À sa décharge, le sujet de l'homosexualité est tellement politisé et polarisé depuis une soixante d'années que la recherche a du mal à rester de bonne foi et objective. Les scientifiques sont pas des intellects désincarnés, mais des humains faillibles et biaisés.

Les évaluateurs d'articles vont être moins sévères et pointilleux envers des articles qui confirment leurs préjugés (d'un côté ou de l'autre). Par exemple une partie du succès de la psychanalyse dans l'Église - alors qu'elle est en déclin partout ailleurs - vient de ce que la psychanalyse paraît apporter une caution "scientifique" à la vision traditionnelle des rôles sexuels.

C'est comme les recherches sur l'hérédité de l'intelligence ou l'hérédité de certains traits socialement indésirables!

Tout ça est un cocktail explosif.

On ne parle vraiment pas de recherches sur le métabolisme des amibes.

A partir du moment où tu impliques des milliers de personnes dans le processus et que ces personnes ne proviennent pas de la même culture ou des mêmes écoles (type d'enseignement), tu gommes pratiquement la subjectivité. Assez, en tout cas, pour qu'elle devienne un facteur négligeable.

C'est un peu tout le propos de la science que d'éliminer cette subjectivité individuelle en comptant sur les subjectivités, différentes, des autres chercheurs.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
A partir du moment où tu impliques des milliers de personnes dans le processus et que ces personnes ne proviennent pas de la même culture ou des mêmes écoles (type d'enseignement), tu gommes pratiquement la subjectivité. Assez, en tout cas, pour qu'elle devienne un facteur négligeable.

C'est un peu tout le propos de la science que d'éliminer cette subjectivité individuelle en comptant sur les subjectivités, différentes, des autres chercheurs.

Les scientifiques qui travaillent sur les quarks, c’est une chose. Ceux qui travaillent en sciences humaines sont sur un terrain miné et fréquemment exposés à diverses contaminations idéologiques et politiques ou à des effets de mode éphémères soutenus par les penseurs vedettes du moment et qu’il faut faire semblant de lire pour être dans le coup (comme le marxisme, le structuralisme, la psychanalyse, la sociobiologie, le relativisme culturel, la philosophie du langage, ce genre de choses). Il y a beaucoup de chercheurs en sciences humaines qui sont aussi des activistes. Oui il y a des faits mis au jour par les chercheurs. Mais ils sont souvent teintés d’interprétations et d’évaluations et la méthode de collecte de données est souvent moins objective que dans les sciences de la nature. Un questionnaire peut orienter les réponses des participants. À fortiori une entrevue.
 
Les scientifiques qui travaillent sur les quarks, c’est une chose.

En effet, c'est pour cela qu'on sépare les sciences dites "dures" des sciences dites "molles". Ceci dit, les deux sont des sciences.

Ceux qui travaillent en sciences humaines sont sur un terrain miné et fréquemment exposés à diverses contaminations idéologiques et politiques ou à des effets de mode éphémères soutenus par les penseurs vedettes du moment et qu’il faut faire semblant de lire pour être dans le coup (comme le marxisme, le structuralisme, la psychanalyse, la sociobiologie, le relativisme culturel, la philosophie du langage, ce genre de choses).

Non, pas tout à fait. Ce sont des scientifiques. Qui appliquent la méthode scientifique. Mais la nature de leur sujet d'étude, et non une influence extérieure, est telle que les résultats produits sont changeants dans le temps, les data collectées sont moins "fines" que celles utilisées en sciences dites "dures". Mais cela reste des data, des modèles et des scientifiques bossant dessus.

Le deuxième facteur d'influence est le financement (comme souvent). Ce facteur est aussi influent en sciences "dures" mais moins qu'en sciences humaines. Certains sujets sont particulièrement financés tandis que d'autres sont laissés sans rien d'autre que leur job au macdo pour survivre (il est plus facile de se faire financer en biologie qu'en histoire, par exemple).

Il y a beaucoup de chercheurs en sciences humaines qui sont aussi des activistes. Oui il y a des faits mis au jour par les chercheurs. Mais ils sont souvent teintés d’interprétations et d’évaluations

L'interprétation et l'évaluation, c'est un peu le principe du consensus scientifique quand même.

et la méthode de collecte de données est souvent moins objective que dans les sciences de la nature.

Je me vois contraint de te dire que tu te trompes sur ce sujet. La collecte de données répond aux mêmes règles que celles des sciences "dures". Il faut par contre faire attention à ne pas tomber dans le piège dans lequel s'est déjà cassé la gueule le journalisme aujourd'hui : prendre la dernière étude et la prétendre comme la nouvelle vérité vraie véritable. Y a un boulot de consensus et de collecte d'études, long, fastidieux et rarement médiatisé.

Un questionnaire peut orienter les réponses des participants. À fortiori une entrevue.

Tout à fait. C'est pourquoi il a été mis au point des méthodes pour éliminer au maximum ces contraintes. Y compris dans une interview. Je rentre pas dans les détails mais la rigueur que cela demande est loin d'être prise à la légère ou minimaliste.

Encore une fois, les erreurs sont liées à la nature des données plutôt qu'aux méthodes de collecte ou à la rigueur de la construction des modèles.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
@Docours

Bonjour, je suis d’accord, mais ça contredit pas forcément tout ce que j’ai dit.

As-tu entendu parler par exemple de l’étude de Margaret Mead sur la puberté à Samoa, qui a égaré les anthropologues pendant 60 ans?
 
@Docours

Bonjour, je suis d’accord, mais ça contredit pas forcément tout ce que j’ai dit.

As-tu entendu parler par exemple de l’étude de Margaret Mead sur la puberté à Samoa, qui a égaré les anthropologues pendant 60 ans?

Certes, mais tu nous parle ici d'une étude faites en 1928. A une époque où les méthodes de communication et de partage de données (et donc, de la vérification de celles-ci) étaient balbutiantes.

De plus, ce sont des scientifiques qui ont mis en avant les défauts de cette étude. Ce qui est le processus normal attendu d'ailleurs.

Et enfin, tu parles d'une seule étude. Comme je l'ai dit auparavant, une seule étude n'est pas un consensus scientifique. Si certains, pour des raisons idéologiques, s'en emparent pour en tirer un avantage / un profit, c'est leur problème, pas celui de la science en soi.

La science est auto-correctrice, donc quand je vois certains (et je ne te vise pas) se ramener avec une seule étude contradictoire et proclamer que "ah, vous voyez, les scientifiques disent n'importe quoi", je rigole un peu jaune. Non seulement parce que cette étude n'est qu'une piste à creuser et non un nouveau consensus radicalement différent mais que, de plus, ce sont des scientifiques qui l'ont réalisées. Et souvent les mêmes qui sont critiqués dans d'autres études par les mêmes personnes.

C'est du cherry-picking et, bien que ce soit un biais cognitif normal et attendu, c'est assez fatiguant à lire / entendre.
 
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